samedi 20 mai 2017, par
Cet article est ma contribution à un ouvrage collectif de femmes du mouvement des Skyguards, mené par Claudia Von Werlhof prévu pour être publié en anglais sous le titre "Mother Earth under Threat. Ecofeminism, the land question and geoengineering"
Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. « Ils » font ça ! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie ! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.
L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir : tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent ; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.
« Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel » [1] . Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.
Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?
Mais que se passe-t-il dans notre cerveau ?
Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant ? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement : la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.
L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast” [2].
L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples” [3]. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et événementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela ? - “parce que nous les laissons faire“ dit Michael Murphy [4]. Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?
Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne » [5], je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui sous-tendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement de notre cerveau.
Les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser [6]. Selon Noberto Keppe, cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?
Claudia Von Werlhof [7], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question : il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».
Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :
– la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
– la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie [8]
– la scission de la “Mère des sciences“ : Astronomie et Astrologie
– le fonctionnement du cerveau humain
Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent [9]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath [10], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30 [11]
Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel : la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre [12]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux ; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge ...
Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté : il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future : Six Drivers of Global Change” : “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.
Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.
Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches... et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” ...
C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue … A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours ; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.
L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi : de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé...
“Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch
Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …
Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN : De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple...
Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …
Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées ...
La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles : il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.
Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.
Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2 [13]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système [14]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?
L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.
La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle [15]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque : le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales : en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, inaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que les Etats-nations et les religions traditionnelles s’effondrent.
De surcroît, nous pouvons remarquer que : premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine ; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées : le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.
Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les créatures et dont dépend entièrement notre existence.
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Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.
Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif : la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître ...
Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.
La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves [16].
Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.
L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic [17], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »
"Chacun" signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !
Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants !!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?
La « Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.
Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic [18] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique :
– La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
– La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.
La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base, ce qui est toujours le dogme : ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …
En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie. L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100% génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai : c’est l’énergie qui affecte la matière [19]
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La santé primale [20], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.
La condamnation biblique "tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.
Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique « tu enfanteras dans la douleur » et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour aboutir finalement à un système.
Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles : les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves.
Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise...
A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres [21], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.
Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique.
De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?
Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical [22], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent [23], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.
En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :
– l’ocytocine [24], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières [25]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte ... à un autre référentiel.
– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas : du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation [26]
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Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.
La scission advint en France au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » [27] …
L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance” [28] s’est développée depuis lors.
La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors ? (...) les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question ; en fait, elles sont maintenant retirées des livres scientifiques [29].
Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage : elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet.
C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et ... le chanvre !
Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.
La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « -nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre droite.
La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le « -log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.
Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre ; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.
En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque, les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure. Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre. C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis [30] » .
Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité : la Terre n’est pas le centre de l’univers [31]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue [32]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche [33], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.
La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres [34].
Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (qui est dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution et produit le phénomène des saisons) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). Faire abstraction du rythme essentiel de notre environnement naturel commun : notre matrice Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), qui se traduit par l’alternance d’éclairage des pôles de la Terre et dont les bornes sont les équinoxes et les solstices, n’est-ce pas une énorme erreur astronomique ?
Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.
Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, celui qui renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.
Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?
Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …
Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, toujours aveuglément combattue par la « haine de la vie ».
Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose [35] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous à la re-connaître.
[1] Evangile St Luc 21.11
[2] Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015
[3] La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015
[4] Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012
[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993
[6] NEW PHYSICS, Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005
[7] Claudia Von Werlhof, http://www.pbme-online.org/ , Skyguards - Autriche
[8] Physiologie : étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant
[9] Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014
[11] “Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011.
[12] Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM
[13] Viktor Schauberger
[14] analyse développée par Claudia Von Werlhof
[15] idem
[16] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999
[17] décédé en 2016
[18] Copernic, mort en 1549
[19] The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators ; Proton Editora 2008
[20] Michel Odent “La santé primale“ 1986
[21] Fruit d’une recherche personnelle : les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …) ; dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples : pour chez nous : calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.
[22] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.
[23] Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.
[24] et ses consœurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite
[25] Cette libération se fait de manière discontinue, par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »)
[26] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.
Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur par exemple : le ventricule gauche propulse le sang dans l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.
[27] Rabelais, « Pantagruel »
[28] “la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)
[29] Noberto Keppe NEW PHYSICS
[30] Blaise Pascal -Pensées
[31] Thomas S. Kuhn “La révolution copernicienne“ 1973
[32] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent : le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre) ; on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers
[33] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/
[34] SORI’Astres, voir www.rockastres.org/spip.php?rubrique12
[35] Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“
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Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ? Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs ignorants et zélés ?
20 mai 2017, parTitre original "WHY IN THE WORLD ARE THEY SPRAYING ?"
15 septembre 2013, par ,Titre original "WHAT IN THE WORLD ARE THEY SPRAYING ?"
15 septembre 2013, par ,suite à la
17 novembre 2012, par2002 - 2012 : dix ans d’épandages aériens (chemtrails) partout en France
16 mai 2012, parPrésenté au Klimaforum 09 de Copenhague le 12 décembre 2009, sous le titre "Are the causes of the climate crisis, really the ones we believe ?", un diaporama qui fait d’abord le point sur les facteurs naturels de l’évolution des climats et informe sur les armes climatiques que l’on oublie trop souvent d’invoquer pour expliquer les dérèglements du climat.
30 décembre 2011, paren décembre 2011
21 décembre 2011, par ,- à la DGAC - au Président de la République - au Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des transports et du Logement
16 décembre 2011, par ,Signatures recueillies lors de la deuxième campagne, d’avril 2010 à décembre 2011
16 décembre 2011, par ,