vendredi 21 décembre 2018, par
La Lune
– Elle marque les signes de Cancer (1er degré) à Balance
– Elle passe de la constellation d’ Orion (Ori) à celle de la Vierge (Vir)
– Le 22, conjoint Elnath et Pleine Lune ; le 23, conjoint Alhena, déclinaison maximale ; le 24, conjoint Pollux, périgée, nœud ascendant ; le 25, conjoint amas de la Crèche ; le 26, conjoint Régulus ; le 29, Dernier Quartier, passe en déclinaison Sud.
En géocentrique
– Le Soleil est dans le signe du Capricorne
– devant la constellation du Sagittaire (Sgr).
– Les planètes :
– Mercure conjoint Antarès le 22
– Jupiter conjoint Antarès le 23
– En héliocentrique
– Vénus périhélie et Mercure signe Scorpion le 26
– Mercure opposé Uranus le 27
- A 2h48, Mercure conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan écliptique
– A 4h58, la Lune est conjointe à Elnath dans le plan équatorial, l’étoile 8°22’ au Nord
– Aux alentours de 6h, le
Soleil traverse le plan galactique et passe au Sud de celui-ci
- A 6h46, la Lune
est conjointe à Elnath (étoile beta Taureau, magnitude 1.65) dans le plan écliptique, ∆-8°20’. El Nath marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 23e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 82°50’39"]. A cette heure, les deux astres sont sur le couchant..
– A 13h52, la Lune arrive devant la constellation d’Orion (Ori) ; longitude 87°47’ (28e GEM) ; latitude -2°33’, monte.
– A 17h27, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de -2°22’ -monte.
– A 18h50, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 6 / 18h3m, déclinaison Soleil -23°26’ -monte, Lune +21°7" -monte
- Au matin du 22 décembre, une heure avant l’arrivée du Soleil, déjà toute ronde, elle descend brillamment à l’Ouest-nord-ouest tandis que Vénus, escortée de Mercure et Jupiter, resplendit à ’Est-sud-est.
- Le soir elle se lève à l’Est-nord-est pendant que le Soleil se couche à l’opposé. Elle parcourt la voûte céleste 16 heures durant, glisse d’Orion aux Gémeaux, culmine à 66° degrés de hauteur environ pour la latitude 45°N au beau milieu des plus brillantes étoiles du ciel et se couche au matin juste après le lever du Soleil. C’est la plus haute Pleine Lune de l’année : sa hauteur de culmination est, à sa latitude près, celle du Soleil d’été.
– Aux alentours de 22h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Ursides (URS)
- Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 22 entre dans le champ du coronographe Lasco C3.
– A 1h39, la Lune arrive devant la constellation des Gémeaux (Gem) ; longitude 95°2’ (6e CAN) ; latitude -1°57’, monte.
- A 7h07, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, l’étoile 5°8’ au Sud. Les deux astres culminent aux alentours de 1h, à une soixantaine de dégrés de hauteur. Au matin, dans notre ciel, aux alentours de 6h, ils marquent l’Ouest.
– A 8h41, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan écliptique, ∆ +5°10’, longitude (moyenne de la date) 99°22’26" (10e CAN).
– A 12h48, la Lune atteint sa déclinaison maximale : +21°33’6" (Nord) par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 6h51m ; longitude écliptique 101°55’ (12e CAN), latitude -1°21’ (monte). Elle culmine au plus haut dans l’hémisphère Nord, à 66° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 1h00.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
– A 19h39, Jupiter conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan écliptique
- Aujourd’hui, la planète Saturne entre dans le champ du coronographe Lasco C3.
– A 2h24, Lune opposé Pluton en géocentrique dans le plan écliptique (21e CAN/CAP)
- A 7h28, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.1) dans le plan écliptique, l’étoile 7°0’ au Nord ; longitude (moyenne de la date) 113°28’55" (elle marque, de nos jours, le 24e CAN). Les deux astres culminent aux alentours de 2h30 à près de 70° de hauteur. A 7h28, dans notre ciel, ils sont sur le couchant à 25° de hauteur environ.
– A 9h28, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, ∆ -6°59’.
– A 10h49, la Lune au périgée : au plus près de la Terre à 361 061 kilomètres, soit 56,61 rayons terrestres environ ; diamètre apparent : 33,2 minutes d’arc. Longitude 115°34’ (26e CAN), latitude -0°7’, monte ; ascension droite 7h50m, déclinaison +20°54’, descend.
– A 12h53, la Lune passe au nœud ascendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Nord. Longitude 116°50’ (28e CAN) ; (ascension droite : 19h56m, déclinaison -20°43’ (monte) ; distance 361 067 kilomètres soit 56,61 rayons terrestres environ .
– L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Cancer/Capricorne depuis le 6 novembre ; il va y rester jusqu’au 5 mai 2020.
– A 15h07, la Lune arrive devant la constellation du Cancer (Cnc) ; longitude 118°13’ (29e CAN) ; latitude +0°7’, monte.
– A 17h58, la Lune entre dans le signe du Lion ; Lg 120° à 150° ; sa latitude est alors de +0°17’ -monte.
– A 18h22 Mercure parallèle Jupiter (plan équatorial 21°S)
- A 1h34, Mercure carré Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e SAG/POI)
- A 6h07, la Lune, est conjointe à l’amas de la Crèche (ou amas de la Ruche -Messier 44 ; m 3.1) dans le plan écliptique, l’amas ouvert 0°16’ au Nord ; longitude du centre de l’amas 127°37’14". Cet amas, visible à l’œil nu par un bon ciel (sans Lune) sous la forme d’une tache floue et facilement visible aux jumelles, se niche dans la constellation du Cancer et marque de nos jours le 8e degré du signe du Lion. Dans notre ciel, les deux astres culminent aux alentours de 3h, à 65° de hauteur environ ; le matin, aux alentours de 7h, ils marquent l’Ouest, à près de 40° de hauteur.
– A 6h24, la Lune est conjointe à l’amas de la Crèche dans le plan équatorial Δ -0°17’.
– Aux alentours de 8h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Coma Berenicides (COM)
– A 13h (12h UTC), l’équation de temps est nulle.
– A 15h18, Mercure et Vénus sont en parallèle de latitude héliocentrique
– A 22h40, la Lune arrive devant la constellation du Lion (Leo) ; longitude 137°42’ (18e LIO) ; latitude +1°52’, monte.
- A 17h31, la Lune est conjointe à Regulus dans le plan équatorial, l’étoile (alpha Leo) 2°31’ au Sud.
– A 17h45, Vénus au périhélie
– A 18h49, la Lune entre dans le signe de la Vierge ; Lg 150° à 180° ; sa latitude est alors de +2°52’ -monte.
– A 18h59, elle est conjointe à Regulus dans le plan écliptique, ∆ +2°25’ ; longitude (moyenne de la date) 150°5’49". Régulus marque de nos jours, l’entrée (des astres sur l’écliptique) dans le signe de la Vierge. Pour notre localisation, les deux astres se lèvent aux alentours de 22h, culminent 55° de hauteur environ aux alentours de 5h et se retrouvent le matin au Sud-sud-ouest à 45° de hauteur environ..
– A 22h50, Mercure entre dans le signe du Scorpion en héliocentrique.
– A 23h02 Mercure parallèle Pluton (plan équatorial 21°S)
- A 3h34, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (6e VIE/CAP)
– Aux alentours de 8h, maximum attendu de l’essaim météoritique des sigma Serpentides (SSE) et des omega Serpentides (OSE)
– A 18h10, Lune opposé Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e VIE/POI)
– A 8h15, Mercure opposé Uranusen héliocentrique.
- Aujourd’hui, l’astéroïde (6) Hebe est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– A 8h06, la Lune arrive devant la constellation de la Vierge (Vir) ; longitude 172°15’ (23e VIE) ; latitude +4°20’, monte.
– A 17h28, Lune opposé Mars en géocentrique dans le plan écliptique (27e VIE/POI)
– A 21h22, la Lune entre dans le signe de la Balance ; Lg 180° à 210° ; sa latitude est alors de +4°42’ -monte.
– A 22h29, Mercure sextil Pluton en géocentrique dans le plan écliptique (21e SCO/CAP)
– A 23h01 Mercure parallèle Saturne (plan équatorial 22°S)
- Aujourd’hui, la comète 2018 TL6 2018 TL6 au périhélie
– Aux alentours de 7h, remarquer au télescope leslunes de Jupiter.
– A 9h125, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 12 / 18h32m, déclinaison Soleil -23°13’ -monte, Lune +1°50’ -descend
– A 18h00, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Sud : : déclinaison 0° ; ascension droite 12h51m. Longitude écliptique 191°51’ (12e BEL), latitude +5°5’, monte.
- devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 18 décembre au 20 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap)
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er novembre 2018, 0h TU (9e SCO) au 5 mai 2019, 0h TU (15e TAU) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er novembre.
- Le 22 décembre aux alentours de 6h, il croise le plan galactique et passe au-dessous, comme chaque année à la même date, avec un tout petit décalage d’année en année dû à la précession des équinoxes, qui fait que cela se produit au moment du solstice au cours des 20e et 21e siècles.
– Il le traverse à nouveau et passe au-dessus au moment du solstice d’été ; il se trouve alors devant la constellation du Taureau, à la limite de celle des Gémeaux.
– Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) = la Terre est dans le signe du Cancer en héliocentrique, du 21 décembre, 23h08 (22h08 UTC), au 20 janvier, 9h45 (8h45 UTC).
signe du Capricorne
Nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud (-) reçoit beaucoup plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais il en perd un peu chaque jour (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) en reçoit beaucoup moins (F) que le Sud mais il en regagne un peu chaque jour (v).
– Nous avons Sud (-) majoritaire (F) / Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) / croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
–
- L’équation de temps est nulle le 25 décembre à 13h. Elle a atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre. Aujourd’hui, le midi vrai a lieu au midi moyen.
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [2] : l’amas globulaire Messier 22 du 23 décembre au 6 janvier ; la planète Saturne du 24 décembre au 11 janvier.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français. Elle est faible : le 20 décembre ; 210 jours sans tache depuis le début de l’année et 4e jour consécutif..
– Le 25 décembre à 15h18, Mercure et Vénus sont en parallèle de latitude à +2°43’ ; Vénus monte et Mercure descend ; longitude Mercure 205°50’ (26e BAL), Vénus 129°57’ (10e LIO)
– Le 26 décembre à 17h45 Vénus au périhélie : au plus près du Soleil à 0,728 243 UA soit 107,48 millions de kilomètres environ ; longitude écliptique 131°41’ (12e LIO - invariable, si ce n’est l’avance de 1°24’7" par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude +2°46’ (monte) ; en géocentrique, sa longitude est de 228°25’ (19e SCO, variable) ; sa latitude +3°21’ (monte). Prochain aphélie le 18 avril (0,728 UA).
– Le 26 décembre à 22h50, Mercure entre dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) ; sa latitude est alors de +2°14’ (descend). Elle reste dans ce signe jusqu’au 5 janvier.
– Le 27 décembre à 8h15, Mercure opposé Uranus ; longitude 211°/31°15’ (2e SCO/TAU) ; latitude Mercure +2°5’ (descend), Uranus -0°31’ (monte).
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h12 le 22 décembre et à 17h17 le 29. Il se lève à 8h27 le 22 décembre et à 8h29 le 29
Correction en longitude [3]
– A notre latitude, la durée du jour diminue de 2 minutes le matin et augmente de 5 minutes le soir ; au total, elle augmente de 3 minutes en 7 jours (diminution de 2 minutes en 7 jours la semaine dernière) ; elle se décale vers le soir en raison de l’équation de temps.
– Ce phénomène est dû à l’équation de temps : en effet le Soleil culmine de plus en plus tard jusqu’au 11 février. Jusqu’au 21 ou 22 décembre (solstice d’hiver), la durée du jour diminue mais à partir du 13 décembre le décalage dû à l’équation de temps est plus important que l’avance de son coucher. C’est la Sainte Luce, avec son célèbre dicton "à la Sainte Luce le jour croît d’un saut de puce". Jusqu’à début janvier, le Soleil se lève, culmine et se couche de plus en plus tard par rapport au midi moyen. A partir du solstice, les jours commencent à rallonger, mais il faut attendre début janvier pour que son lever cesse de retarder.
– Nous assistons donc aux levers du Soleil les plus tardifs de l’année dans l’hémisphère Nord :
– pour 40° Nord, du 31 décembre au 10 janvier à 8h22
– pour 45° Nord, du 28 décembre au 8 janvier à 8h38
– pour 50° Nord, le 31 décembre et le 1er janvier à 8h59.
La Lune :
– La Pleine Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près à l’opposé du Soleil.
– Au fil des jours, gibbeuse décroissante, elle se lève en première moitié de nuit, culmine en deuxième moitié de nuit et se couche dans la matinée, chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– A son Dernier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du minuit vrai, culmine au lever du Soleil, et se couche aux alentours du midi vrai.
- Mira de la Baleine, et une autre étoile variable à longue période de même type : chi du Cygne, ont atteint leur maximum fin novembre et restent visibles à l’œil nu jusqu’à la fin du mois.
– La lumière zodiacale est possible à voir en début de nuit, avant même la fin du crépuscule astronomique, au Sud-Ouest devant le Capricorne (Cap) et le Verseau (Aqr), pointant vers Mars. En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h53 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 22 décembre, aux alentours de 22h, maximum attendu des Ursides (URS), actif du 17 au 26 décembre ; taux horaire zénithal (zhr) : 10 (radiant Grande Ourse, UMa)
– le 25 décembre, aux alentours de 21h, maximum attendu des Coma Berenicides (COM), taux horaire zénithal (zhr) : 3 (radiant Chevelure de Bérénice, Com)
– le 27 décembre, aux alentours de 8h, maximum attendu des sigma Serpentides (SSE) et des omega Serpentides (OSE)
Noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
– Quadrantides (QUA) radiant Bouvier (Boo), actif du 28 décembre au 12 janvier
– Invisible, elle se couche juste après le Soleil. Élongation 10° à 4°E.
– Elle va être conjointe au Soleil le 2 janvier 2019. Sa prochaine opposition aura lieu le 9 juillet 2019. La dernière date du 27 juin 2018. Elle est passée en quadrature Est le 26 septembre.
. Elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 le 24 décembre et s’y trouve jusqu’au 11 janvier. Elle traversera aussi le champ plus réduit du coronographe Lasco C2 le 2 janvier
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +26° à +25,5° en décembre .
– Élongation maximale de Titan à l’Est le 23 décembre à 7h36
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril 2019.
– Sa distance au Soleil (10,060 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril dernier. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Sa distance à la Terre augmente de 11,030 à 11,041 UA ; elle est passée au périgée le 27 juin (9,048 UA) ; prochain apogée le 2 janvier 2019 (11,043 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations ; elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
- Elle culmine aux alentours de 17h40 à près de 40° de hauteur pour notre latitude (44°N) et se couche aux alentours de 23h40.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre, à l’opposition du Soleil le 7 septembre. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 4 février.
– Élongation 74° à 67° Est ; Magnitude 7.9 ; diamètre apparent 2,2 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,939 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,318 UA le 29 décembre, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars 2019 (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle remonte : elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 22 septembre : -1°0’. Prochain maxima le 19 février 2019 (-0°57’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin 2019 (-5°23’).
– Elle culmine aux alentours de 18h20, de plus en plus haut, et se couche aux alentours de 0h15. Élongation 83° à 81° Est.
– Elle passée en quadrature Est au Soleil le 3 décembre (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
- Son diamètre apparent, inférieur à 8 secondes d’arc, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +0.3 à +0.4. Elle reste observable jusqu’en janvier, et sera visible à l’œil nu jusqu’en avril. Elle nous réserve encore de belles rencontres stellaires au fur et à mesure de son parcours le long de l’écliptique
– Elle a dépassé Neptune le 7 décembre.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre dans le plan écliptique et le 9 octobre dans le plan équatorial. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation des Poissons (Psc) du 21 décembre au 13 février. Elle arrivera alors devant la constellation du Bélier (Ari).
– Ci-contre son parcours du 1er mai 2018 au 22 juin 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er mai 2018)
– Elle est dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) du 15 novembre au 1er janvier. Elle entrera alors dans le signe du Bélier.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 11 décembre au 2 février.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,443 à 1,450 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019 (2,675 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 1,184 à 1,239 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Sud depuis le 16 mars (nœud descendant), elle a atteint sa latitude géocentrique minimale le 4 août (-6°35’) et sa latitude héliocentrique minimale le 20 août (-1°50’). Elle monte et passera en latitude Nord (nœud ascendant) le 15 janvier 2019.
– En déclinaison Sud depuis le 27 octobre 2017, elle remonte ; elle a atteint sa déclinaison minimale le 16 août (-26°29’ -hors-limites zodiacales ). Elle passera en déclinaison Nord le 2 janvier 2019.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
- Elle culmine aux alentours de 20h20 et se couche aux alentours de 3h00.
– Son élongation passe de 119° à 111° Est. Magnitude 5.8 ; diamètre apparent 3,6 secondes d’arc.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 23 octobre.
– Elle sera en quadrature Est le 19 janvier, conjointe au Soleil le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet et à l’ opposition le 28 octobre 2019.
-Son mouvement est rétrograde du 7 août 2018 (3e TAU) au 6 janvier 2019 (29e BEL) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril.
– Elle est devant la constellation des Poissons (Psc) du 3 décembre au 6 février ; elle y reprendra son mouvement direct le 6 janvier. Elle était aupavant devant le Bélier depuis le 27 avril. Elle y restera ensuite jusqu’au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars 2019 et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,862 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 19,488 UA le 29 décembre. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril 2019 (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai 2019 (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte : elle a atteint un maximum le 6 août (+11°50’). Prochain minimum le 5 janvier 2019 (+10°28’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
– Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre. Elle se lève aux environs de 4h30.
Son élongation au Soleil passe de 45° à 46° Ouest.
– Elle va atteindre son élongation maximale le 6 janvier ; sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 13 août 2019 ; sa prochaine conjonction inférieure, le 4 juin 2020. La précédente date du 26 octobre
– Elle est en phase de premier croissant ; sa portion éclairée augmente de 44% à 46% ; son diamètre apparent, 28 secondes d’arc le 29 décembre, diminue ; son éclat : magnitude -4.5, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 22 août 2018 au 1er mai 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 22 août 2018.
– Elle est devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 13 décembre. Elle y reste jusqu’au 9 janvier. Elle arrivera alors devant le Scorpion (Sco).
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Elle est dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) du 2 décembre au 7 janvier. Elle y a déjà été du 9 septembre au 31 octobre.
– En héliocentrique, elle signe Lion du 19 décembre au 6 janvier.
– Distance au Soleil : elle atteint son périhélie le 26 décembre à 17h45 : au plus près du Soleil à 0,728 243 UA soit environ 107,48 millions de kilomètres. Elle s’en éloigne ensuite jusqu’à son prochain aphélie qui aura lieu le 18 avril (0,728 UA). Aphélie précédent le 5 septembre (0,728 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,565 à 0,615 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août 2019 (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant). Elle atteindra sa latitude maximale le 3 janvier en géocentrique et le 17 janvier en héliocentrique ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, puis un maximum le 28 novembre (-9°49’) ; elle redescend maintenant jusqu’à un minimum de -21°11’.le 10 février 2019. Elle passera en déclinaison Nord le 23 avril 2019
- Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 novembre
– A nouveau conjointe à Mercure le 21 décembre, elle est visible avec elle avant le lever du Soleil ; elle se lève entre 6h47 (le 22) et 6h27 (le 29). Cette conjonction est la troisième en deux mois entre ces deux planètes : la première a eu lieu le 29 octobre et la deuxième 27 novembre, avec le Soleil.
- Cette fois-ci, les deux planètes sont conjointes à Antarès (alpha Scorpion, magnitude 1.05) ; en ce qui concerne Jupiter le 23 décembre à 19h39 dans le plan écliptique, l’étoile 5°12’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’53". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire ; La conjonction dans le plan équatorial a eu lieu le 20 décembre. L’étoile est encore un peu difficile à distinguer au raz de l’horizon aux alentours de 7h30 dans les lueurs de l’aube sous Mercure et Jupiter.
– Son élongation passe de 20° à 25° Ouest.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin 2019. Précédente le 9 mai 2018.
- Le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites redeviennent observables :
– le 29 décembre, aux alentours de 7h, les quatre sont alignées dans l’ordre Ganymède, Io, Europe, Callisto à l’Est de la planète
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,351 UA le 29 décembre diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 6,259 à 6,214 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin 2019 (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 25 avril (+1°16’) ; prochain minimum le 3 février 2019 (+0°37’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril 2019 (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Son élongation passe de 19° à 17° Ouest. Elle a atteint son élongation maximale le 15 décembre.
– Elle est visible à l’œil nu dans le ciel du matin depuis le 5 décembre et le reste jusqu’à la fin du mois.
– Elle se lève 1 heure 40 minutes avant lui le 22 décembre et 1 heure 19 minutes avant lui le 29. Sa magnitude se maintient à -0.4.
– Sa dernière conjonction inférieure a eu lieu le 27 novembre. Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 30 janvier ; sa prochaine conjonction inférieure, le 15 mars.
– Elle a dépassé Jupiter le 21 décembre
- Elle est conjointe à Antarès (alpha Scorpion, magnitude 1.05) le 22 décembre à 2h48 dans le plan écliptique, l’étoile 6°4’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’53". La conjonction dans le plan équatorial a eu lieu le 21 décembre à 9h25, ∆ +6°10’.
– Elle a été conjointe à Antarès le 9 novembre, ceci étant dû à son mouvement, rétrograde du 17 novembre au 6 décembre.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 78% à 88%
– Son diamètre apparent, 5 secondes d’arc, diminue.
- Son mouvement est direct du 6 décembre (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 1er octobre 2018 au 25 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2018.
– Devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 20 décembre au 2 janvier ; elle arrivera alors devant le Sagittaire (Sgr).
– Dans le signe du Sagittaire (Lg 240° à 270°) du 13 décembre au 5 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Balance du 18 au 26 décembre, puis Scorpion jusqu’au 5 janvier.
– En latitude Nord depuis le 24 novembre (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale le 8 décembre en géocentrique (+2°42’) et le 9 décembre en héliocentrique (+7°0’). Elle passera à son nœud descendant le 1er janvier.
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle a atteint un minimum le 12 novembre (-24°49’ -hors limites zodiacales (-23°26’13") du 2 au 20 novembre) ; puis un maximum le 7 décembre (-16°54’). Maintenant elle redescend ; elle repassera hors limites zodiacales du 2 au 18 janvier avec un minimum le 11 janvier à -24°8’ ; elle passera en déclinaison Nord le 27 février.
– Sa distance au Soleil augmente, de 0,410 à 0,440 UA ; elle est passée au périhélie le 29 novembre ; (0,307 UA) ; prochain aphélie le 12 janvier (0,466 UA).
– Sa distance à la Terre : 1,160 à 1,263 UA, augmente depuis son périgée le 27 novembre (0,678 UA) ; prochain apogée le 22 janvier 2019 (1,422 UA).
– Magnitude 15.1
– Elle n’est plus observable. Elle est passée en quadrature Est (au Soleil ) le 12 octobre.
– Sa dernière opposition au Soleil a eu lieu le 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 21 janvier 2019.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,706 à 33,710 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 34,631 à 34,668 UA. Elle est passée au périgée le 10 juillet 2018 (32,58 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2019 (34,70 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril 2019 (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (6) Hebe, m 8.5, le 28 décembre dans le plan équatorial ; devant Orion (Ori), à la limite de la Licorne (Mon), à moins de 1° de la nébuleuse de la Rosette. Hebe est passé au périgée le 20 décembre.
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 20 décembre : 4.4, donc visible à l’œil nu sous un bon ciel. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle est devant le Cocher (Aur) ; elle culmine aux alentours de 0h40 ; pour la suivre en temps réel. Le 23 décembre elle se trouve à moins de 1° au Sud de Capella (alpha du Cocher) mais la Lune encore bien pleine la rend invisible à l’œil nu.
- 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 20 décembre : 10.0, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre. Devant le Lynx (Lyn), elle culmine aux alentours de 4h30 ; la suivre en temps réel.
– 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 20 décembre : 10.0, devant le Triangle (Tri) puis le Bélier (Ari) à partir du 23 décembre, en excellentes conditions d’observation. Elle culmine aux alentours de 22h30. Elle est passée au périhélie le 3 novembre ; la suivre en temps réel.
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– sur theskylive.com
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 29 décembre, 2018 TL6 2018 TL6, magnitude 22
– Pluton et au-delà
- New Horizons, la sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, se dirige vers un autre objet transneptunien, 2014 MU69, maintenant surnommé "Ultima Thule", qu’elle va atteindre ce 1er janvier ! Le 9 décembre 2017, la sonde a effectué une correction de trajectoire, puis après quelques mois d’hibernation, elle a été réveillée le 4 juin 2018 et s’apprête à faire ses observations. Infos sur spaceweather.com ; sur [TheSkyLive>https://theskylive.com/pages/new-horizons-2014-mu69/]
– Lune
– Mission chinoise sur la face cachée de la Lune
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire : la sonde est sorti du cocon magnétique du Soleil et est entré dans l’espace interstellaire. Les scientifiques de la mission ont annoncé cette nouvelle fracassante le 9 décembre à l’ American Geophysical Union meeting à Washington DC. Son jumeau, Voyager 1, a traversé la même frontière en 2012, mais le passage de Voyager 2 devrait apporter davantage d’informations car il transporte un instrument de travail qui peut sonder les plasmas interstellaires ; ce sera le premier échantillon in-situ de matière entre les étoiles.
La preuve la plus incontestable que Voyageur 2 est sorti de l’ heliosphere vient de son "Plasma Science Experiment" (PLS), un instrument qui a cessé de fonctionner sur Voyageur 1 en 1980. Jusque récemment, Voyageur 2 était entouré principalement par le vent solaire - un type de plasma émis par le Soleil. Le 5 novembre, le Plasma Science Experiment de Voyager 2 a enregistré un brusque déclin du vent solaire, et depuis cette date, il n’a pas enregistré d’autre flux de vent solaire, un signe évident qu’il a quitté l’héliosphère.
A la place du vent solaire, il y a un blizzard de rayons cosmiques galactiques. Le champ magnétique solaire protège le système solaire des rayons cosmiques en brisant les rayons de haute énergie des explosions de supernovae dans la Voie Lactée et ailleurs. Maintenant que Voyager 2 est sorti de cette coquille protectrice, il est légèrement exposé aux rayons cosmiques, et son sous-système de rayons cosmiques enregistre une onde.
Lancé en 1977, Voyager 2 est maintenant à un peu plus de 18 milliards de kilomètres de la Terre. Les opérateurs de la mission peuvent encore communiquer avec Voyager 2 alors qu’il entre dans une nouvelle phase de son voyage, mais l’ information – qui se déplace à la vitesse de la lumière – met environ 16,5 heures à parvenir à la Terre.
Les sondes Voyager sont alimentées par la chaleur provenant de la désintégration de matières radioactives, contenu dans un générateur thermique de radio-isotopes (RTG). La puissance de sortie des RTG diminue d’environ quatre watts par an, ce qui signifie que diverses parties des Voyagers, y compris les caméras des deux engins spatiaux, ont été éteintes au fil du temps pour économiser l’énergie. Grâce à ces précautions, les Voyagers pourront encore envoyer quelques données dans les années à venir.
"Il y a encore beaucoup à apprendre sur l’espace interstellaire immédiat au-delà de l’héliosphère" dit Ed Stone, scientifique du projet, basé à Caltech, Pasadena en California. A suivre sur le site Voyager - NASA. Source
– Mars
– Insight, arrivée sur Mars réussie
– autres missions : Mars Express ; 15 ans en orbite
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS, en orbite, fin de l’aérofreinage, la mission scientifique débute
– Mercure
– Lancement réussi de BEPI COLOMBO le 19-20 Octobre 2018 de Kourou avec une fusée Ariane 5. Dernières nouvelles sur les Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles : HAYABUSA 2 : MASCOT a rejoint ses deux collègues rovers
– Jupiter
– JUNO, des vagues dans l’atmosphère de Jupiter
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Fin de la mission Kepler en novembre
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
Rappels
– Astronews du 1er décembre ; au sommaire : -Insight, on est sur Mars, les premières photos ; -conférence de Jocelyn Bell à l’occasion de sa remise de la grande Médaille de l’Académie des Sciences pour sa découverte des pulsars ... en 1967 ; -Poids et Mesures, réunion historique à Versailles de la CGPM des 13-16 Nov 2018 ; -Osiris-Rex : Bennu en approche ; -Système Solaire, un objet transneptunien récemment découvert confirmerait l’existence de la planète Nine ; -Système Solaire, on découvre des anneaux à certains astéroïdes et planètes naines ; -Systèmes planétaires, le mystère des disques de gaz résolu ; -Mission LUCY pour l’exploration des astéroïdes Troyens ; Fusion Thermonucléaire, un Tokamak chinois à 100 millions de degrés ; -un trou Noir à rotation extrêmement rapide découvert ; -Le télescope spatial TESS est opérationnel ; Livre conseillé : l’aventure Apollo
– La lettre de l’IMCCE de décembre n° 151 : *Le solstice d’hiver *Observer le ciel en décembre 2018 : Uranus et Neptune *La connaissance des temps 2019 *le bolide du 24 novembre
– La lettre du guide du ciel n°142. (1er décembre 2018) de Guillaume Cannat : cadeaux de Noël
– Excellent site japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– Astrosurf magazine numéro 95, novembre-décembre 2018, une revue d’astronomie pratique qui ne manque pas de poésie et de profondeur. Sommaire.
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
– L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [4], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait et fiche vierge correspondante pour noter vos observations de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[3] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[4] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.