vendredi 28 décembre 2018, par
La Lune
– Elle marque les signes de Balance à Capricorne
– Elle passe de la constellation de la Vierge (Vir) à celle du Sagittaire (Sgr)
– Le 29, Dernier Quartier, passe en déclinaison Sud ; le 30, conjoint Spica, latitude maximale ; le 1er janvier, conjoint Vénus ; le 3, conjoint Antarès, Jupiter ; le 4, dernier croissant (œil nu), conjoint Mercure ; le 5, dernier croissant (instrument), conjoint Saturne, déclinaison minima, conjoint Nunki ; le 6, Nouvelle Lune, éclipse partielle de Soleil, visible Asie, Pacifique.
En géocentrique
– Le Soleil est dans le signe du Capricorne
– devant la constellation du Sagittaire (Sgr)
– conjoint à Saturne le 2 janvier
– Les planètes :
– Mars signe Bélier le 1er janvier, passe en déclinaison Nord le 2
– Saturne, apogée le 2 et conjoint Soleil
– Mercure arrive devant la constellation du Sagittaire le 2, signe Capricorne le 3
– Vénus, latitude maxima le 3, élongation Ouest maximale le 6
– Uranus reprend son mouvement direct le 6
– En héliocentrique
– Mercure opposé Mars le 30 décembre, nœud descendant le 2 janvier, signe Sagittaire le 6
– Terre périhélie le 3
– Vénus signe Vierge le 7
- Aujourd’hui, la comète 2018 TL6 2018 TL6 au périhélie
– Aux alentours de 7h, remarquer au télescope leslunes de Jupiter.
– A 9h125, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 12 / 18h32m, déclinaison Soleil -23°13’ -monte, Lune +1°50’ -descend
– A 18h00, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Sud : : déclinaison 0° ; ascension droite 12h51m. Longitude écliptique 191°51’ (12e BEL), latitude +5°5’, monte.
- Aujourd’hui, la comète C/2018 X3 PanSTARRS au périhélie
– Ce matin, Vénus et Cérès ne sont qu’à 3° d’écart angulaire l’une de l’autre
– A 8h04, la Lune conjoint l’astéroïde (2) Pallas dans le plan équatorial.
– A 9h13, Mercure opposé Marsen héliocentrique.
– A 10h20, la Lune conjoint l’astéroïde (2) Pallas dans le plan écliptique
- A 10h39, la Lune est conjointe à Spica dans le plan équatorial, l’étoile (alpha Virgo) 7°50’ au Sud. La Lune se lève aux alentours de 1h30 pour notre localisation et Spica apparaît près d’une heure plus tard. En fin de nuit, Vénus, puis Jupiter et enfin Mercure viennent compléter un magnifique chapelet matinal.
– A 14h45, la Lune est conjointe à Spica dans le plan écliptique Δ +7,3°. Spica (alpha Virginis) marque depuis 2014, pour 70 ans environ, le 25e degré du signe de la Balance (longitude actuelle en coordonnées moyennes de la date 204°6’36’’).
– A 20h54, la Lune atteint sa latitude maximale : +5°16’8" au Nord du plan de l’écliptique ("ailes du Dragon") ; longitude : 206°58’ (27e BAL) ; ascension droite 13h47m, déclinaison -5°28’ -descend ; distance : 59,91 rayons terrestres soit environ 382 170 kilomètres. Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à l’axe des nœuds (il est rétrograde, en Bélier/Balance du 6 novembre 2018 au 4 mai 2020
– Aux alentours de 21h, la Lune atteint sa libration minimale en latitude (B= -6,8°) : elle présente son Sud au maximum.
– A 23h14, Lune opposé Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (29e BAL/BEL)
- A 2h22, la Lune entre dans le signe du Scorpion ; Lg 210° à 240° ; sa latitude est alors de +5°15’ -descend.
- Ce matin, sur la Lune proche de ses librations maximale en longitude et minimale en latitude, apprécier le cratère Copernic sur lequel le Soleil va se coucher.
– Aux alentours de 12h, la Lune atteint sa libration maximale en longitude (L= +6,5°) : elle nous présente son Est au maximum.
– A 13h37 Mercure parallèle Soleil (plan équatorial 23°S)
– A 15h03, la Lune arrive devant la constellation de la Balance (Lib) ; longitude 216°57’ (7e SCO) ; latitude +5°11’, descend.
– A 20h48, Lune sextil Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (11e SCO/CAP)
- L’étoile Sirius (alpha du Grand Chien) culmine au minuit vrai exactement (0h54 pour notre localisation).
– A 3h00, Mars entre dans le signe du Bélier en géocentrique - Lg 0° (mouvement direct)
– A 17h30, la Lune conjoint la planète naine (1) Cérès dans le plan écliptique.
- A 22h26, la Lune est conjointe à Vénus dans le plan écliptique, la planète 1°13’ au Sud ; longitude 24e SCO. Remarquable le 1er et le 2 janvier au matin. Avec un instrument, il est aussi possible de localiser la planète naine Cérès.
– A 22h47, la Lune est conjointe à Vénus dans le plan équatorial, Δ +1°16’ ; élongation solaire de Vénus 46° Ouest.
- A 0h35, Mercure passe à son son nœud descendant du point de vue géocentrique
– A 0h32, Mercure passe à son son nœud descendant du point de vue héliocentrique
– A 1h37, Mars passe en déclinaison Nord.
– A 5h45, le Soleil conjoint Saturne dans le plan géo-équatorial.
– A 6h52 Soleil conjoint Saturne dans le plan écliptique = Terre opposé Saturne en héliocentrique.
– A 9h57, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270° ; sa latitude est alors de +4°25’ -descend.
– Aux alentours de 12h15, Mercure sort des limites zodiacales
– A 15h00, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 242°39’ (3e SAG) ; latitude +4°16’, descend.
– A 20h00, Mercure, arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr).
– A 23h21, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 247°2’ (8e SAG) ; latitude +4°1’, descend.
- A 2h35, la Lune est conjointe à Antarès dans le plan équatorial, l’étoile 8°36’ au Sud. La Lune se lève aux alentours de 6h55 pour notre localisation, suivie par Antarès, une demi-heure plus tard.
– A 5h05, la Lune est conjointe à Antarès (étoile alpha du Scorpion ; m 1.1) dans le plan écliptique, ∆ +8°25’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’55". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire.
– Aux alentours de 6h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Leonides de janvier (JLE)
– A 6h20, la Terre au périhélie = Soleil au périgée = distance minimale entre la Terre et le Soleil.
– A 8h36, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, la planète 3°7’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 30° Ouest. La Lune se lève peu avant 6h, suivie par Jupiter un quart d’heure plus tard.
– A 9h22, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, Δ +3°4’ ; longitude 252°15’ (13e SAG).
– A 16h18, Vénus atteint sa latitude maximale du point de vue géocentrique : +3°26’
- Aux alentours de 1h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Quadrantides (QUA)
– A 6h14, Mercure trigone Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (29e SAG/BEL)
– Durant une quinzaine de jours à partir d’aujourd’hui, il est possible de voir la lumière zodiacale en fin de nuit.
– Aux alentours de 7h, remarquer au télescope leslunes de Jupiter.
- Aux alentours de 7h30 (pour notre localisation), dernier croissant de Lune, facilement visible à l’œil nu : de 3%, 43 heures avant la Nouvelle Lune ; pour notre localisation, il se trouve à 4° de hauteur, azimut 125°, le Soleil étant à 10° sous l’horizon ; la Lune se lève 1 heure 33 minutes avant le Soleil, à 6h56, à l’azimut 119° ; elle marque alors le 25e degré du signe du Sagittaire.
– A 13h24, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°41’ (27e SAG) ; latitude +2°39’, descend.
- A 18h40, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan équatorial, la planète 2°45’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 14° Ouest. La Lune se lève peu avant 7h, suivie par Mercure une demi-heure plus tard.
– A la même heure, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan écliptique, Δ +2°45’ ; longitude 269°22’ (30e SAG).
– A 19h54, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300° ; sa latitude est alors de +2°22’ -descend.
– A 20h59, Soleil sextil Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e VIE/POI)
- A 2h48, Uranus atteint sa déclinaison minimale : +10°28’ (Nord)
– A 4h24, Mercure entre dans le signe du Capricorne en géocentrique (mouvement direct)
– Aux alentours de 7h15 (pour notre localisation), dernier croissant de Lune théoriquement visible seulement à l’aide d’un instrument : de 0,6%, 18,5 heures avant la Nouvelle Lune ; pour notre localisation, il se trouve à 3° de hauteur et 256° d’azimut, le Soleil étant à 2° sous l’horizon ; la Lune se lève 37 minutes avant le Soleil, à 7h52, à l’azimut 121° ; elle marque alors le 7e degré du signe du Capricorne.
– Aux alentours de 13h (12h UTC), l’ultime croissant de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument à l’Ouest de l’Afrique équatorial, 13,5 heures environ avant la Nouvelle Lune. Voir les très fins croissants de Lune
– A 19h31, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, la planète 0°52’ au Sud ; longitude 12e SAG. Invisible.
– A 19h42, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial, Δ +0°52’ ; élongation solaire de Saturne 2° Ouest.
– Il se produit une occultation de Saturne par la Lune pour l’Amérique du Nord.
– A 19h42, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -21°33’12" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 18h51m ; longitude écliptique 282°1’ (13e CAP), latitude +1°20’ (descend). Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord, à 23°° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 12h30.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
– A 20h56, la Lune est conjointe à l’étoile Nunki (sigma Sagittaire ; m 2) dans le plan écliptique, l’étoile 4°44’ au Sud. En raison de la précession des équinoxes, Nunki marque de nos jours le 13e degré du signe du Capricorne. La conjonction dans le plan équatorial a lieu à 21h51, Δ+4°43’. Invisible.
- A 0h44, Mercure entre dans le signe du Sagittaire en héliocentrique.
– Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 22 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– Aux alentours de 2h, maximum attendu de l’essaim météoritique des alpha Hydrides (AHY)
- A 2h42, maximum d’une éclipse partielle de Soleil
, visible depuis le nord-est de l’Asie, le nord de l’Océan Pacifique. Tous les détails ici.
– Elle sera suivie, pour la prochaine Pleine Lune, le 21 janvier, d’une éclipse totale de Lune, pour laquelle nous serons particulièrement bien situés : elle aura lieu de 3h37 à 8h48, le maximum à 6h12. Plus d’info
– A 2h44, Lune conjoint Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 19h7m, déclinaison Soleil -22°32’ -monte, Lune -21°30" -monte
– A 5h53, Vénus atteint son élongation maximale à l’Ouest du Soleil
– Aux alentours de 15h (14h TU), soit 12,5 heures environ après la Nouvelle Lune, le croissant primeur de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument juste après le coucher du Soleil depuis le Nord-est de l’Asie et le Nord du Pacifique. Voir les très fins croissants de Lune et visibilité du premier croissant de Lune
– A 19h23, Uranus est stationnaire dans le plan écliptique et reprend son mouvement direct.
– Le 7 janvier à 0h10, Vénus entre dans le signe de la Vierge en héliocentrique.
- devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 18 décembre au 20 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap)
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er novembre 2018, 0h TU (9e SCO) au 5 mai 2019, 0h TU (15e TAU) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er novembre.
– Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) = la Terre est dans le signe du Cancer en héliocentrique, du 21 décembre, 23h08 (22h08 UTC), au 20 janvier, 9h45 (8h45 UTC).
signe du Capricorne
Nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud (-) reçoit beaucoup plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais il en perd un peu chaque jour (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) en reçoit beaucoup moins (F) que le Sud mais il en regagne un peu chaque jour (v).
– Nous avons Sud (-) majoritaire (F) / Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) / croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
– Il est conjoint à Saturne le 2 janvier à 6h52 (en coordonnées moyennes de la date) dans le plan écliptique, à la longitude 281°52’ (12e CAP) ; latitude Saturne +0°28’ (descend). C’est l’ opposition Terre-Saturne en héliocentrique soit un alignement Terre-Soleil-Saturne. La conjonction dans le plan géo-équatorial a lieu à 5h45, Saturne 0°29’ au Nord ; ascension droite 18h49m, déclinaison Soleil -22°56’ -monte, Saturne -22°27’ -monte : les deux astres sont en parallèle de déclinaison. Saturne se trouve dans le champ du coronographe Lasco C3. Elle atteint son apogée le même jour à 2h43.
– Il est au périgée le 3 janvier à 6h250 : au plus près de la Terre à 0,983 301 165 UA soit environ 147 millions de kilomètres. Autrement dit, c’est le périhélie de la Terre en héliocentrique. Son diamètre apparent est maxima : 32 minutes et 30 secondes d’arc. Longitude écliptique 282°33’ (13e CAP)
– A notre époque, l’instant du périhélie peut survenir entre le 1er janvier à 22 TU (comme en 1989) et le 5 janvier à 8h TU (comme en 2020) : cela est lié à la danse du couple Terre-Lune autour de son barycentre. Les périhélies les plus proches ont lieu en période de Dernier Quartier, les plus lointains en période de Premier Quartier. D’autre part, l’axe des apsides (périhélie-aphélie) de la Terre progresse de 1°43’ par siècle sur l’écliptique, ce qui fait que la date moyenne du périhélie et de l’aphélie retarde d’environ 1 jour par siècle.
– L’équation de temps était nulle le 25 décembre. Le midi vrai a lieu de plus en plus tard par rapport au midi moyen. Elle a atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre et atteindra son premier maximum positif le 17 février (+14m14s).
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [2] : l’amas globulaire Messier 22 du 23 décembre au 6 janvier ; la planète Saturne du 24 décembre au 11 janvier.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français. Elle est faible : le 28 décembre ; 218 jours sans tache depuis le début de l’année et 12e jour consécutif.
– Le 30 décembre à 9h13, Mercure opposé Mars ; longitude 220°/40°43’ (11e SCO/TAU) ; latitude Mercure +0°57’ (descend), Mars -0°17’ (monte).
– Le 2 janvier à 0h32, Mercure passe au nœud descendant de son orbite : latitude écliptique 0°, passe au Sud ; longitude 228°33’ (19e SCO - invariable, sauf l’avance de 1°11’10" par siècle de l’axe de ses nœuds en termes linéaires). Du point de vue géocentrique, elle passe à son nœud descendant à 0h35 ; sa longitude est de 265°18’ (26e SAG - variable).
– Le 2 janvier à 6h52, Terre opposé Saturne ; longitude 101°/281°32’ - 12e CAN/CAP) ; latitude Saturne +0°31’ (descend) ; c’est la conjonction Soleil-Saturne en géocentrique.
– Le 3 janvier, à 6h20, la Terre au périhélie : au plus près du Soleil à 0,983 301 165 UA soit 147 millions de kilomètres environ ; longitude écliptique 102°33’ (13e CAN) ; du point de vue géocentrique, c’est le périgée du Soleil. La Terre se trouve 5 millions de kilomètres environ plus près de lui qu’à son aphélie, aux alentours du 4 juillet (soit 3,4%).
– Le 6 janvier à 0h44, Mercure entre dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) ; sa latitude est alors de -1°23’ (descend. Elle reste dans ce signe jusqu’au 16 janvier.
– Le 7 janvier à 0h10, Vénus entre dans le signe de la Vierge (longitude 150° à 180°) ; sa latitude est alors de +3°14’ (monte). Elle reste dans ce signe jusqu’au 25 janvier.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h17 le 29 décembre et à 17h24 le 6 janvier. Il se lève à 8h29 le 29 décembre et à 8h29 le 6 janvier
Correction en longitude [3]
– A notre latitude, la durée du jour augmente de 7 minutes le soir et zéto le matin ; au total, elle augmente de 7 minutes en 7 jours (augmentation de 3 minutes en 7 jours la semaine dernière) ; elle se décale vers le soir en raison de l’équation de temps : en effet le Soleil culmine de plus en plus tard jusqu’au 11 février. Jusqu’au 21 ou 22 décembre (solstice d’hiver), la durée du jour diminue mais à partir du 13 décembre le décalage dû à l’équation de temps est plus important que l’avance de son coucher. C’est la Sainte Luce, avec son célèbre dicton "à la Sainte Luce le jour croît d’un saut de puce". Jusqu’à début janvier, le Soleil se lève, culmine et se couche de plus en plus tard par rapport au midi moyen. A partir du solstice, les jours commencent à rallonger, mais il faut attendre début janvier pour que son lever cesse de retarder.
– Nous assistons donc aux levers du Soleil les plus tardifs de l’année dans l’hémisphère Nord :
– pour 40° Nord, du 31 décembre au 10 janvier à 8h22
– pour 45° Nord, du 28 décembre au 8 janvier à 8h38
– pour 50° Nord, le 31 décembre et le 1er janvier à 8h59.
– L’ étoile Sirius (alpha du Grand Chien-CMa) passe au méridien à la mi-nuit exactement le 1er janvier (0h54 heure légale pour notre localisation). Pour la latitude terrestre 45° Nord, sa hauteur de culmination est de 28° Nord.
La Lune :
– A son Dernier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du minuit vrai, culmine au lever du Soleil, et se couche aux alentours du midi vrai.
– Au fil des jours, en croissant de plus en plus fin, elle se lève en deuxième moitié de nuit, culmine dans la matinée et se couche dans l’après-midi, chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– Dernier croissant, visible à l’œil nu, le 5 janvier au matin ; avec instrument le 6.
– La Nouvelle Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près en même temps que le Soleil.
– La lumière zodiacale est possible à voir en début de nuit, avant même la fin du crépuscule astronomique, au Sud-Ouest devant le Capricorne (Cap) et le Verseau (Aqr), pointant vers Mars et en fin de nuit du 4 au 18 janvier, au Sud-est devant le Scorpion (Sco) et la Balance (Lib). En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h56 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 3 janvier, aux alentours de 6h, maximum attendu des Leonides de janvier (JLE)
– le 4 janvier, aux alentours de 1h, maximum attendu des Quadrantides (QUA) radiant Bouvier (Boo), actif du 28 décembre au 12 janvier, taux horaire zénithal (zhr) : 3
– le 6 janvier, aux alentours de 5h, maximum attendu des alpha Hydrides (AHY)
Noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
– Elle est conjointe au Soleil le 2 janvier
. Elle est dans le champ du coronographe Lasco C3 du 24 décembre au 11 janvier. Le 2 janvier, elle traverse aussi le champ plus réduit du coronographe Lasco C2.
– Son élongation passe de 4° Est le 29 décembre à 3° Ouest le 6 janvier.
– Elle réapparaîtra dans le ciel de l’aube le 20 janvier.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 9 juillet 2019. La dernière date du 27 juin 2018.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +25,5° à +24,8° en janvier .
– Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 31 décembre à 9h42
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril.
– Sa distance au Soleil (10,060 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril dernier. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Distance à la Terre : elle atteint son apogée le 2 janvier à 2:43 : au plus loin de la Terre à 11,043 477 UA soit 1,652 milliards de kilomètres ; longitude 281°30’ -12e CAP ; latitude +0°28’ -descend. Cela est lié à sa conjonction au Soleil. A partir de là sa distance à la Terre diminue, jusqu’à son prochain périgée le 10 juillet (9,032 UA) ; périgée précédent le 27 juin (9,048 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations ; elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
- Elle culmine aux alentours de 17h10, soit au coucher du Soleil et se couche aux alentours de 22h40.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre, à l’opposition du Soleil le 7 septembre. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 4 février.
– Élongation 67° à 59° Est ; Magnitude 7.9 ; diamètre apparent 2,2 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,939 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,437 UA le 29 décembre, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars 2019 (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle remonte : elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 22 septembre : -1°0’. Prochain maxima le 19 février 2019 (-0°57’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin 2019 (-5°23’).
– Elle culmine aux alentours de 18h10, de plus en plus haut, et se couche aux alentours de 0h10. Élongation 81° à 78° Est.
– Elle passée en quadrature Est au Soleil le 3 décembre (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
– Son diamètre apparent, 7 secondes d’arc environ, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +0.4 à +0.5. Elle reste observable jusqu’en janvier, et sera visible à l’œil nu jusqu’en avril. Elle nous réserve encore de belles rencontres stellaires au fur et à mesure de son parcours le long de l’écliptique
– Elle a dépassé Neptune le 7 décembre et sera conjointe à Uranus le 13 février.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre dans le plan écliptique et le 9 octobre dans le plan équatorial. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation des Poissons (Psc) du 21 décembre au 13 février. Elle arrivera alors devant la constellation du Bélier (Ari).
– Ci-contre son parcours du 1er mai 2018 au 22 juin 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er mai 2018)
– Dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) depuis le 15 novembre, elle entre dans celui du Bélier (longitude 0° à 30°) le 1er janvier à 3h00 (latitude -0°17’, monte). Elle entrera dans le signe du Taureau le 14 février.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 11 décembre au 2 février.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,450 à 1,460 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019 (2,675 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 1,239 à 1,304 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). Elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Sud depuis le 16 mars (nœud descendant), elle a atteint sa latitude géocentrique minimale le 4 août (-6°35’) et sa latitude héliocentrique minimale le 20 août (-1°50’). Elle monte et passera en latitude Nord (nœud ascendant) le 15 janvier 2019.
- Elle passe en déclinaison Nord le 2 janvier à 1h37 : dans le plan équatorial, sa déclinaison est égale à 0° - ascension droite 0h2m ; longitude écliptique 0°37’ (1er BEL), latitude +0°28’ (descend). Elle était en déclinaison Sud depuis le 27 octobre 2017 ; elle a atteint sa déclinaison minimale le 16 août (-26°29’ -hors-limites zodiacales). Elle va rester en déclinaison Nord jusqu’au 7 octobre ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) du 18 avril au 14 juin -maximum le 17 mai à +24°33’.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
- Elle culmine aux alentours de 19h50 et se couche aux alentours de 2h30.
– Son élongation passe de 111° à 103° Est. Magnitude 5.8 ; diamètre apparent 3,5 secondes d’arc.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 23 octobre.
– Elle sera en quadrature Est le 19 janvier, conjointe au Soleil le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet et à l’ opposition le 28 octobre 2019.
- Elle reprend son mouvement direct le 6 janvier à 19h23 dans le plan écliptique à la longitude 28°34’14" (29e BEL), latitude -0°31’ (monte) et le 7 janvier à 1h15 dans le plan équatorial (ascension droite 1h47m5s, déclinaison +10°28’ -monte) (coordonnées moyennes de la date). Elle était rétrograde depuis le 7 août 2018 (3e TAU). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril et entamera la prochaine le 11 août 2019 (7e TAU).
– Elle est devant la constellation des Poissons (Psc) du 3 décembre au 6 février ; elle y reprend son mouvement direct le 6 janvier. Elle était aupavant devant le Bélier depuis le 27 avril. Elle y restera ensuite jusqu’au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars 2019 et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,861 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 19,614 UA le 6 janvier. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril 2019 (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle atteint un
– Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre. Elle se lève aux environs de 4h40.
– Elle atteint son élongation maximale le 6 janvier à 5h53 : 46°57’22" à l’Ouest du Soleil ; longitude 238°42’ (29e SCO) ; latitude +3°26’ (descend).
– Elle est en phase de premier quartier ; sa portion éclairée augmente de 46% à 50% ; son diamètre apparent, 25 secondes d’arc le 6 janvier, diminue ; son éclat : magnitude -4.4, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 22 août 2018 au 1er mai 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 22 août 2018.
– Elle est devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 13 décembre. Elle y reste jusqu’au 9 janvier. Elle arrivera alors devant le Scorpion (Sco).
– Le 30 décembre, elle se trouve à 3° de Cérès
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Elle est dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) du 2 décembre au 7 janvier. Elle y a déjà été du 9 septembre au 31 octobre.
– En héliocentrique, elle signe Lion du 19 décembre au 6 janvier, puis Vierge jusqu’au 25 janvier.
– Sa distance au Soleil : 0,719 UA augmente depuis son périhélie le 26 décembre (0,718 UA). Prochain aphélie le 17 avril (0,728 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,615 à 0,673 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août 2019 (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant), elle atteint sa latitude maximale en géocentrique le 3 janvier à 16h18 : +3°26’59", à la longitude 236°7’ (27e SCO) ; elle l’atteindra le 17 janvier en héliocentrique (+3°23’) ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, puis un maximum le 28 novembre (-9°49’) ; elle redescend maintenant jusqu’à un minimum de -21°11’.le 10 février. Elle passera en déclinaison Nord le 23 avril.
- Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 novembre.
– Elle a été par trois fois conjointe à Mercure : le 29 octobre, le 27 novembre, avec le Soleil et le 21 décembre, avec Antarès.
– Son élongation passe de 25° à 32° Ouest.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin 2019. Précédente le 9 mai 2018.
- Le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites redeviennent observables :
– le 29 décembre, aux alentours de 7h, les quatre sont alignées dans l’ordre Ganymède, Io, Europe, Callisto à l’Est de la planète
- le 4 janvier, aux alentours de 7h, Callisto, Europe et Io, forment un petit triangle serré à l’Est de la planète
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,348 UA le 6 janvier diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 6,214 à 6,151 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin 2019 (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 25 avril (+1°16’) ; prochain minimum le 3 février 2019 (+0°37’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Elle se lève 1 heure 19 minutes avant le Soleil le 29 décembre et 53 minutes avant lui le 6 janvier. Son éclat augmente légèrement : magnitude -0.4 à -0.5, ce qui fait qu’elle reste visible durant cette première semaine de l’année.
– Son élongation passe de 17° à 14° Ouest. Elle a atteint son élongation maximale le 15 décembre.
– Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 30 janvier ; sa prochaine conjonction inférieure, le 15 mars. La précédente date du 27 novembre.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 88% à 93%
– Son diamètre apparent, 5 secondes d’arc, diminue.
- Son mouvement est direct du 6 décembre (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 1er octobre 2018 au 25 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2018.
– Elle s’est trouvée conjointe à Antarès 22 décembre
– Devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) depuis le 20 décembre, elle arrive devant le Sagittaire (Sgr), le 2 janvier à 20h00, à la longitude 266°30’ (27e SAG), latitude -0°5’, descend ; elle progresse devant cette constellation jusqu’au 24 janvier ; elle arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
– Dans le signe du Sagittaire (Lg 240° à 270°) depuis le 13 décembre, elle entre dans celui du Capricorne (Lg 270° à 300°) le 5 janvier à 4h24 et y reste jusqu’au 24 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Scorpion du 26 décembre au 5 janvier, puis Sagittaire jusqu’au 16 janvier.
– Elle passe à son nœud descendant le 2 janvier à 0h32 en héliocentrique et à 0h35 en géocentrique. Elle était en latitude Nord depuis le 24 novembre (nœud ascendant) ; elle a atteint sa latitude maximale le 8 décembre en géocentrique (+2°42’) et le 9 décembre en héliocentrique (+7°0’). Elle atteindra sa latitude minimale le 29 janvier en géocentrique (-2°4’) et le 2 février en héliocentrique (-7°0’)
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle a atteint un minimum le 12 novembre (-24°49’ -hors limites zodiacales (-23°26’13") du 2 au 20 novembre) ; puis un maximum le 7 décembre (-16°54’). Maintenant elle redescend ;
- Elle sort des limites zodiacales le 2 janvier aux alentours de 12h15 ; ascension droite 17h42m ; longitude écliptique 266°5’ (27e SAG), latitude -0°3’, descend.
– elle atteindra un minimum le 11 janvier à -24°8’ et rentrera dans les limites zodiacales le 18 janvier ; elle passera en déclinaison Nord le 27 février.
– Sa distance au Soleil augmente, de 0,440 à 0,461 UA ; elle est passée au périhélie le 29 novembre ; (0,307 UA) ; prochain aphélie le 12 janvier (0,466 UA).
– Sa distance à la Terre : 1,263 à 1,348 UA, augmente depuis son périgée le 27 novembre (0,678 UA) ; prochain apogée le 22 janvier 2019 (1,422 UA).
– Magnitude 15.0
– Elle n’est plus observable. Elle est passée en quadrature Est (au Soleil ) le 12 octobre.
– Sa dernière opposition au Soleil a eu lieu le 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 21 janvier 2019.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,710 à 33,715 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 34,668 à 34,694 UA. Elle est passée au périgée le 10 juillet 2018 (32,58 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2019 (34,70 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril 2019 (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
- Le 30 décembre, elle se trouve à 3° de Vénus ; chercher Cérès avec un instrument ; de magnitude 9, elle brille 242 000 fois moins fort que Vénus !
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 20 décembre : 4.4, donc visible à l’œil nu sous un bon ciel. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle passe du Cocher (Aur) au Lynx (Lyn) ; elle est circumpolaire à nos latitudes (ne se couche pas pas) et culmine aux alentours de 0h45 à 80° de hauteur ; pour la suivre en temps réel.
- 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 20 décembre : 10.0, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre. Devant le Lynx (Lyn), elle culmine aux alentours de 4h00 ; la suivre en temps réel.
– 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 20 décembre : 10.0, devant le Bélier (Ari), elle culmine aux alentours de 20h15 et se couche aux alentours de 5h00. Elle est passée au périhélie le 3 novembre ; la suivre en temps réel.
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– sur theskylive.com
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 29 décembre, 2018 TL6 2018 TL6, magnitude 22
– le 30 décembre, C/2018 X3 PanSTARRS, magnitude 20
– Pluton et au-delà
- New Horizons, la sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, se dirige vers un autre objet transneptunien, 2014 MU69, maintenant surnommé "Ultima Thule", qu’elle va atteindre ce 1er janvier ! Le 9 décembre 2017, la sonde a effectué une correction de trajectoire, puis après quelques mois d’hibernation, elle a été réveillée le 4 juin 2018 et s’apprête à faire ses observations. Infos sur spaceweather.com ; sur [TheSkyLive>https://theskylive.com/pages/new-horizons-2014-mu69/]
– A suivre sur le site de la mission et ici
– Lune
– Mission chinoise sur la face cachée de la Lune
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire : la sonde est sortie du cocon magnétique du Soleil et est entré dans l’espace interstellaire. Les scientifiques de la mission ont annoncé cette nouvelle fracassante le 9 décembre à l’ American Geophysical Union meeting à Washington DC. Son jumeau, Voyager 1, a traversé la même frontière en 2012, mais le passage de Voyager 2 devrait apporter davantage d’informations car il transporte un instrument de travail qui peut sonder les plasmas interstellaires ; ce sera le premier échantillon in-situ de matière entre les étoiles.
La preuve la plus incontestable que Voyageur 2 est sorti de l’ heliosphere vient de son "Plasma Science Experiment" (PLS), un instrument qui a cessé de fonctionner sur Voyageur 1 en 1980. Jusque récemment, Voyageur 2 était entouré principalement par le vent solaire - un type de plasma émis par le Soleil. Le 5 novembre, le Plasma Science Experiment de Voyager 2 a enregistré un brusque déclin du vent solaire, et depuis cette date, il n’a pas enregistré d’autre flux de vent solaire, un signe évident qu’il a quitté l’héliosphère.
A la place du vent solaire, il y a un blizzard de rayons cosmiques galactiques. Le champ magnétique solaire protège le système solaire des rayons cosmiques en brisant les rayons de haute énergie des explosions de supernovae dans la Voie Lactée et ailleurs. Maintenant que Voyager 2 est sorti de cette coquille protectrice, il est légèrement exposé aux rayons cosmiques, et son sous-système de rayons cosmiques enregistre une onde.
Lancé en 1977, Voyager 2 est maintenant à un peu plus de 18 milliards de kilomètres de la Terre. Les opérateurs de la mission peuvent encore communiquer avec Voyager 2 alors qu’il entre dans une nouvelle phase de son voyage, mais l’ information – qui se déplace à la vitesse de la lumière – met environ 16,5 heures à parvenir à la Terre.
Les sondes Voyager sont alimentées par la chaleur provenant de la désintégration de matières radioactives, contenu dans un générateur thermique de radio-isotopes (RTG). La puissance de sortie des RTG diminue d’environ quatre watts par an, ce qui signifie que diverses parties des Voyagers, y compris les caméras des deux engins spatiaux, ont été éteintes au fil du temps pour économiser l’énergie. Grâce à ces précautions, les Voyagers pourront encore envoyer quelques données dans les années à venir.
"Il y a encore beaucoup à apprendre sur l’espace interstellaire immédiat au-delà de l’héliosphère" dit Ed Stone, scientifique du projet, basé à Caltech, Pasadena en California. A suivre sur le site Voyager - NASA. Source
– Mars
– Insight, arrivée sur Mars réussie
– autres missions : Mars Express ; 15 ans en orbite
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS, en orbite, fin de l’aérofreinage, la mission scientifique débute
– Mercure
– Lancement réussi de BEPI COLOMBO le 19-20 Octobre 2018 de Kourou avec une fusée Ariane 5. Dernières nouvelles sur les Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles : HAYABUSA 2 : MASCOT a rejoint ses deux collègues rovers
– Jupiter
– JUNO, des vagues dans l’atmosphère de Jupiter
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Fin de la mission Kepler en novembre
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
– Astronews du 22 décembre ; au sommaire : - Le nouveau sysème international d’unités (SI) fondé sur des constantes fondamentales ; - Le nouvel Univers (École Chalonge) ; - Une planète : Terre ; - Apollo 8 : Il y a 50 ans un pas décisif pour la conquête lunaire ; - Chang’e-4, le nouvel An de la Chine : atterrir sur la face cachée de la Lune ; InSight, tout va bien sur Mars, SEIS est sur le sol ; - Mars Express, un cratère rempli de glace d’eau ; - Osiris-Rex, des minéraux hydratés sur Bennu ; - Système Solaire, découverte de l’objet le plus éloigné ; BepiColombo, moteurs ioniques allumés ; Prix Janssen SAF 2018 à Alessandro Morbidelli ; Fermi/GLAST a compté le nombre de photons de l’Univers ! ; - Masses négatives : cela résoudrait-il les problèmes matière et énergie noires ? ; Ondes Gravitationnelles, quatre nouvelles détectées ; - Comète : 46P/Wirtanen visible dans nos cieux ; - Vu d’en haut, Genève et la vallée du Rhône
Rappels
– La lettre de l’IMCCE de décembre n° 151 : *Le solstice d’hiver *Observer le ciel en décembre 2018 : Uranus et Neptune *La connaissance des temps 2019 *le bolide du 24 novembre
– La lettre du guide du ciel n°142. (1er décembre 2018) de Guillaume Cannat : cadeaux de Noël
– Excellent site japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– Astrosurf magazine numéro 95, novembre-décembre 2018, une revue d’astronomie pratique qui ne manque pas de poésie et de profondeur. Sommaire.
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
- L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [4], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait et fiche vierge correspondante pour noter vos observations de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[3] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[4] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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