samedi 26 octobre 2019, par
La Lune
– Elle marque les signes de Scorpion à Verseau
– Elle passe de la constellation de la Vierge (Vir) à celle du Capricorne (Cap)
– Le 28, Nouvelle Lune, croissant primeur visible instrument ; le 29, conjoint Vénus, premier croissant visible œil nu, conjoint Mercure ; le 30, conjoint Antarès ; le 31, conjoint Jupiter ; le 1, nœud descendant ; le 2, déclinaison minimale, conjoint Saturne puis Pluton ; le 4, Premier Quartier.
L’étoile Mira de la Baleine est à son maximum de luminosité
En géocentrique
– Le Soleil est dans le signe du Scorpion
– devant la constellation de la Vierge (Vir) jusqu’au 31, 20h30, puis de la Balance (Lib)
– à l’opposition d’Uranus le 28
– Les planètes :
– Mercure déclinaison minimale le 29 ; son mouvement devient rétrograde le 31
– Vénus, conjoint Mercure le 30, arrive devant la constellation du Scorpion et signe Sagittaire le 1
– autres rétrogrades : Neptune, Uranus
– En héliocentrique
– Mercure conjoint Neptune le 30, signe Bélier le 2, opposé Mars le 4
– Vénus, signe Capricorne le 2, conjoint Jupiter le 3
- A 1h43, Lune conjoint Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 14h 8m, déclinaison Soleil -12°57’ -descend, Lune -7°58’ -descend
– A 7h59, la Lune arrive devant la constellation de la Balance (Lib) ; longitude 215°51’ (6e SCO) ; latitude +4°33’, descend.
- Aux alentours de 18h (17h00 TU), soit 13 heures et 20 minutes environ après la Nouvelle Lune, le croissant primeur de cette lunaison devrait être observable avec un instrument juste après le coucher du Soleil dans nos régions. Voir les très fins croissants de Lune et visibilité du premier croissant de Lune
– de 0,5%, son élongation est de 8° Est ; il se trouve à 3° de hauteur environ, azimut 273°, une quarantaine de minutes après le coucher du Soleil, celui-ci étant alors à 2° sous l’horizon. Devant la Balance (Lib) ; longitude écliptique 13e SCO, il se couche à 18h21 pour notre localisation, soit 37 minutes après le Soleil ; azimut 253°.
– Aux alentours de 19h00, maximum attendu de l’essaim météoritique des lambda Ursae Majorides
- A 12h07, Mercure atteint sa déclinaison minimale (Nord +19°15’).
- A 14h31, la Lune est conjointe à Vénus dans le plan équatorial, la planète 3°55’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 19° Est.
- A 16h14, la Lune est conjointe à Vénus dans le plan écliptique, Δ +3°44’ ; longitude 236°0’ (27e SCO). A remarquer ce soir au crépuscule. Vénus se couche à 18h36 et la Lune à 18h55 pour notre localisation.
– A 15h52, la Lune est conjointe à l’astéroïde (2) Pallas dans le plan écliptique.
– A 15h55, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan équatorial, la planète 6°40’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 20° Est.
- Aux alentours de 18h25, premier croissant de cette lunaison certainement visible à l’oeil nu. De 3,5%, âgé de 37,7 heures environ, élongation 21° Est, il se trouve à 4° de hauteur, azimut 241°, 45 minutes après le coucher du Soleil, celui-ci étant alors à 7° sous l’horizon. Devant la Balance (Lib) ; longitude écliptique 28e SCO, il se couche à 18h55 pour notre localisation, soit 1 heure 12 minutes après le Soleil ; azimut 246°.
- A 18h34, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan écliptique, Δ +6°22’ ; longitude 237°23’ (28e SCO). Ce soir dans le crépuscule, Mercure reste invisible sous le croissant de Lune et Vénus. Elle se couche à 18h25 pour notre localisation.
– A 22h57, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270° ; sa latitude est alors de +3°17’ -descend.
- De 0h38 à 0h49, occultation d’une étoile par l’astéroïde (87) Sylvia
– A 2h46, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 242°14’ (3e SAG) ; latitude +3°8’, descend.
– Aux alentours de 8h55, Vénus et Uranus sont en parallèle de latitude héliocentrique
– A 9h29, Vénus conjoint Mercure dans le plan équatorial
- A 14h15, la Lune est conjointe à Antarès dans le plan équatorial, l’étoile (alpha du Scorpion, m 1.1) 7°18’ au Sud.
– A 16h09, Lune est conjointe à Antarès dans le plan écliptique, ∆ +7°8’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°2’39". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 72 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire.
Antarès se couche à 18h53 pour notre localisation, invisible.
– A 14h22, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 249°0’ (10e SAG) ; latitude +2°38’, descend.
– Aux alentours de 19h, apprécier avec un instrument la disposition des lunes de Jupiter.
– A 22h25, Mercure conjoint Neptune en héliocentrique.
– A 22h51, Vénus conjoint Mercure dans le plan écliptique
- Aux alentours de 8h55, Vénus et Pluton sont en parallèle de latitude héliocentrique
- A 15h22, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, la planète 1°18’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 45° Est.
- A 15h29, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, Δ +1°17’ ; longitude 263°12’ (24e SAG). A remarquer dès le début de la nuit. Les deux astres ne sont déjà plus qu’à une petite dizaine de degrés de hauteur au Sud-ouest. Ils se couchent peu après 20h.
– A 16h35, le mouvement de Mercure devient
rétrograde dans le plan écliptique
- En début de nuit, sur la Lune proche de sa libration maximale en longitude, apprécier le lever du Soleil sur les mers situées dans la zone des librations : mer de Humblodt, Marginale et de Smyth.
– A 20h30, le Soleil arrive devant la constellation de la Balance (Lib).
– A 21h12, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°27’ (27e SAG) ; latitude +1°13’, descend.
– A 21h25, le mouvement de Mercure devient rétrograde dans le plan équatorial
Aux alentours de 1h30, la Lune atteint sa libration maximale en longitude (L= +7,0°) : elle présente son Est au maximum. A remarquer au début de cette nuit.
– A 3h37, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300° ; sa latitude est alors de +0°54’ -descend.
– A 18h41, Vénus arrive devant la constellation du Scorpion (Sco).
- De 18h47 à 19h39 pour notre localisation, la Lune occulte l’étoile 24 Sgr (constellation du Sagittaire, magnitude 5.5). L’étoile disparaît du côté sombre et réapparaît du côté éclairé du croissant de Lune puisque cette dernière est croissante. Sa portion éclairée est de 24% ; à la disparition de l’étoile, les deux astres sont au Sud-sud-ouest, à 15° de hauteur environ.
– A 21h05, Vénus entre dans le signe du Sagittaire en géocentrique.
- A 22h39, la Lune passe au nœud descendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud. Longitude 280°18 (11e CAP) ; (ascension droite : 18h44m, déclinaison -23°2’ (descend) ; distance 387 783 kilomètres environ soit 60,8 rayons terrestres .
– L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Cancer/Capricorne du 6 novembre 2018 au 5 mai 2020.
- A 1h33, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -23°2’43" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 18h51m ; longitude écliptique 281°51’ (12e CAP), latitude -0°8’ (descend). Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord, à 21° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 17h40.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
- A 19h46, la Lune est conjointe à l’étoile Nunki (sigma Sagittaire ; m 2.05) dans le plan écliptique, l’étoile 3°15’ au Sud. En raison de la précession des équinoxes, Nunki marque de nos jours le 13e degré du signe du Capricorne (longitude 282°40’3"). La conjonction dans le plan équatorial a lieu à 3h40, Δ+3°13’. Pour notre localisation, Nunki se couche aux alentours de 21h10, en même temps que la Lune.
– A 8h29, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial, la planète 0°36’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 66° Est.
- A 8h20, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, Δ -0°35’ ; longitude 285°58’ (16e CAP). A remarquer le 1 et le 2 en début de nuit au Sud-ouest. La Lune passe de la droite à la gauche de Saturne d’un soir à l’autre. Saturne se couche aux alentours de 21h40, précédée par la Lune le 1, suvie par elle le 2.
– il se produit une occultation de Saturne par la Lune pour l’Indonésie, l’Antarctique, la Nouvelle Zélande et le sud Pacifique ; carte ; c’est la treizième d’une série de 14 occultations de Saturne par la Lune qui a débuté le 9 décembre 2018 et prendra fin le 29 novembre 2019 ; la seule de cette série observable en France métropolitaine a eu lieu le 2 février 2019.
– A 10h11, Vénus entre dans le signe du Capricorne en héliocentrique.
– A 15h35, Mercure entre dans le signe du Bélier en héliocentrique.
– A 18h39, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan équatorial, la planète naine 0°22’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 71° Est.
- A 18h39, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan écliptique, Δ -0°21’ ; longitude 290°52’ (21e CAP). Le 2 en début de nuit la Lune signale la position de Pluton.
– Il se produit une occultation de Pluton par la Lune pour le sud de l’Amérique du Sud, le sud Atlantique, l’Afrique du Sud et Madagascar ; carte
– Aux alentours de 19h00, maximum attendu de l’essaim météoritique des chi Taurides
- A 4h57, Vénus conjoint Jupiter en héliocentrique.
– Aux alentours de 5h00, maximum attendu de l’essaim météoritique des lambda Draconides sud
– A 11h30, la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 299°34’ (30e CAP) ; latitude -1°41’, descend.
– A 12h18, la Lune entre dans le signe du Verseau ; Lg 300° à 330° ; sa latitude est alors de -1°43’ -descend.
– A 23h46, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 20h/14h 35m42m, déclinaison Soleil -15°11’ -descend, Lune -20°56’ -monte.
- A 3h54, Mercure opposé Mars en héliocentrique.
– Aux alentours de 22h30, l’astéroïde (156) Philomela à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial.
- devant la constellation de la Vierge (Vir) depuis le 17 septembre, il arrive devant la Balance (Lib) le 31 octobre à 20h30 ; longitude : 218°5’ (9e SCO) ; il reste devant cette constellation jusqu’au 23 novembre. Il arrivera alors devant le Scorpion (Sco).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 22 septembre 2019, 0h TU (29e VIE) au 18 mars 2020, 0h TU (28e POI) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 22 septembre 2019.
- Dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) = la Terre est dans le signe du Taureau en héliocentrique, du 23 octobre, 19h04 (17h04 UTC) au 22 novembre 15h43 (14h43 UTC).
- Signe du Scorpion :
nous sommes dans la deuxième phase de la saison Automne Nord / Printemps Sud : l’Hémisphère Nord (+) reçoit nettement moins d’ensoleillement (f) que le Sud et de moins en moins (l) alors que l’Hémisphère Sud (-) en reçoit nettement plus (F) et de plus en plus (V)
Nous avons donc dominance (F) du Sud (-) avec croissance (V) du Sud (-)
En milieu de saison, le phénomène étant à sa concentration maximale, l’induction négative inverse la polarité qui devient donc "F-"
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité directrice "-" : le pôle dominant est croissant donc polarité première de la saison est "+" mais, en milieu de saison, le phénomène étant à sa concentration maximale, l’induction négative inverse la polarité qui devient donc "-"
– formule majeure : Force d’inhibition différentielle F-
– formule mineure, force d’excitation protectrice f+
2- saison : signe d’automne Nord/printemps Sud
– formule majeure : V- = "V" pour Vitesse ou labilité car le phénomène directeur est croissant et "-" pour Sud
– formule mineure : l+ = "l" pour lenteur car le phénomène secondaire est décroissant et "+" pour Nord
3- période de milieu de saison (signe fixe)
– formule majeure : sens des Dosages (sD)
– formule mineure : phase paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Taureau (F+/f-, V+/l-, sC/Eg) et inverse de celle du Lion (F+/f-, L+/v-, sD/Pa)
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez sur cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
– Il est à l’opposition d’Uranus le 28 octobre à 9h01 dans le plan géo-écliptique (en coordonnées moyennes de la date), longitude 214°/34°36’ (5e SCO/TAU) ; latitude géocentrique d’Uranus -0°31’ (monte). C’est l’alignement Soleil - Terre – Uranus, soit Terre conjoint Uranus en héliocentrique. Dans le plan équatorial l’opposition a lieu le même jour à 13h16 ; ascension droite 14h/2h 10m, déclinaison Soleil -13°6’ (descend), Uranus +12°34’ (descend) ; les deux astres sont en contre-parallèle de déclinaison le 27 octobre à 1h01.
L’équation de temps atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre : - (moins) 16 minutes et 26 secondes, ce qui fait que le midi vrai a lieu 16 minutes 26 secondes avant le midi moyen à votre méridien. Elle sera nulle le 25 décembre et atteindra son premier maximum positif le 11 février (+14m14s).
– Autrement dit, à partir du 3 novembre, le midi vrai se produit quelques secondes plus tard chaque jour par rapport au midi moyen, et ce jusqu’au 11 février.
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [2] : RAS
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais. Au 25 octobre, pas de tache depuis 22 jours. Au total 221 jours sans tache depuis le début de l’année. Ce minimum est en train d’emporter le record du siècle, c’est à dire qu’il n’y en a pas eu d’aussi prolongé depuis plus de cent ans. Des petites taches éphémères du nouveau cycle sont bien déjà apparues le 20 décembre 2016, le 8 avril et le 17 novembre 2018, le 28 mai, le 1er juillet et le 7 juillet 2019. L’apparition des taches du nouveau cycle induit que la transition entre le cycle 24 et le cycle 25 est en cours mais cette transition semble stagner...
- C’est la polarité des taches ainsi que la latitude à laquelle elles apparaissent qui permet de déterminer si elles appartiennent au cycle qui s’achève ou à celui qui commence. Les taches du cycle 24 sont polarisées -/+, celles du cycle 25 sont polarisées +/- et elles apparaissent aux hautes latitudes alors que celles de l’ancien cycle sont proches de l’équateur solaire.
– page PGJ en français
– excellent suivi sur astroplanetes
– Le 28 octobre à 9h01 Terre conjoint Uranus ; longitude 34°36’ (5e TAU) ; latitude Uranus -0°29’ (monte). C’est l’opposition d’Uranus en géocentrique.
– Le 30 octobre aux alentours de 8h55, Vénus (qui descend) est en parallèle de latitude avec Uranus (qui monte) à -0°29’
– Le 30 octobre à 22h25, Mercure conjoint Neptune ; longitude 347°36’ (18e POI) ; latitude Mercure -6°7’ (monte), Neptune -1°1’ (descend).
– Le 31 octobre aux alentours de 7h05, Vénus (qui descend) est en parallèle de latitude avec Pluton (qui descend) à -0°34’
– Le 2 novembre à 10h11, Vénus entre dans le signe du Capricorne ; longitude 270°, latitude -0°46’ ; monte ; elle reste dans ce signe jusqu’au 21 novembre.
– Le 2 novembre à 15h35, Mercure entre dans le signe du Bélier ; longitude 0°, latitude -5°15’ ; monte ; elle reste dans ce signe jusqu’au 8 novembre.
– Le 3 novembre à 4h57, Vénus conjoint Jupiter ; longitude 271°14’ (2e CAP) ; latitude Vénus -0°50’ (descend), Jupiter +0°12’ (descend).
– Le 4 novembre à 3h54, Mercure opposé Mars ; longitude 7°/187°21’ (8e BEL/BAL) ; latitude Mercure -4°37’ (monte), Mars +1°14’ (descend).
– Pour notre localisation (44°36’N-2°12’E), le Soleil se couche à 17h44 le 28 octobre et à 17h35 le 4 novembre. Il se lève à 7h24 le 28 octobre et à 7h33 le 4 novembre.
Correction en longitude [3]
– A notre latitude, la durée du jour diminue de 9 minutes le matin et de 9 minutes le soir, soit 18 minutes en 7 jours (20 minutes en 7 jours la semaine dernière) ; la diminution du jour est rapide ; elle va maintenant être accentuée sur le matin en raison de l’équation de temps.
La Lune
– La Nouvelle Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près en même temps que le Soleil.
– Le croissant primeur de cette lunaison est pour nous !
– premier croissant sûrement visible à l’oeil nu le 29 octobre
– Puis, au fil des jours, en croissant de plus en plus gros, elle se lève dans la matinée, culmine dans l’après-midi et se couche en première moitié de nuit, chaque jour environ une heure plus tard que la veille (au minimum une demi-heure, au maximum une heure et demi à notre latitude).
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
L’étoile variable Mira de la Baleine est à son maximum de luminosité ; En cette période de l’année, Mira culmine aux alentours de la mi-nuit, c’est idéal pour bien la repérer, entre Menkar et Diphda, dans le prolongement d’Alresha, l’étoile alpha des Poissons qui forme la pointe de la constellation, Mira, en ce moment de magnitude entre 2 et 3, est aussi remarquable par son éclat rougeoyant. Elle va rester visible durant le mois de novembre puis disparaîtra jusqu’à son prochain maximum qui aura lieu fin septembre 2020 ; le précédent a eu lieu début décembre 2018.
Découverte en 1596 par l’astronome amateur hollandais Fabricius, Mira Ceti est devenue le prototype d’une catégorie d’étoiles variables à longue période, les "Mira".
A 400 années-lumière de la Terre, c’est une géante rouge parmi les plus froides connues : 3000 degrés Kelvins seulement à sa surface.
Sa période est de 332 jours ; sa luminosité double en trois semaines puis décroît jusqu’à rendre l’étoile invisible deux mois plus tard.
Plus de détails sur Futura Sciences.
La lumière zodiacale
– elle est possible à voir sous un excellent ciel en fin de nuit avant l’aube du 26 octobre au 11 novembre, à l’Est devant l’Ouest de la Vierge, le Lion (Leo) et le Cancer (Cnc). En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h34 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 28 octobre aux alentours de 19h00, maximum attendu des lambda Ursae Majorides (LUM), radiant Grande Ourse (UMa)
– le 2 novembre aux alentours de 19h00, maximum attendu des chi Taurides (CTA), radiant Taureau (Tau)
– le 3 novembre aux alentours de 5h00, maximum attendu des lambda Draconides sud (SLD), radiant Dragon (Dra)
– aussi Taurides Sud (STA), radiant Taureau (Tau), actif du 10 septembre au 20 novembre ; zhr 5 ; issu de la comète 2P/Enke ; maximum le 10 octobre ou le 7 novembre selon les sources (MDC).
noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données en longitude solaire du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
– liste de tous les essaims
Dans l’ordre de visibilité, du soir au matin
- Son élongation au Soleil passe de 22° à 15° Est. Elle a atteint son élongation maximale le 20 octobre. Elle est restée très difficilement visible durant cette période vespérale et elle ne l’est plus du tout maintenant :
- sa magnitude passe de +0.2 à +1.3 (son éclat diminue)
– elle se couche 44 minutes après le Soleil le 28 octobre et 28 minutes après lui le 4 novembre ;
– et elle est encore en latitude Sud, l’écliptique étant lui-même très incliné sur l’horizon.
– Elle est conjointe à la Lune le 29 octobre.
– et conjointe à Vénus le 30 octobre, à 9h29 dans le plan équatorial et à 22h51 dans le plan écliptique.
- Sa prochaine conjonction inférieure (au Soleil) va avoir lieu le 11 novembre, avec passage devant le Soleil (transit observable en Europe, Afrique, Amérique ; maximum à 14h19 UTC).
– Sa dernière conjonction supérieure date du 2 septembre.
- Sa fraction éclairée passe de 42% à 18% ; elle est en phase de vieux croissant
- diamètre apparent, 8 secondes d’arc, augmente.
- Son mouvement, direct depuis le 1er août (24e CAN), devient rétrograde ; Mercure est stationnaire à l’Est du Soleil le 31 octobre à 16h35 dans le plan écliptique à la longitude 237°38’34" (28e SCO), latitude -2°44’ (monte) et à 21h25 dans le plan équatorial (ascension droite 15h38m49s, déclinaison -22°16’ -monte). Elle reprendra son mouvement direct le 20 novembre, au 12e SCO dans le plan écliptique ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 7 décembre.
– Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 15 janvier 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019.
- Devant la constellation de la Balance (Lib) du 9 octobre au 11 décembre ; elle y effectue sa rétrogradation.
- Elle est dans le signe du Scorpion (Lg 210° à 240°) du 3 octobre au 9 décembre ; elle y effectue sa rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Poissons du 26 octobre au 2 novembre, puis Bélier jusqu’au 8 novembre.
- En latitude Sud depuis le 22 septembre (nœud descendant),
– elle a atteint sa latitude minimale en héliocentrique le 23 octobre (-7°0’, invariable)
– et sa latitude minimale en géocentrique le 25 octobre (-3°3’) (variable).
– Elle va être à son nœud ascendant le 11 novembre -en même temps que sa conjonction inférieure ce qui occasionnera un passage de Mercure devant le Soleil.
.
- En déclinaison Sud depuis le 15 septembre, elle atteint un minimum le 29 octobre à 12h07 : -22°25’12" ; ascension droite 15h37m ; longitude 237°19’ -28e SCO, latitude -2°56’ -monte.
A partir de là, elle remonte jusqu’au 21 novembre à -13°4’ ; elle sortira des limites zodiacales du 22 décembre au 12 janvier et atteindra sa déclinaison minimale le 2 janvier (-24°39’) ; elle remontera ensuite jusqu’au 19 février à -4°7’, redescendra jusqu’au 16 mars à -11°22’ et passera en déclinaison Nord le 14 avril.
Précédent maximum le 12 août (+19°15’).
- Sa distance au Soleil diminue, de 0,387 à 0,345 UA ; elle est passée à l’aphélie le 3 octobre (0,466 UA) ; prochain périhélie le 16 novembre (0,307 UA).
- Sa distance à la Terre : 0,858 à 0,727 UA, diminue depuis son apogée le 10 septembre (1,386 UA) ; prochain périgée le 10 novembre (0,675 UA).
- Elle est passée en conjonction supérieure au Soleil le 14 août.
- Son élongation passe de 20° à 21° Est.
– Elle se couche 53 minutes après le Soleil le 28 octobre et 1 heure après lui le 4 novembre.
– Elle reste encore au raz de l’horizon mais elle ne va pas tarder à s’élancer dans le ciel du soir. Elle l’ornera ensuite jusqu’au mois de mai.
- Elle est conjointe à Mercure le 30 octobre à 9h29 dans le plan équatorial, Mercure 2°43’ au Sud, élongation solaire de Vénus 20° Est ; à 22h51 dans le plan écliptique, à la longitude 237°36’ (28e SCO), ∆ -2°34’. Vénus est encore bien fugace à saisir dans le crépuscule. Quant à Mercure, près de 3° au-dessous et d’un éclat bien moindre, elle reste invisible sous nos latitudes. Sous les tropiques, en revanche, la scène est intégralement visible.
– C’est leur troisième conjonction en à peine plus de trois mois. Les précédentes datent du 13 septembre et du 24 juillet
- Elle est en phase gibbeuse décroissante ; sa portion éclairée, de 94%, diminue ;
- son diamètre apparent, 10,8 secondes d’arc augmente ;
- magnitude -3.9. En savoir plus sur Vénus et ses phases.
- Devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 15 octobre, elle arrive devant le Scorpion (Sco) le 1er novembre à 18h41 ; longitude 239°52’ (8e 30eSCO), latitude -0°20’ (descend). Elle arrivera devant Ophiuchus (Oph) le 8 novembre.
- Son mouvement est direct du 16 novembre 2018 au 13 mai 2020.
– Ci-contre son parcours du 1er juin 2019 au 15 janvier 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er juin.
- Dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) depuis le 8 octobre, elle entre dans celui du Sagittaire (longitude 240° à 270°) le 1er novembre à 21h05 ; longitude 240°, latitude -0°20’, descend ; elle reste dans ce signe jusqu’au 26 novembre.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire du 14 octobre au 2 novembre, puis Capricorne jusqu’au 21 novembre.
- Sa distance au Soleil : 0,727 UA augmente depuis son périhélie le 8 août (0,718 UA). Prochain aphélie le 28 novembre (0,728 UA).
- Sa distance à la Terre diminue : 1,552 UA le 4 novembre ; elle est passée à l’apogée le 11 août 2019 (1,731 UA) ; prochain périgée le 3 juin 2020 (0,288 UA).
- En latitude écliptique Sud depuis le 25 octobre (nœud descendant), elle atteindra sa latitude minimale le 20 décembre en héliocentrique (-3°23’, invariable) et le 26 décembre en géocentrique (-1°51’, variable) ; elle passera en latitude écliptique Nord (nœud ascendant) le 15 février 2020 .
- En déclinaison Sud depuis le 16 septembre, elle descend ; elle va sortir des limites zodiacales du 13 novembre au 13 décembre et atteindra sa déclinaison minimale le 28 novembre : -24°47’ ; elle passera en déclinaison Nord le 8 février.
– Le 4 novembre à 19h00 elle est à 7° degrés de hauteur au Sud-ouest. Elle se couche à 19h54 pour notre localisation.
– Elle n’est observable qu’en tout début de nuit.
- Son élongation passe de 47° à 42° Est.
– Elle sera conjointe au Soleil le 27 décembre (et sera occultée par lui). Sa dernière opposition date du 10 juin. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2020.
– Elle est conjointe à la Lune le 31 octobre.
– Ce jour-là, aux alentours de 15h, repérez le croissant de Lune dans le ciel diurne : il est presque à sa culmination, à un peu plus de 20 degrés de hauteur. Jupiter se trouve juste en-dessous. Peut-être arriverez-vous à le voir à l’œil
nu, sinon aux jumelles.
– Son éclat diminue : magnitude -1.9,
Son diamètre apparent, 33 secondes d’arc, diminue également.
– Dernière conjonction planétaire avec Vénus le 22 janvier. Elle y sera à nouveau conjointe le 24 novembre.
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019 : elle va arriver devant le Sagittaire (Sgr). Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 8 décembre 2020 (les autres planètes sont positionnés au 1er septembre 2019).
- Son mouvement est direct depuis le 11 août (15e SAG). Elle va achèver sa boucle de rétrogradation le 6 novembre et entamera la prochaine le 14 mai 2020.
- Observer le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
– Le 30 octobre aux alentours de 19h00, Europe, Ganymède et Callisto font un joli triangle à l’Est, tandis que Io s’apprête à disparaître dans l’ombre de Jupiter.
– Tous les phénomènes observables sur la fiche mémo imprimable
- Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne depuis le 18 octobre et va rester dans ce signe jusqu’au 12 octobre 2020.
- Sa distance au Soleil : 5,248 UA le 4 novembre, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 5,861 à 5,939 UA ; elle est passée au périgée le 12 juin (4,283 UA) ; elle sera à l’apogée le 25 décembre (6,212 UA).
- En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale le 16 avril (+0°38’) ; prochain minimum le 8 septembre 2021 (-1°11’).
- En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016, elle a atteint un maximum le 2 août (-22°7’) ; prochain minimum le 7 décembre (-23°18’) ; ce sera son minimum absolu ; elle passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Elle se couche aux alentours de 21h45 ; son éclat décroît : magnitude +1.4 ; son diamètre apparent, 16 secondes d’arc environ, diminue également.
– Son élongation passe de 70° à 64° Est.
– Elle est passée en quadrature Est le 7 octobre ; c’est la fin de la période propice à son observation.
– Elle est conjointe à la Lune le 2 novembre.
– Elle sera conjointe au Soleil le 13 janvier (et sera occultée par lui). Sa prochaine opposition aura lieu le 20 juillet 2020. La précédente date du 9 juillet 2019.
– L’inclinaison de ses anneaux est de +25,0°. Elle va passer à +24,4° en novembre
– Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 30 octobre à 13h18
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– Dernière conjonction planétaire avec Vénus le 18 février. Prochaine avec Vénus le 11 décembre, puis Mercure le 12 janvier.
- Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis à nouveau de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
- Son mouvement est direct depuis le 18 septembre (14e CAP). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 24 décembre et entamera la prochaine le 11 mai 2020.
- Sa distance au Soleil (10,040 UA) diminue depuis son aphélie le 17 avril 2018 (10,065 UA). Elle se rapproche du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
- Sa distance à la Terre augmente, de 10,324 à 10,435 UA ; dernier périgée le 10 juillet (9,032 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2020 (11,017 UA).
- En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012 ; elle passera à son nœud descendant le 13 février 2020.
- En géocentrique, son dernier maximum date du 2 mai 2018 (+0°53’). Elle descend et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
- En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint un minimum le 27 septembre (-22°31’) ; elle remonte jusqu’au 6 mai 2020 (-19°50’). Elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Elle passera en déclinaison Nord en mars 2026.
- Elle culmine aux alentours de 21h20 ; elle est en excellentes conditions d’observation avec un instrument en début de nuit, jusqu’à ce que la Lune ne vienne gêner son observation par sa présence.
– Son élongation passe de 131° à 125° Est.
– Elle sera en quadrature Est le 8 décembre et conjointe au Soleil le 8 mars 2020. Sa prochaine opposition aura lieu le 11 septembre 2020. La précédente date du 10 septembre.
– Magnitude : 7.8 ; diamètre apparent 2,3 secondes d’arc.
– Dernière conjonction planétaire avec Vénus le 10 avril 2019. Prochaine avec Vénus également le 27 janvier 2020.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 21 juin (19e POI) ; on peut le constater facilement en prenant comme repère l’étoile phi Aquarii, de magnitude 4.2 ;
– elle reprendra son mouvement direct le 27 novembre dans le plan écliptique, à la longitude 345°56’ (16e POI) ; le 27 novembre également dans le plan équatorial ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 17 mars 2020.
- Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
- Sa distance au Soleil (29,934 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 29,363 UA le 4 novembre, augmente depuis son périgée le 9 septembre (28,927 UA). Prochain apogée le 9 mars 2020 (30,924 UA).
- En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle a atteint un minimum le 23 septembre (-1°3’). Elle remonte jusqu’au 22 février 2020 -maximum à -1°0’.
- En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle descend : elle a atteint sa déclinaison maximale annuelle le 18 juin (-5°23’) ; prochain minimum le 25 novembre (-6°30’).
– Elle est à l’opposition du Soleil le 28 octobre.
– Elle culmine aux alentours de 0h20 et se couche au lever du Soleil ; elle est en conditions d’observation optimales.
– Son élongation passe de 179° Ouest à 173° Est.
– Elle est passée en quadrature Ouest le 30 juillet et en conjonction au Soleil le 22 avril. Sa précédente opposition date du 23 octobre 2018. La prochaine aura lieu le 31 octobre 2020.
– Magnitude : 5.7 ; diamètre apparent : 3,7 secondes d’arc.
– Sa dernière conjonction planétaire a eu lieu avec Vénus le 18 mai. Prochaine avec Vénus à nouveau le 8 mars 2020.
-Son mouvement est rétrograde depuis le 12 août (7e TAU). Elle reprendra son mouvement direct le 11 janvier 2020 (3e TAU) et achèvera sa boucle de rétrogradation le 26 avril.
- Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations du 1er janvier 2018 au 16 mai 2023
- Elle signe Taureau :
– en héliocentrique du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– en géocentrique, du 6 mars 2019 au 7 juillet 2025, après y avoir fait une première incursion du 15 mai au 6 novembre 2018.
- Sa distance au Soleil : 19,826 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
- Sa distance à la Terre augmente : 18,842 UA le 4 novembre. Elle est passée au périgée le 27 octobre (18,86 UA) ; prochain apogée le 26 avril 2020 (20,81 UA).
- En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– en géocentrique, elle a atteint un palier de latitude minimale le 13 octobre (-0°31’). Prochain maxima le 17 mai 2020 (-0°26’).
- En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint un maximum le 10 août à +13°14’ ; prochain minimum le 9 janvier 2020 (+11°56’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle est passée en conjonction au Soleil le 2 septembre et commence à être visible dans le ciel de l’aube.
– Elle se lève 1 heure 42 minutes avant le Soleil le 28 octobre et 1 heure 54 minutes avant lui le 4 novembre
– Élongation 18° à 21° Ouest.
– Magnitude : +1.8
– Sa prochaine opposition au Soleil aura lieu le 13 octobre 2020. La précédente date du 27 juillet 2018 ; elle sera en quadrature Ouest le 6 juin 2020.
– Dernière conjonction planétaire avec Mercure le 3 septembre.
– Prochaine avec Jupiter le 20 mars 2020, puis Pluton le 23 mars et Saturne le 31 mars.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août 2018 dans le plan écliptique (28 août dans le plan équatorial) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
- Devant la constellation de la Vierge (Vir) du 24 septembre au 1er décembre. Elle arrivera alors devant la constellation de la Balance (Lib).
– Ci-contre son parcours du 1er juillet 2019 au 17 mars 2020 (les autres planètes sont positionnées au 1er juillet 2019)
- Dans le signe de la Balance (longitude 180° à 210°) du 4 octobre au 19 novembre ; elle entrera alors dans le signe du Scorpion.
– En héliocentrique, elle signe Balance du 18 octobre au 23 décembre.
- Sa distance au Soleil : 1,642 UA le 4 novembre, diminue depuis son aphélie le 26 août (1,666 UA) ; prochain périhélie le 3 août 2020 (1,381 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 2,555 à 2,524 UA ; dernier apogée le 29 août 2019 (2,675 UA). Prochain périgée le 6 octobre 2020 (0,414 UA).
- En latitude Nord depuis le 15 janvier (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale en géocentrique le 30 juin (+1°10’ -variable) ;
– et sa latitude maximale en héliocentrique le 19 juillet (+1°50’ -invariable).
– Elle passera en latitude Sud (nœud descendant) le 1er février 2020.
- En déclinaison Sud depuis le 7 octobre, elle descend ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) du 9 février au 3 mars, atteindra son minimum le 20 février à -23°40’ et passera en déclinaison Nord (noeud ascendant) le 11 juillet 2020.
- Saison sur Mars : c’est l’été Nord /hiver Sud depuis le 7 octobre de notre calendrier grégorien terrestre jusqu’au 8 avril 2020 (équinoxe d’Automne Nord / Printemps Sud).
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
– Elle est conjointe à la Lune le 2 novembre.
– Son élongation passe de 75° à 69° Est. Elle est passée en quadrature Est le 14 octobre.
– Sa dernière opposition date du 14 juillet. La prochaine aura lieu le 15 juillet 2020.
– Elle sera conjointe au Soleil le 13 janvier 2020, avec Saturne.
– Elle se couche aux alentours de 22h
– magnitude 15.1
– Elle sera conjointe à Vénus le 13 décembre.
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023
– Dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024.
- Son mouvement est direct depuis le 3 octobre (21e CAP) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 janvier 2020 (23e CAP). La prochaine aura lieu du 25 avril au 4 octobre 2020.
- Sa distance au Soleil augmente de 33,908 à 33,913 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 34,128 à 34,252 UA. Elle est passée au périgée le 11 juillet (32,82 A) ; elle sera à l’apogée le 15 janvier 2020 (34,94 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre 2018. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
- En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint un minimum le 19 octobre : -22°23’. Prochain maximum le 4 avril 2020 (-21°56’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
- (156) Philomela, devant la Baleine (Cet), m 10.9, le 4 novembre aux alentours de 22h30 dans le plan équatorial ; déclinaison +8°.
– (2) Pallas, m 10.1, qui se trouve devant le Serpent (Ser) le 29 octobre à 15h52 dans le plan écliptique (26e SCO), l’astéroïde 22°6’ au Nord.
– Le 30 octobre, entre 0h38 et 0h49, l’astéroïde (87) Sylvia, de magnitude 13.3, devrait occulter une étoile de la constellation du Cancer (Cnc), de magnitude 9.9 : TYC 1932-00469-1, ascension droite (J2000) 8h21m2s, déclinaison +25°57’43". La diminution d’éclat de l’étoile devrait atteindre 3,5 magnitudes et durer 21 secendes au maximum sur la bande de centralité qui s’étend du Sud-est de la France à la Suisse.
De telles observations et mesures effectuées par les astronomes amateurs avertis en différents lieux, même hors de la bande de centralité, permettent de préciser la forme de l’astéroïde et sa distance grâce à la parallaxe.
Cette observation est d’autant plus intéressante que (87) Sylvia possède deux lunes, baptisées Romus et Romulus qui pourraient intervenir dans l’occultation selon leur position.
Voir euraster.net, site pour l’observation des occutations par des astéroïdes.
dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
- C/2018 W2 Africano. Elle est passée au périhélie le 5 septembre et au périgée le 27 septembre (0,494 UA, soit 73,957 millions de kilomètres environ). Magnitude observée le 2 octobre : 8.7 ; observable en début de nuit ; devant la Grue (Gru) à partir du 28 octobre, elle devient inobservable depuis les latitudes Nord.
– C/2018 N2 ASASSN. Magnitude observée le 4 octobre : 11.6 ; devant Andromède (And). Elle est passée au périgée le 20 octobre (2,212 UA). Elle va être au périhélie le 10 novembre ; son éclat augmente.
– 260P McNaught. Magnitude observée le 5 octobre 11.7, devant Persée (Per), puis Andrompède (And) à partir du 1er novembre ; elle est passée au périhélie le 9 septembre et au périgée le 4 octobre (0,562 UA) ; son éclat diminue.
– C/2017 T2 PANSTARRS. Magnitude observée le 2 octobre 12.9, devant le Cocher (Aur) ; elle sera au périhélie le 4 mai 2020 ; on l’attend à magnitude 8.
Une comète extra-solaire, article dans les Nouvelles du Ciel
et sur notre page Facebook
– Retrouvez ces comètes et les autres comètes observables sur Heavens above, paramétrable pour votre localisation.
Autres références : aerith.net, theskylive.com
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
- Lune
– Chandrayaan-2 : chou blanc ! le 14 octobre, la sonde LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter) de la NASA a survolé pour la deuxième fois la zone où devrait logiquement se trouver Vikram, l’atterrisseur dont l’agence indienne (ISRO) avait perdu le contact le 6 septembre, 15 minutes avant qu’il ne touche le sol lunaire. Les clichés obtenus lors du précédent survol, le 17 septembre n’avaient pas permis d’identifier la moindre trace ; ce deuxième survol non plus
– Chang’e 4, la Chine sur la face cachée de la Lune
L’atterrisseur et le rover de la sonde Chang’e-4 ont repris leur mission pour le 11e jour lunaire sur la face cachée de la Lune, après leur mise en veille durant la nuit lunaire, longue de 14 jours terrestres et extrêmement froide. source
Une maquette de la sonde est exposée à la Cité de l’Espace à Toulouse depuis le 18 septembre. Pour en savoir plus
– Mars
– Mars Curiosity : Seul sur Mars, en tout cas seul robot au sol en service actuellement, l’infatigable Curiosity poursuit ses activités de géochimiste sur les flancs du mont Sharp. Le 11 octobre dernier, lors de son 2.553e jour martien, le rover a profité d’une pause dans son travail, sur un site particulièrement riche en argile, pour réaliser un nouvel autoportrait. Source
– Mars Insight : la « taupe » a pu reprendre son forage. Les ingénieurs du JPL et de l’agence spatiale allemande DLR ont peut-être trouvé le moyen de sauver la mission du pénétrateur de la sonde InSight, qui doit mesurer le flux de chaleur de Mars jusqu’à 5 m de profondeur et aider ainsi à comprendre l’histoire de son refroidissement. Source
- L’équipe de New Horizons a assemblé les meilleures images permettant de reconstituer la face de Pluton restée cachée à la sonde lors de son passage le 14 juillet 2015.
Sputnik Planitia — étendue glaciale riche en azote, monoxide de carbone et méthane gelé sur la face de Pluton survolée par la sonde. En raison de sa vitesse et de la durée de la journée sur Pluton (plus de 6 jours terrestres), l’autre face de Pluton n’est pas aussi bien imagée.
source Credit : NASA/Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory/Southwest Research Institute
– Site de la mission
– Galerie d’images
– Hayabusa2 et l’astéroïde Ryugu
– Hayabusa2 bientôt sur le retour. Article de synthèse
– Mercure
– BEPI COLOMBO nous envoie des selfies !
à suivre sur planète-mercure.fr ; twitter ; site de l’ESA ; site du CNES ; article Le Monde
- VOYAGER 2 La mission Voyager révèle une pression inattendue au bord du Système solaire->https://trustmyscience.com/mission-voyager-revele-pression-inattendue-bord-systeme-solaire/]
Site Voyager - NASA.
Astrophysique
– Du strontium nouvellement créé a pour la première fois été détecté dans l’espace par un télescope de l’ESO
Rappels
– Mars Express (mission ESA) : vue de Nirgal Vallis
– EXOMARS : à seulement huit mois de son lancement, la mission ExoMars n’est pas prête. Toujours un problème de parachute
– Osiris Rex et l’astéroïde Bennu
Quatre sites finalement retenus pour la récolte d’échantillons
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
– [Rosetta, nouvelle vidéo ; archives photos complètes->http://www.planetastronomy.com/astronews/astrn-2018/10/astronews-net-28sep18.htm#ROSETTA_2]
– Hayabusa1, découverte d’eau sur l’astéroïde Itokawa, visité en 2005 et dont les échantillons sont arrivés sur Terre en 2010
– Cassini : Titan, Encelade et les anneaux de Saturne (5 mai)
– Kepler, une exoplanète intéressante (Fin de la mission en novembre 2018)
– Cérès et la mission Dawn : fin le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– voir aussi l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
Liens à suivre pour ne rien rater
– INSU, ESA France, Autour du ciel, Futura-Espace ; Ciel des Hommes
Congrès international sur le temps 21, 22, 23 novembre 2019 à la Cité des sciences et de l’industrie
Rappels
– Astronews du 4 octobre ; au sommaire : Mars le prochain défi, conf SAF de F Forget 9 Oct 2019 ; Neutrino, enfin, on connait une limite sup de sa masse ! ; SpaceX, présentation du nouveau concept Starship par E Musk ; La matière noire, une nouvelle piste ? ; Euclid, intégration et tests en cours ; Trous Noirs, les OG fourniront-elles la preuve de leur existence ? ; Trous Noirs, la NASA à la manœuvre ! ; Objet Interstellaire, un nouveau visiteur ! ; Mars Express, Mars du Nord au Sud ; EXOMARS, TGO nous fournit de belles images ; Livre conseillé : Les Exoplanètes par Flavien Kiefer chez DeBoeck ; magazine conseillé : Pour la Science d’Octobre sur l’infini
– La lettre du guide du ciel n°153 (1er octobre 2019) de Guillaume Cannat : UNE NUIT DE PLEINE LUNE DU CAUSSE MÉJEAN À L’AIGOUAL
– La lettre de l’IMCCE d’octobre n°161 Ce mois-ci : *Conjonctions successives de la Lune avec Jupiter et Saturne *Le ciel du mois *Visibilité de la Lune et des planètes *Passage à l’heure d’hiver en 2019 *Fête de la Science 2019 : " Raconter la science, imaginer l’avenir " *Retour sur le colloque de planétologie EPSC-DPS 2019.
– Astrosurf magazine numéro 100, septembre-octobre 2019, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie. Sommaire
– Présentation de David Antao sur la mesure de l’expansion de l’Univers en amateur depuis le T60 du Pic du Midi
– Excellent site japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
Astrologie
– André Barbault, grand astrologue français, s’en est allé ce 8 octobre, à 98 ans.
– L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [4], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique sur la base de la distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Notez en regard vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[3] Pour la même latitude (approximativement), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[4] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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