mardi 31 décembre 2019, par
La Lune
– Elle marque les signes de Bélier à Cancer
– Elle passe de la constellation de la Baleine (Cet) à celle des Gémeaux (Gem)
– Le 3, Premier Quartier, passe en déclinaison Nord ; le 4, conjoint Uranus ; le 7, conjoint Pléiades, Aldébaran ; le 8, conjoint Elnath ; le 10, nœud ascendant, conjoint Alhena, déclinaison maximale, Pleine Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est dans le signe du Capricorne
– devant la constellation du Sagittaire (Sgr)
– Au périgée le 5 (Terre périhélie)
– Conjonction supérieure de Mercure le 10
– Les planètes :
– Mercure apogée le 5, conjonction supérieure le 10
– Mars arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) le 7
– Uranus (rétrograde jusqu’au 11), déclinaison minimale le 9
– En héliocentrique
– Mars opposé Uranus le 3
– Mercure signe Capricorne le 3, opposé Terre le 10 (conjonction supérieure)
– Terre périhélie le 5 (Soleil périgée)
– Saturne conjoint Pluton le 10
– A 5h45, (même heure) Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 0h/18h 53m, déclinaison Soleil -22°52’ -monte, Lune -0°0’ -monte.
- A 5h50, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Nord : déclinaison 0° ; ascension droite 0h53m. Longitude écliptique 12°17’ (13e BEL), latitude -5°16’, monte.
– A 10h09, Mars entre dans le signe du Sagittaire en géocentrique
– Aux alentours de 12h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Léonides de janvier
– A 13h27, Mars opposé Uranus en héliocentrique.
– A 18h25, Mercure entre dans le signe du Capricorne en héliocentrique.
– A 23h09, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 20°54’ (21e BEL) ; latitude -5°9’, monte.
- Aujourd’hui, la planète Saturne et la planète naine Pluton entrent dans le champ du coronographe Lasco C3.
– Aux alentours de 3h40, maximum attendu de l’essaim météoritique des Quadrantides, un des plus beaux de l’année
– A 17h14, la Lune entre dans le signe du Taureau ; Lg 30° à 60° ; sa latitude est alors de -4°54’ monte.
- A 19h19, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan équatorial, la planète 4°40’ au Nord ; élongation solaire d’Uranus 108° Est. La Lune signale la position d’Uranus. Les deux astres culminent aux alentours de 20h, à 57° de hauteur pour Uranus (pour notre localisation) ; ils se couchent aux alentours de 2h45.
– A 22h30, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan écliptique, ∆ -4°19’ ; longitude 32°39’ (3e TAU)
– A 23h00, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 32°54’ (3e TAU) ; latitude -4°48’, monte.
- A 5h05, Mercure à l’apogée
– A 8h47, le Soleil au périgée = la Terre au périhélie : plus petite distance Terre-Soleil.
– A 16h07, la Lune arrive devant la constellation du Bélier (Ari) ; longitude 41°39’ (12e TAU) ; latitude -4°25’, monte.
- Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 22 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 1h41, Mercure conjoint Jupiter en héliocentrique.
– De 2h33 à 2h41, occultation d’une étoile de la constellation de la Vierge par l’astéroïde (6) Hebe
– Aux alentours de 6h00, maximum attendu de l’essaim météoritique des alpha Hydrides
– Aux alentours de 10h, début de la 2226 ème rotation synodique du Soleil
– A 12h20, la Lune arrive devant la constellation du Taureau (Tau) ; longitude 52°9’ (23e TAU) ; latitude -3°49’, monte.
- A 0h22, la Lune est conjointe aux Pléiades dans le plan équatorial, l’amas ouvert (Messier 45) 7°40’ au Nord. L’ensemble culmine aux alentours de 22h, à près de 70° de hauteur pour les Pléiades . La Lune gibbeuse décroissante, encore très brillante, ne permet guère l’observation de l’amas.
– Aujourd’hui, la planète Jupiter sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 3h10, la Lune entre dans le signe des Gémeaux ; Lg 60° à 90° ; sa latitude est alors de -3°17’ monte.
– Elle est alors conjointe aux Pléiades dans le plan écliptique, à 3h29 exactement, ∆ -7°21’. L’amas des Pléiades marque, de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 1er degré du signe des Gémeaux (longitude moyenne de la date du centre de l’amas : 60°10’15").
– A 10h31, Mars arrive devant la constellation du Scorpion (Sco).
– Ce soir, Vénus est entre les étoiles Nashira et Deneb Algedi du Capricorne
- Ce soir, sur la Lune proche de sa libration minimale en longitude, apprécier les formations au terminateur sous les rayons du Soleil levant, en particulier la Vallée de Schröter.
- A 22h39, la Lune est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau ; m 0.85) dans le plan équatorial, l’étoile 3°0’ au Sud.
– Aldébaran marque depuis octobre 2014, le 11e degré du signe des Gémeaux (longitude moyenne de la date : 70°4’25" ; rappelons qu’en raison de la précession des équinoxes, la longitude écliptique des étoiles augmente d’un degré tous les 72 ans).
– A 22h52, la Lune est conjointe à Aldébaran dans le plan écliptique , ∆ +2°57’.
– A 18h, les deux astres sont à l’Est, à une trentaine de degrés de hauteur ; ils culminent aux alentours de 22h20, la Lune à 60° de hauteur environ et se couchent aux alentours de 5h30.
- Ce matin, Mars jouxte l’étoile Graffias du Scorpion
- Aux alentours de 6h30, la Lune atteint sa libration minimale en longitude (L= -5,7°) : elle présente son Ouest au maximum. A remarquer la veille au soir
– Ce soir, Vénus jouxte l’étoile Deneb Algedi du Capricorne
- A 19h06, la Lune est conjointe à Elnath (étoile beta Taureau, magnitude 1.65) dans le plan équatorial, l’étoile 6°57’ au Nord. Les deux astres culminent aux alentours de 23h, à 73° de hauteur pour Elnath à notre latitude, et se couchent aux alentours de 7h15
– A 22h02, la Lune est conjointe à Elnath dans le plan écliptique, ∆-6°49’. El Nath marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 23e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 82°51’3"]
- A 7h02, la Lune arrive devant la constellation d’Orion (Ori) ; longitude 88°28’ (29e GEM) ; latitude -0°54’, monte.
– A 8h20, Uranus atteint sa déclinaison minimale : +11°55’ (Nord)
– A 9h42, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de -0°46’ monte.
– A 10h42, la Lune arrive devant la constellation des Gémeaux (Gem) ; longitude 90°33’ (1er CAN) ; latitude -0°43’, monte.
– A 10h56, l’astéroïde (192) Nausikaa à l’opposition du Soleil dans le plan écliptique.
- A 0h28, la Lune passe au nœud ascendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Nord. Longitude 98°26 (9e CAN) ; (ascension droite : 6h36m, déclinaison +23°10’ (monte) ; distance 374 894 kilomètres environ soit 58,78 rayons terrestres .
– L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Cancer/Capricorne du 6 novembre 2018 au 5 mai 2020.
- A 1h19, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, l’étoile 6°48’ au Sud. Alhena accompagne la Pleine Lune ; à remarquer le 9 et le 10 au soir à l’Est ; apprécier le déplacement de la Lune par rapport à l’étoile.
– A 3h07, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan écliptique, ∆ +6°50’, longitude (moyenne de la date) 99°23’20" (10e CAN).
– A 5h18, Mercure conjoint Soleil dans le plan géo-équatorial
- A 7h02, la Lune atteint sa déclinaison maximale : +23°13’18" (Nord) par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 6h53m ; longitude écliptique 102°14’ (13e CAN), latitude +0°20’ (monte). Elle culmine au plus haut dans l’hémisphère Nord, à 68° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 0h30.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
– A 10h16, Saturne conjoint Pluton en héliocentrique.
– A 16h19, conjonction supérieure de Mercure dans le plan écliptique = Mercure opposé Terre en héliocentrique.
– A 20h04, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 7h/19h 26m, déclinaison Soleil -21°56’ -monte, Lune +23°0’ -descend.
- A 20h10, maximum d’une éclipse pénombrale de Lune visible d’Europe, d’Afrique, d’Asie, d’Australie.
– C’est la première d’une série de quatre éclipses pénombrales consécutives, qui se produisent au cours de l’année 2020 (10 Janvier, 05 Juin, 05 Juillet, et 30 Novembre).
– Elle se produit au nœud ascendant de la Lune, devant la constellation des Gémeaux (Gem), deux semaines après l’éclipse annulaire de Soleil du 26 Décembre 2019 (visible depuis l’Europe, l’Afrique, l’Asie, et l’Australie).
– Le diamètre apparent de la Lune est plus grand que la moyenne puisque l’éclipse survient 3 jours avant le passage au périgée.
– La Lune commence à entrer dans la pénombre à 18h05 soit 50 minutes après son lever.
– Le maximum de l’éclipse a lieu à 20h10. Le disque lunaire sera presque intégralement plongé dans la pénombre, seul le limbe nord restera en dehors. Cela devrait être facilement constatable à l’oeil nu.
– La Lune finira de sortir de la zone de pénombre à 22h14.
– Tous les détails sur la page PGJ
– Le club Astr’Olt organise une sortie à cette occasion.
C’est la Pleine Lune des loups dans les traditions amérindiennes.
Le 9, elle se lève plus d’une heure avant le coucher du Soleil ; à 18h, elle est à une quinzaine de degrés au-dessus de l’horizon Est-nord-est, au-dessus d’Alhena, avec à sa droite Bételgeuse et à sa gauche Castor et Pollux.
Elle traverse la longue nuit, de près 16 heures sous nos latitudes, en compagnie de ces étoiles les plus brillantes du ciel boréal, culmine à près de 70° de hauteur et se retrouve à l’Ouest-nord-ouest à l’aube avant de plonger sous l’horizon, un quart-d’heure avant l’arrivée du Soleil.
Le 10, elle se lève un quart-d’heure avant le coucher du Soleil ; à 18h, elle est à 6° de hauteur à Est-nord-est, Pollux encore à sa gauche.
Elle se retrouve au petit matin du 11 l’Ouest-nord-ouest, flottant dans l’arche anti-crépusculaire en compagnie de Pollux et Castor qui sont maintenant à sa droite.
- Il est au périgée le 5 janvier à 8h47 : au plus près de la Terre à 0,983 243 564 UA soit 147, 091 144 millions de kilomètres = en héliocentrique, le périhélie de la Terre.
Son diamètre apparent est maxima : 32 minutes et 30 secondes d’arc. Longitude écliptique 284°25’ (15e CAP).
Il est un peu plus proche que l’année dernière, le 3 janvier 2019 (0,983 301 165 UA).
A notre époque, l’instant du périhélie peut survenir entre le 1er janvier à 22 TU (comme en 1989) et le 5 janvier à 8h TU (comme en 2020) :
cela est lié à la danse du couple Terre-Lune autour de son barycentre.
Les périhélies les plus précoces ont lieu en période de Dernier Quartier, les plus tardifs en période de Premier Quartier.
D’autre part, l’axe des apsides (périhélie-aphélie) de la Terre progresse de 1°43’ par siècle sur l’écliptique,
ce qui fait que la date moyenne du périhélie et de l’aphélie retarde d’environ 1 jour par siècle.
- Devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 18 décembre au 19 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 22 septembre 2019, 0h TU (29e VIE) au 18 mars 2020, 0h TU (28e POI) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 22 septembre 2019.
- Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) = la Terre est dans le signe du Cancer en héliocentrique, du 22 décembre, 5h19 (4h19 UTC) - solstice d’Hiver Nord/Eté Sud - au 20 janvier à 15h40 (14h40 UTC) .
signe du Capricorne
Nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud
l’Hémisphère Nord (+) reçoit beaucoup moins (f) que le Sud et encore de moins en moins (l) alors que et encore davantage chaque jour (V). C’est la phase finale avant le solstice.
Nous avons dominance (F) du Sud (-) avec décroissance (L) du Sud (-)
Et infériorité (f) du Nord (+) avec croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité directrice "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période solsticiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale (UP)
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez sur cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
- Le 6 janvier, aux alentours de 10h, début de sa 2226 ème rotation synodique [2]
- Il est conjoint à Mercure le 10 janvier à 5h18 dans le plan géo-équatorial : ascension droite 19h23m, déclinaison Soleil -22°2’ -monte, Mercure -23°57’ -monte. La conjonction dans le plan écliptique a lieu à 16h19 (en coordonnées moyennes de la date), à la longitude 289°49’ (20e CAP) ; latitude Mercure -1°55’ (descend). C’est l’ opposition Terre-Mercure en héliocentrique soit un alignement Terre-Soleil-Mercure.
– Mercure atteint son périgée le 5 janvier (1,438 UA).
– Sa prochaine conjonction inférieure aura lieu le 26 février.
Elle était nulle le 25 décembre ; elle atteindra son premier maximum positif de l’année le 11 février (+14m14s).
– Du 3 novembre -second maximum négatif de l’année (-16m 26s) au 11 février - premier maximum positif de l’année (+14m14s), le midi vrai se produit quelques secondes plus tard chaque jour par rapport au midi moyen, .
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
[3] : la planète Jupiter du 17 décembre au 7 janvier ; l’amas globulaire Messier 22 du 23 décembre au 6 janvier ; la planète Mercure du 27 décembre au 23 janvier ; la planète Saturne du 4 au 23 janvier ; la planète naine Pluton du 4 au 22 janvier
sur spaceweather.com (en anglais. La petite tache du nouveau cycle (25) apparue le 24 décembre a disparu le 27. Au 30 décembre, nous en sommes à 280 jours sans tache depuis le début de l’année. Ce minimum emporte le record du siècle : il n’y en a pas eu d’aussi prolongé depuis plus de cent ans.
– D’autres petites taches éphémères du nouveau cycle sont déjà apparues le 20 décembre 2016, le 8 avril et le 17 novembre 2018, le 28 mai, le 1er juillet et le 7 juillet, le 1er et le 13 novembre 2019. L’apparition des taches du nouveau cycle et l’accélération de leurs apparitions induit que la transition entre le cycle 24 et le cycle 25 est en cours ...
- C’est la polarité des taches ainsi que la latitude à laquelle elles apparaissent qui permet de déterminer si elles appartiennent au cycle qui s’achève ou à celui qui commence. Les taches du cycle 24 sont polarisées -/+, celles du cycle 25 sont polarisées +/- et elles apparaissent aux hautes latitudes alors que celles de l’ancien cycle sont proches de l’équateur solaire.
– La faible activité solaire entraîne un accroissement des rayons cosmiques de haute énergie qui pénètrent le système solaire. Nous avons atteint un record du 4 au 8 décembre, voir spaceweather.com du 8 décembre.
– page PGJ en français
– excellent suivi en français sur astroplanetes
– Le 3 janvier à 13h27, Mars opposé Uranus ; longitude 215°/35°20’ - 6e SCO/TAU) ; latitude Mars +0°27’ (descend), Uranus -0°29’ (monte).
– Le 3 janvier à 18h25, Mercure entre dans le signe du Capricorne ; longitude 270°, latitude -4°38’ ; descend ; elle reste dans ce signe jusqu’au 13 janvier.
- Le 5 janvier, à 8h47, la Terre au périhélie : au plus près du Soleil à 0,983 243 564 UA soit 147, 091 144 millions de kilomètres ; longitude écliptique 104°25’ (15e CAN) ; du point de vue géocentrique, c’est le périgée du Soleil. La Terre se trouve 5 millions de kilomètres environ plus près de lui qu’à son aphélie, aux alentours du 4 juillet (soit 3,4%).
– Le 6 janvier à 1h41, Mercure conjoint Jupiter ; longitude 276°28’ - 7e CAP) ; latitude Mercure -5°12’ (descend), Jupiter +0°5’ (descend).
– Le 10 janvier à 10h16, Saturne conjoint Pluton ; longitude 292°47’ - 23e CAP) ; latitude Saturne +0°2’ (descend), Pluton -0°41’ (descend).
- Le 10 janvier à 16h01, Mercure opposé Terre ; longitude 289°/109°49’ - 20e CAP/CAN) ; latitude Mercure -2°50’ (monte) ; c’est la conjonction supérieure de Mercure en géocentrique.
– Pour notre localisation (44°36’N-2°12’E), le Soleil se couche à 17h21 le 3 janvier et à 17h28 le 10 ; il se lève à 8h29 le 3 janvier et à 8h28 le 10.
Correction en longitude [4]
– Depuis le solstice les jours ont commencé à rallonger. A notre latitude, le jour regagne tout juste une minute le matin et il en gagne 7 le soir - en raison de l’équation de temps ; il augmente donc de 8 minutes (4 minutes en 8 jours la semaine dernière) ;
- Nous assistons aux levers du Soleil les plus tardifs de l’année :
– à 40° de latitude Nord, du 31 décembre au 10 janvier à 8h22 - à 45° Nord, du 28 décembre au 8 janvier à 8h38 - à 50°Nord, le 31 décembre et le 1er janvier à 8h59.
La Lune
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
– Au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit et se couche en deuxième moitié de nuit , chaque jour une heure en moyenne plus tard que la veille (au minimum une demi-heure, au maximum une heure et demi à notre latitude).
– La Pleine Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près à l’opposé du Soleil.
La lumière zodiacale
– elle est possible à voir du 25 décembre au 9 janvier en fin de nuit devant la Balance et la Vierge, pointant vers Mars, de plus en plus difficilement toutefois car l’écliptique s’incline de plus en plus bas sur l’horizon. En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h58 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 3 janvier aux alentours de 12h, maximum attendu des Léonides de janvier (JLE), radiant Lion (Leo)
– le 4 janvier aux alentours de 3h40, maximum attendu des Quadrantides radiant Bouvier (Boo), donné pour actif du 28 décembre au 12 janvier (PGJ) ou du 1er au 5 janvier (G.Cannat) ; zhr 110 ; un des plus beaux de l’année.
Cet essaim provient de l’ astéroïde 2003 EH1.
– le 6 janvier aux alentours de 6h00, maximum attendu des alpha Hydrides (AHY), radiant Hydre Femelle (Hya)
noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous faisons référence aux données en longitude solaire du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale) et ajoutons le cas échéant les données fournies par PGJ
– liste de tous les essaims
Dans l’ordre de présence, du soir au matin
- Elle se couche 3 heures environ après le Soleil.
- Son élongation passe de 35° à 36° Est.
– Elle est maintenant rutilante dans le ciel du soir et elle va l’orner jusqu’au mois de mai.
- Le 7 et le 8 janvier, apprécier sa proximité avec les étoiles Nashira et Deneb Algedi du Capricorne et son déplacement par rapport à elles d’un soir à l’autre.
Deneb Algedi, de magnitude 2.8, brille 520 fois moins fort que Vénus.
– Elle sera à son élongation maximale le 24 mars (46° Est) et en conjonction inférieure au Soleil le 3 juin.
– Sa dernière conjonction supérieure date du 14 août.
– Sa prochaine conjonction planétaire sera avec Neptune le 27 janvier.
La précédente a été avec Saturne le 11 décembre
- Elle est en phase gibbeuse décroissante ; sa portion éclairée, passe de 82% à 80% ;
- son diamètre apparent, 13 secondes d’arc augmente ;
- magnitude -4.0.
En savoir plus sur Vénus et ses phases.
- Elle est devant la constellation du Capricorne (Cap) du 19 décembre au 11 janvier. Elle arrivera alors devant le Verseau (Aqr).
- Son mouvement est direct du 16 novembre 2018 au 13 mai 2020.
– Ci-contre son parcours du 1er octobre 2019 au 20 août 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre.
- Elle est dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) du 20 décembre au 13 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Bélier du 29 décembre au 17 janvier.
- Sa distance au Soleil : 0,725 UA diminue depuis son aphélie le 28 novembre (0,728 UA). Prochain périhélie le 20 mars 2020 (0,718 UA).
- Sa distance à la Terre diminue : 1,221 UA le 10 janvier ; elle est passée à l’apogée le 11 août 2019 (1,731 UA) ; prochain périgée le 3 juin 2020 (0,288 UA).
- En latitude écliptique Sud depuis le 25 octobre (nœud descendant), elle a atteint sa latitude minimale en héliocentrique le 20 décembre (-3°23’, invariable) et en géocentrique le 26 décembre (-1°51’, variable)
– Elle sera à son nœud ascendant le 15 février.
- En déclinaison Sud depuis le 16 septembre, elle monte ; elle a atteint sa déclinaison minimale le 28 novembre (-24°47’) ; elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 13 novembre au 13 décembre ; elle passera en déclinaison Nord le 8 février.
– Son élongation passe de 9° à 3° Est.
– Elle se couche aux alentours de 17h50 ; elle n’est plus visible.
– Elle va être conjointe au Soleil le 13 janvier et sera occultée par lui. Etude astrologique
– Sa prochaine opposition aura lieu le 20 juillet 2020. La précédente date du 9 juillet 2019.
– Le 4 janvier, elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 qu’elle va traverser jusqu’au 23 janvier ; du 12 au 14 janvier, elle traversera également le champ plus réduit de Lasco C2 ; on pourra l’y voir avant et après son occultation par le Soleil.
– Elle a été conjointe à Vénus le 11 décembre
Elle va être conjointe à Mercure et à Pluton le 12 janvier ; plus de détails dans cet article
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
- Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 22 mars 2020 ; elle y reviendra de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
- Son mouvement est direct depuis le 18 septembre (14e CAP). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 24 décembre (21e CAP).
- Sa distance au Soleil (10,033 UA) diminue depuis son aphélie le 17 avril 2018 (10,065 UA). Elle se rapproche du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
- Sa distance à la Terre augmente, de 11,003 à 11,016 UA ; dernier périgée le 10 juillet 2019 (9,032 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2020 (11,017 UA).
- En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012 ; elle va passer à son nœud descendant le 13 février 2020.
- En géocentrique, son dernier maximum date du 2 mai 2018 (+0°53’). Elle descend jusqu’au 7 octobre 2021 (-0°49’)
- En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint un minimum le 27 septembre (-22°31’) ; elle remonte jusqu’au 6 mai 2020 (-19°50’). Elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Elle passera en déclinaison Nord en mars 2026.
– Magnitude : 7.9 ; diamètre apparent 2,2 secondes d’arc.
– Elle se couche aux alentours de 22h30 ; l’éclat de la Lune ne permet guère son observation cette semaine.
– Son élongation passe de 64° à 57° Est.
– Elle est passée en quadrature Est le 8 décembre.
Elle sera conjointe au Soleil le 8 mars 2020. Sa prochaine opposition aura lieu le 11 septembre 2020. La précédente date du 10 septembre 2019.
– Dernière conjonction planétaire avec Vénus le 10 avril 2019.
La prochaine sera avec Vénus également le 27 janvier 2020.
- Son mouvement est direct depuis le 27 novembre (16e POI) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 17 mars 2020. La suivante aura lieu du 22 juin (21e POI) au 28 novembre 2020 (19e POI)
– On peut toujours constater son déplacement en prenant comme repère l’étoile phi Aquarii, de magnitude 4.2 ;
- Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
- Sa distance au Soleil (29,933 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
- Sa distance à la Terre : 30,465 UA le 10 janvier, augmente depuis son périgée le 9 septembre 2019 (28,927 UA). Prochain apogée le 9 mars 2020 (30,924 UA).
- En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle a atteint un minimum le 23 septembre 2019 (-1°3’). Elle remonte jusqu’au 22 février 2020 -maximum à -1°0’.
- En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’).
– Elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 25 novembre 2019 (-6°30’) ; maintenant elle remonte ; prochain maximum le 19 juin 2020 (-4°33’).
– Magnitude : 5.7 ; diamètre apparent : 3,6 secondes d’arc.
– Elle culmine aux alentours de 19h45 et se couche aux alentours de 2h40 ;
– elle est conjointe à la Lune le 4 janvier
– Son élongation passe de 110° à 103° Est.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 28 octobre. Elle sera en quadrature Est le 23 janvier, conjointe au Soleil le 26 avril.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 31 octobre 2020.
– Sa dernière conjonction planétaire a eu lieu avec Vénus le 18 mai 2019. Prochaine avec Vénus à nouveau le 8 mars 2020.
-Son mouvement est rétrograde depuis le 12 août (7e TAU). Elle va reprendre son mouvement direct le 11 janvier (3e TAU) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 26 avril.
- Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations du 1er janvier 2018 au 16 mai 2023
- Elle signe Taureau :
– en héliocentrique du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– en géocentrique, du 6 mars 2019 au 7 juillet 2025, après y avoir fait une première incursion du 15 mai au 6 novembre 2018.
- Sa distance au Soleil : 19,817 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
- Sa distance à la Terre augmente : 19,579 UA le 10 janvier. Elle est passée au périgée le 27 octobre 2019 (18,86 UA) ; prochain apogée le 26 avril 2020 (20,81 UA).
- En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– en géocentrique, elle a atteint un palier de latitude minimale le 13 octobre 2019 (-0°31’). Prochain maxima le 17 mai 2020 (-0°26’).
- En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant suivant ses rétrogradations ; elle atteint un minimum le 9 janvier à 8h20 : +11°55’59" par rapport au plan équatorial -ascension droite 2h2m ; longitude 32°39’ (rétrograde), latitude -0°29’ -monte. Prochain maximum le 14 août (+14°35’) ; maximum précédent le 10 août 2019 (+13°14’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle se lève aux alentours de 5h10, soit plus de 3 heures avant le Soleil.
– Magnitude : +1.5
– Élongation 42° à 44° Ouest.
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 2 septembre 2019 ; elle sera en quadrature Ouest le 6 juin 2020.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020. La précédente date du 27 juillet 2018 ;
– Dernière conjonction planétaire avec Mercure le 3 septembre.
– Prochaine avec Jupiter le 20 mars 2020, puis Pluton le 23 mars et Saturne le 31 mars.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août 2018 dans le plan écliptique (28 août dans le plan équatorial) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– - Devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 1er décembre, elle arrive devant devant le Scorpion (Sco) le 7 janvier à 10h31, longitude 242°42’ (3e SAG), latitude +0°17’-descend. Elle reste devant cette constellation jusqu’au 15 janvier ; elle arrivera alors devant Ophiuchus (Oph)].
- Le 8 janvier, elle jouxte l’étoile Graffias alias Acrab.
– Ci-contre son parcours du 1er octobre 2019 au 23 juin 2020 (les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2019)
- Dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) depuis le 19 novembre, elle entre dans celui du Sagittaire (longitude 240° à 270°) le 3 janvier à 10h09 ; latitude +0°20’ -descend. Elle reste dans ce signe jusqu’au 16 février ; elle entrera alors dans le signe du Capricorne.
– En héliocentrique, elle signe Scorpion du 23 décembre au 21 février..
- Sa distance au Soleil : 1,579 UA le 10 janvier, diminue depuis son aphélie le 26 août 2019 (1,666 UA) ; prochain périhélie le 3 août 2020 (1,381 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 2,169 à 2,112 UA ; dernier apogée le 29 août 2019 (2,675 UA). Prochain périgée le 6 octobre 2020 (0,414 UA).
- En latitude Nord depuis le 15 janvier (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale en géocentrique le 30 juin 2019 (+1°10’ -variable) ;
– et sa latitude maximale en héliocentrique le 19 juillet (+1°50’ -invariable).
– Elle descend et va passer en latitude Sud -à son nœud descendant- le 1er février.
- En déclinaison Sud depuis le 7 octobre, elle descend ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) du 9 février au 3 mars, atteindra son minimum le 20 février à -23°40’ et passera en déclinaison Nord (nœud ascendant) le 11 juillet 2020.
- Saison sur Mars : c’est l’été Nord /hiver Sud depuis le 7 octobre 2019 de notre calendrier grégorien terrestre jusqu’au 8 avril 2020 (équinoxe d’Automne Nord / Printemps Sud).
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 27 décembre et devient maintenant du matin. Elle sera visible à partir du 20 janvier.
- Son élongation passe de 5° à 10° Ouest.
– Elle se lève 8h09 le 3 janvier et à 7h48 le 10 pour notre localisation..
– Le 7 janvier, elle sort du champ du coronographe Lasco C3 dans lequel elle se trouvait depuis le 17 décembre.
– Sa dernière opposition date du 10 juin. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2020.
– Sa précédente conjonction planétaire a été avec Mercure le 2 janvier.
– La prochaine va être avec Saturne et Pluton le 12 janvier.
- Elle est devant la constellation du Sagittaire (Sgr) depuis le 16 novembre et va y rester jusqu’au 18 décembre 2020 (elle sera alors conjointe à Saturne). Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 8 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019).
- Son mouvement est direct depuis le 11 août (15e SAG). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 6 novembre.
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 14 mai (28e CAP) au 13 septembre (18e CAP).
- Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 2 décembre 2019 au 19 décembre 2020 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne depuis le 18 octobre et va rester dans ce signe jusqu’au 12 octobre 2020.
- Sa distance au Soleil : 5,224 UA le 10 janvier, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 6,205 à 6,186 UA ; elle est passée à l’apogée le 25 décembre 2019 (6,212 UA) ; elle sera au périgée le 15 juillet 2020 (4,283 UA).
- En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale le 16 avril 2019 (+0°38’) ; prochain minimum le 8 septembre 2021 (-1°11’).
- En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016, elle atteint sa déclinaison minimale le 7 décembre (-23°18’) ; c’est son minimum absolu ; prochain maximum le 10 mai 2020 à -20°51’. Elle passera en déclinaison Nord le 26 mai 2022.
– Elle est en conjonction supérieure le 10 janvier
- Son élongation passe de 4° Ouest à 1° Est
– Elle est dans le champ du coronographe Lasco C3 du 27 décembre au 23 janvier.
– Sa dernière conjonction inférieure a eu lieu le 11 novembre avec transit devant le Soleil.
La prochaine aura lieu le 26 février.
Elle sera à son élongation Est maximale le 10 février et va nous offrir une brève mais belle fenêtre d’observation dans le ciel du soir de fin janvier à mi février.
– Elle va être conjointe à Saturne et Pluton le 12 janvier.
– Sa précédente conjonction planétaire a été avec Jupiter le 2 janvier
- magnitude : -1.0 à -1.2.
- son diamètre apparent, 4,7 secondes d’arc, est pratiquement minimal.
- Sa fraction éclairée atteint 100% lors de sa conjonction supérieure = Pleine Mercure.
- Son mouvement est direct depuis le 20 novembre (12e SCO). Elle a achèvé sa boucle de rétrogradation le 7 décembre (28e SCO). La prochaine aura lieu du 17 février 2020 (13e POI) au 10 mars (29e VER).
– Ci-contre son parcours du 1er octobre 2019 au 23 avril 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019.
- Devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 27 décembre au 16 janvier. Elle arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
- Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 29 décembre au 16 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire du 23 décembre au 3 janvier, puis Capricorne jusqu’au 13 janvier.
- En latitude Sud depuis le 19 décembre, elle va atteindre sa latitude minimale le 17 janvier en géocentrique (-2°6’, variable) et le 19 janvier en héliocentrique (-7°0’, invariable).
[- En déclinaison Sud depuis le 15 septembre,
],
elle a atteint sa déclinaison minimale le 2 janvier (-24°32’) ;
– elle est hors-limites zodiacales (-23°26’12") depuis le 22 décembre
elle va rentrer dans les limites zodiacales le 12 janvier, remontera jusqu’au 19 février à -4°7’ ; elle redescendra ensuite jusqu’au 16 mars à -11°22’ puis remontera et passera en déclinaison Nord le 14 avril.
- Sa distance au Soleil diminue, de 0,465 à 0,448 UA ; elle est passée à l’aphélie le 30 décembre (0,406 UA) ; prochain périhélie le 12 février (0,307 UA).
- Elle atteint son apogée le 5 janvier à 5h05 : au plus loin de la Terre à 1,438 845 UA soit 215,2 millions de kilomètres environ ; (longitude 281°0’ -12e CAP, latitude -1°36’ -descend). Cela est lié à sa conjonction supérieure qui a eu lieu le 10 janvier.
A partir de là, sa distance à la Terre diminue jusqu’à son prochain périgée le 28 février (0,629 UA) ; périgée précédent le 10 novembre (0,675 UA).
– magnitude 15.0.
– Son élongation passe de 10° à 3° Est.
– Elle se couche aux alentours de 17h45 ; elle va être conjointe au Soleil le 13 janvier
– Le 4 janvier, elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 qu’elle va traverser jusqu’au 22 janvier
– Sa dernière opposition date du 14 juillet 2019. La prochaine aura lieu le 15 juillet 2020.
– Elle est passée en quadrature Est le 14 octobre.
– Elle va être conjointe à Mercure et Saturne le 12 janvier.
– Sa précédente conjonction planétaire a eu lieu avec Vénus le 13 décembre
Article à ce sujet
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023
– Dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024.
- Son mouvement est direct depuis le 3 octobre (21e CAP) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 janvier 2020 (23e CAP). La prochaine aura lieu du 25 avril au 4 octobre 2020.
- Sa distance au Soleil augmente de 33,952 à 33,957 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 34,919 à 34,939 UA. Elle est passée au périgée le 11 juillet (32,82 UA) ; elle va être à l’apogée le 15 janvier (34,94 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre 2018. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
- En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint un minimum le 19 octobre 2019 : -22°23’. Prochain maximum le 4 avril 2020 (-21°56’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (192) Nausikaa, devant les Gémeaux (Gem), m 10.0, le 9 janvier à 10h56 dans le plan écliptique (20e CAN ; latitude +9°) ; l’opposition dans le plan équatorial a lieu le 12 janvier
– Le 6 janvier, entre 2h33 et 2h41, l’astéroïde (6) Hebe, de magnitude 11.1, devrait occulter une étoile de la constellation de la Vierge (Vir), de magnitude 10.4 : TYC 300-00301-1, ascension droite (J2000) 13h25m, déclinaison +1°49’24". La diminution d’éclat de l’étoile devrait atteindre 1,2 magnitudes et durer 11 secondes au maximum sur la bande de centralité qui le Sud de la France et la Suisse.
De telles observations et mesures effectuées par les astronomes amateurs avertis en différents lieux, même hors de la bande de centralité, permettent de préciser la forme de l’astéroïde et sa distance grâce à la parallaxe.
Voir euraster.net, site pour l’observation des occutations par des astéroïdes.
dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– C/2017 T2 PANSTARRS. Magnitude observée : 9.7, devant Persée (Per) ; son éclat augmente ; elle sera au périhélie le 4 mai ; on l’attend à magnitude 8.
– C/2018 N2 ASASSN. Magnitude observée : 11.7 ; devant Andromède (And). Elle est passée au périgée le 20 octobre (2,2 UA) et au périhélie le 10 novembre ; son éclat diminue lentement.
– Retrouvez ces comètes et les autres comètes observables sur theskylive.com et aerith.net,
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
RAS
– Lune
- Chang’e 4, la Chine sur la face cachée de la Lune
– L’atterrisseur et le rover entrent dans leur 13e nuit lunaire le 3 janvier. Ils détiennent actuellement le record de longévité pour leur travail à la surface de la Lune.
– Mars
– [Mars 2020 de la NASA, successeur de Curiosity, s’apprête à prendre également la route de Mars en 2020 pour étudier la présence de formes de vie passées sur la planète rouge et récolter des échantillons du sol à l’aide de son bras articulé de 2 mètres. Il ne sera pas le seul : le Rosalind Franklin, ex-ExoMars, sera lancé en juillet 2020 par l’Agence Spatiale Européenne et l’entreprise d’état russe Roscosmos si les problèmes de parachutes sont réglés à temps, et la mission chinoise Huoxing 1 lancera son propre rover peu de temps après.
– Soleil
– Parker Solar Probe, article des astronews.
Rappels
– Soleil
– Le lancement de la sonde, Solar Orbiter, de l’Agence spatiale européenne est prévu pour le 6 février ; article
– Mars
– Mars Insight : InSight a détecté plus de 300 « tremblements de Mars ».
– Curiosity, des éléments de réponse au mystère du méthane, en quantités beaucoup plus abondantes au sol -mesures par Curiosity de nuit que mesuré par les sondes en orbite (en anglais)
– Osiris Rex et l’astéroïde Bennu
le site de prélèvement d’échantillons révélé, c’est Nightingale !.
Aussi : Le mystère des éjections de particules de l’astéroïde Bennu élucidé ?
– Hayabusa2 quitte l’astéroïde Ryugu
– Hayabusa2 a entamé le 13 novembre son voyage de retour vers la Terre, son moteur ionique, testé le 2 décembre, fonctionne bien
- New Horizons
– Les mesures du vent solaire effectuées par New Horizons confirment son ralentissement au fur et à mesure de son éloignement et permettent de prédire les limites de l’héliopause - la frontière du système - qui elle-même varie selon l’activité solaire article
– Site de la mission
– Galerie d’images
- VOYAGER 2 dévoile enfin l’espace en dehors du Système solaire, podcast Science et Vie
Site Voyager - NASA.
– Mercure
– BEPI COLOMBO, videos en selfie ; à suivre sur planète-mercure.fr ; twitter ; site de l’ESA ; site du CNES ; article Le Monde
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées : un petit bilan de Rosetta
Liens à suivre pour ne rien rater
– INSU, ESA France, Autour du ciel, Futura-Espace ; Ciel des Hommes
- Astronews du 27 décembre ; 50 ans Apollo et après ; Prix Janssen à H Reeves ; École Chalonge, N. Sanchez ; Les mondes de Saturne ; B. Baillaud et l’UAI ; Pluton, un objet surprenant ; La famille Ariane, quarante ans d’histoire, 250ème lancement ; L’ESA : de grandes décisions à Séville ! ; Parker Solar Probe ; Proba-2, 10 ans à explorer le Soleil ; XMM-Newton, 20 ans dans l’espace ! ; Boeing : Mission à moitié réussie ; L’Univers ne serait pas plat mais sphérique ! ; Cosmologie, Jim Peebles : ne pas dire Big Bang !
Rappels
– La lettre du guide du ciel n°155 (1er décembre 2019) de Guillaume Cannat : la Voie Lactée au Point Sublime (gorges du Tarn)
– La lettre de l’IMCCE de décembre n°163 Ce mois-ci : *Éclipse annulaire de Soleil le 26 décembre 2019 *Le solstice d’hiver *La conjonction de la Lune et de Mars le 23 décembre 2019 *Ciel du mois *Vigie-Ciel à La Villette les 14 et 15 décembre 2019 : venez découvrir les sciences participatives
– Astrosurf magazine numéro 101, novembre-décembre 2019, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie.
– Salomé, enquête d’exoplanètes, la BD d’aventure qui initie à l’astrophysique
– Le ballet subtil des lunes de Neptune
– Présentation de David Antao sur la mesure de l’expansion de l’Univers en amateur depuis le T60 du Pic du Midi
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
Astrologie
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [5], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
[UA<-UA]- Redéfinition de l’Unité Astronomique sur la base de la distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Notez en regard vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] Rotation synodique :
– Article de Jean Meeus ;
– pour la calculer et l’apprécier soi-même, fich tech ici.
– Article sur Carrington, qui l’a découverte
[3] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[4] Pour la même latitude (approximativement), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[5] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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