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Triste anniversaire d’une "drôle de guerre"

2002 - 2012 : dix ans d’épandages aériens (chemtrails) partout en France


mercredi 16 mai 2012, par Claire HENRION

Jeudi 16 mai 2002, une belle journée de mai. Vers 15 heures, je relâche un peu mes activités et regarde par la fenêtre, comme je le fais souvent, car j’aime contempler le ciel. Et là stupéfaction, je vois des traînées d’avions qui quadrillent le ciel. Au moins 6 avions à la fois en permanence qui tracent de longs rubans blancs effilochés Sud-Nord et Est-Ouest.

Atterrée, horrifiée, je n’en crois pas mes yeux, je me pince. Que se passe t-il ? Ils sont en train de nous transformer l’atmosphère en chambre à gaz ? Les mauvais pressentiments que j’ai depuis quelques années et en particulier depuis le 11 septembre 2001, semblent se concrétiser. Le 11 septembre a sonné pour moi comme la déclaration de 3ème guerre mondiale, un montage des États-Unis contre leur propre peuple, formé de tous les peuples de la planète, avec la marionnette, à mes yeux bien grossière, du terrorisme islamique qu’ils s’emploient à exacerber.

En une heure, la température passe d’agréable à trop chaude et l’atmosphère se fait lourde.
Quand je vais chercher les enfants à l’école, j’en parle aux personnes que je rencontre ; certaines s’en sont rendues compte aussi mais personne ne semble outre mesure indigné.

Voilà 10 jours que Monsieur Jean Pïerre Raffarin est entré en fonction au poste de Premier Ministre et on commence à nous enfariner le ciel !

Le lendemain, je rencontre une vieille connaissance, ingénieur et artiste et, à l’époque, prof au lycée de Decazeville, qui a déjà constaté le phénomène lui aussi et étudié la question : il s’agit d’épandages de produits chimiques. A ce moment là (vers midi), il y a quelques avions en train de sillonner le ciel et il me fait remarquer l’épaisseur de l’atmosphère à l’horizon. En raison de mon passé de montagnarde amateur, j’ai déjà l’habitude de la considérer et je constate qu’elle est bien plus chargée que d’habitude.

Jean Pierre Gallo – c’est lui – a fait à cette époque une recherche sur les brevets se rattachant aux chemtrails et publiera en 2003, un document intitulé « Sky War, ATTAQUES CHIMIQUES A REPETITION : La ville de FIGEAC et la région Midi-pyrénées sont-elles devenues un centre d’essais ?? - Danger dans notre ciel !! - La guerre des hommes contre la nature ». Au fond, ce n’est rien d’autre que de cela qu’il s’agit.

Brevets relatifs aux épandages aériens et à la modification du climat
SKYWAR
La guerre des hommes contre la nature - Jean Pierre GALLO - 2003

De mon côté j’appelle la gendarmerie, les services de météo et l’aéroport de Rodez-Marcillac. Tout le monde me répond qu’il n’y a rien d’anormal ; l’écoute des gendarmes est la meilleure des trois sur ce coup. Ma mère, qui a également remarqué le phénomène, écrit à Greenpeace, moi aussi. Nous apprendrons par la suite que nous sommes des dizaines, au moins, a leur avoir envoyé du courrier avec la fin de non-recevoir que l’on a tous essuyé. On dirait, dix ans plus tard, que ça commence tout doucement à changer, à partir de la base en tous cas. Greenpeace et tout un tas d’autres organismes écolos : silence radio.

J’apprends par un monsieur sur le marché – où je n’arrête pas d’en parler et de montrer – qu’il y a eu un entrefilet dans la presse locale annonçant des manœuvres militaires aériennes pour 3 mois... Ça en fait 120 maintenant...

L’été 2002 est particulièrement couvert et pluvieux. Au-dessus de la couche nuageuse, j’entends, quasi en permanence, des avions ronronner. Je balance le message suivant à tous mes contacts.

Eté 2002 - Qui nous asperge ?

L’été 2003 est bien gratiné, on s’en souvient. Il me reste quelques souvenirs marquants de pluies de printemps manifestement empêchées par ces épandages et des chaleurs de l’été, rendues encore plus excessives, toujours par les épandages. Le jour le plus chaud, le 3 août si je ne m’abuse, nous avons eu la bonne idée de monter au Plomb du Cantal en famille ; nous avons souffert un peu moins de la chaleur –qui était pourtant écrasante – que d’autres et pu constater, ayant bivouaqué au pied du sommet, de très importants épandages dès le tout petit matin, dans cette zone, qui n’est pas particulièrement peuplée… J’en ai vu d’autres fois d’importants aussi dans des endroits assez déserts, comme le Causse Méjean.

Le ciel me tombait sur la tête, moi pour qui la nature est tellement essentielle et tellement respectable ! Ayant particulièrement étudié, les années précédentes l’histoire des sciences et des croyances, ainsi que la physiologie, en particulier celle de l’accouchement, cette merveilleuse et irremplaçable école de vraie vie que j’ai eu le bonheur d’expérimenter cinq fois, je comprends vite que l’humanité en arrive là, globalement, à l’apothéose des inepties impérialistes véhiculées par les religions monothéistes. Qu’il est grand temps de réclamer la levée du secret militaire, grâce auquel de telles aberrations monstrueuses sont possibles. Je vois autour de moi des gens charmants qui sont persuadés que l’armée nous protège et ne veulent pas en démordre. Moi, ça me creuse les tripes d’angoisse.

Bien sûr tout le monde me rit au nez, en particulier mes proches les plus proches, c’est à dire mon mari. Je ne perds pas espoir et me dis qu’il n’y a que la voix citoyenne qui pourra avoir raison de cette folie généralisée ; que cette situation ubuesque est due à la démission des individus quant à la conduite de leurs rêves et idéaux de vie. Ils les ont remisés et courbent l’échine, accordant pouvoir et référence à d’autres qu’eux-mêmes, ce qui laisse carte blanche aux plus pourris de la planète, à ceux qui ne connaissent que le mépris et l’arrogance pour se faire valoir, qui ne pensent qu’à écraser le voisin pour bouffer sa part et font grand œuvre d’ignorance.

Eux-mêmes victimes au départ d’un conditionnement culturel (voir ci-après) qui ferme les portes de l’esprit, ils reproduisent aveuglément ce qui a fait le plus de mal à leur vie au départ, selon la logique de la victime qui se transforme en bourreau.

Quel est ce conditionnement culturel dont je veux parler ?

Premièrement il y a les religions monothéistes qui mettent le divin hors de portée, à l’extérieur de la créature, mais aussi tous les autres « –ismes » qui sont des rétrécissements conceptuels : aussi bien l’athéisme, négation du divin que le scientisme qui accorde toute foi à une science laquelle, dixit Merleau Ponty, se fonde sur la « docte ignorance », comme tout courant philosophique ou religieux qui ne veut voir le monde que par sa lorgnette (bien sûr, les meilleurs, qui sont aussi les plus trompeurs, s’en défendent). Au final, n’importe quel courant de pensée a vite fait d’être aliéné par des personnes dévotes de telle ou telle personnalité qui a illustré son courant, fusse à juste titre pourtant en son temps.

J’appelle ça la « gurutisation » et je la combats. C’est un verrou important dans le combat de dénonciation des chemtrails.

Il est important de noter que ce conditionnement culturel affecte, en premier lieu, nos conceptions sur la naissance et l’accouchement, que l’on considère communément aujourd’hui comme un mauvais moment à passer pour avoir son paquet cadeau, comme une douleur à éviter si possible. Tout cela est bien sûr démenti par les études physiologiques et biologiques, menées par le Dr Michel Odent [1], entre autres, et par l’expérience de toutes celles qui décident de ne pas se soumettre aux canons de l’obstétrique et à l’avis du gynécologue-qui-sait-tout. Pour accoucher facilement c’est de sages-femmes qui vous accompagnent et vous transmettent leur connaissance dont on a besoin, non de docteurs qui vous accouchent !

Mettre un être au monde donne la chance d’éprouver sa propre sagesse. Cela est aussi vrai, à sa juste mesure, pour toute autre forme de création.

L’état d’esprit qui préside à cette tendance (celle de s’en remettre au "docteur" et maintenant au "spécialiste obstétricien") est de même ordre que celle qui préside à la géo-ingéniérie : seule l’échelle diffère : l’un agit au niveau des hormones, les humeurs féminines, l’autre au niveau des humeurs de la Terre, ses climats.

Cet état d’esprit, qui s’est répandu comme une traînée de poudre sur toute la planète en peu de siècles [2] prend ses racines dans la malédiction biblique "tu enfanteras dans la douleur" et les injonctions à dominer et asservir la Terre.

Tout cela pour dire que ce conditionnement, que je qualifie de culturel, est imprégné dans nos cellules, dès la naissance. Heureusement, l’étincelle de vie, qui fait qu’on est en vie, ici maintenant, pour se le dire, est là, et bien résistante ! A chaque instant, le « décoin » peut s’opérer, pour n’importe qui. Les chemtrails dans le ciel sont donnés à la vue de tous. Pourquoi si peu les remarquent ? Il y aura des signes dans le ciel, est-il dit dans le livre de l’Apocalypse … Il n’y a jamais de fumée sans feu !

Ne perdons pas de vue que ce « décoin », cette ouverture des yeux et de l’esprit, peut survenir chez tout un chacun et qu’il n’y a pas, dans cette affaire, des méchants qui œuvrent sciemment à la destruction totale et de pauvres gentils que nous sommes !

Certes, il importe d’appréhender et d’enquêter sur les organismes qui promeuvent de telles pratiques, mais il n’y a personne a accuser en personne. Dans ces organismes, comme partout, chacun fait son boulot et personne n’est responsable de rien, ni même au courant ! Il n’en n’était pas autrement des tauliers nazis. Là est le problème. Il s’agit toujours d’une prise de conscience personnelle.

Cela est souvent cité avec la célèbre phrase d’Einstein : « le monde est dangereux, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».

Dans le cas présent, « regardent » est de trop. C’est vraiment ce que beaucoup de gens évitent de faire.
Mais il y a aussi tous les « je ne veux pas savoir », ceux des autres, et les nôtres, qui font qu’on en est là. (Ce qui est bien pour les nôtres, c’est qu’on peut se les corriger !)

Ce qui est sûr, deuxième point important dans ce combat, c’est que c’est en sortant de l’anonymat que l’on va s’en sortir. L’anonymat est le propre des lâches et justement, dans cette affaire, les attaquants sont anonymes, ce qui peut sembler être leur force mais signe en réalité leur faiblesse. Que le citoyen untel ou la citoyenne unetelle dénonce les chemtrails est l’affirmation d’une force dans la société ; l’égrégore qui est en face ne peut que s’amenuiser, s’il ne se dissipe pas du premier coup. Nous sommes infiniment respectables et ne craignons pas d’aller à contre-courant du négationnisme ambiant ; les générations futures nous en sauront reconnaissantes, dans quelques temps.

Sortir de l’anonymat, c’est aussi sortir de cette fameuse et fumeuse conspiration, le piège numéro un tendu aux détracteurs de chemtrails. Si nous ne sommes pas anonymes, nous ne sommes pas dans la conspiration et elle se retourne contre ceux qui ont tendu ou contribué à la tendre –fussent-ils innocents au regard de leurs carcans conceptuels.

Tout passe par le dialogue, avec les personnes individuelles, quelles qu’elles soient, que ce soit le passant dans la rue, David Keith, le Président de la République ou nos proches (et c’est là que c’est le plus difficile d’ailleurs !).

Franchement, je n’osais pas croire arriver à aujourd’hui dans d’aussi bonnes conditions avec un tel tableau de départ. La petite étincelle de vie est bien partout présente, dans la nature et en nous, et elle résiste. Certains fabriquent des orgonites, des obolix, des chembusters [3] pour réharmoniser le chaos dans les ondes, que génèrent, délibérément, les épandages et les manipulations atmosphériques, style HAARP. Ça marche. Et puis l’esprit positif de tous ceux qui s’éveillent à cette réalité et ont décidé de nous sortir de là –jusqu’où et jusqu’à quand ça va tenir ?- est un puissant chembuster, invisible, mais moteur.

A la rentrée scolaire 2002, motivée pour renforcer et développer mes connaissances en astronomie afin de mieux asseoir mes recherches sur les liens entre astronomie et astrologie – de l’école conditionaliste [4] que je pratiquais depuis 1984, je me suis lancée dans un cursus d’études universitaires en astronomie-astrophysique, dispensé par le CNED pour l’Université Paris XI.

Je fis là, la connaissance de Bertrand Duchastel, météorologue, correspondant pour Météo France et ayant lui aussi remarqué les chemtrails. Notre rencontre est à l’origine de cette association (l’ACSEIPICA). Mais cela ne s’est pas fait de suite.

Durant plusieurs années, j’ai saoulé mes contacts internet d’infos sur les chemtrails, HAARP and co, ce qui m’a suscité quelques inimitiés. Le manque de réactivité des gens face à ce problème me fait terriblement angoisser, même si maintenant, l’angoisse, je la gère, beaucoup mieux.

En 2005, comme un « eurêka » me vient le nom et le logo de l’ACSEIPICA en tête d’un seul coup !

En même temps, me revient aussi le souvenir, que des chemtrails, j’en ai vu avant 2002 : c’était au Québec, en décembre 1999, le 27, je crois, le jour même ou la veille de la première des deux terribles tempêtes sur la France. Ce jour là, je vis deux avions laissant derrière eux une traînée épaisse, d’un bout à l’autre du ciel. Horrifiée, j’ai pensé : « ils sont fous ces américains » ; l’après midi, une jeune femme, résidente d’origine française, m’en a parlé et dit son inquiétude. Mais avec tous les remous qui ont suivi, j’ai occulté et le souvenir ne m’en est revenu qu’en 2005.

Revenons à la conception de l’ACSEIPICA :

- Une association de citoyens, qui doit se faire valoir par son sérieux, sa démarche scientifique, sa rationalité, mais aussi son ouverture à toutes les questions et tous les points de vue.
- Une association d’observateurs, dont les témoignages pourront faire foi quand enfin le voile sera levé.
- Une association de personnes souvent isolées dans leur constat au milieu d’un entourage aveugle qui se moque d’eux. Non, nous ne sommes pas fous ! Nous avons les yeux ouverts, c’est tout ! Nous ne nous limitons pas à ce qu’on nous dit qu’il faut croire et ne pas croire, nous jugeons par nous-mêmes. Nous n’excluons aucune hypothèse, nous nous basons sur le constat de ce que nous voyons aujourd’hui en comparaison avec ce que nous pouvions voir avant l’an 2000.

Le logo : en forme de papillon –dont le battement d’aile en Amazonie peut déclencher une tempête à Paris -) et aux couleurs vives et primaires pour lutter contre la grisaille qui nous pend au nez !

Appel pour l’ACSEIPICA
2005-2008

En 2008, après un appel maintes fois réitéré, répond Jacques Cléret, cousin de Bertrand Duchastel : nous fondons l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques le 18 octobre 2008 à la Guette en Beauvais, commune de Paimpont (on ne pouvait pas trouver mieux) en forêt de Brociéliande, chez Alexis Robert, pilier d’une association d’écologie pratique, qui en héberge alors le siège social. Le siège sera transféré à mon domicile en 2010.

Fondation de l’ACSEIPICA
Thème astrologique 4 référentiels

Première grande action en 2009 : après un courrier à tous les organismes écolos de France et de Navarre, nous participons au Klimaforum à Copenhague avec le message suivant

"Les chemtrails et HAARP sont la véritable cause des problèmes climatiques"
version d’origine ; le chinois, le japonais et l’arabe ont été corrigés sur les versions suivantes

C’est l’occasion pour moi de présenter le diaporama "Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croît ?", fruit des recherches que je mène, depuis 1995, sur astronomie et climats et l’évolution de ceux-ci, afin de se donner des billes pour estimer l’impact de la géo-ingéniérie sur le climat et juger du bien fondé du rôle du CO2 dans « le réchauffement climatique »(c’est là que nous découvrirons ce terme de "géo-ingéniérie" (geoengineering) , ainsi que l’ETC Group) .

Depuis le début, l’arnaque me saute aux yeux : ce soit-disant réchauffement climatique dû au CO2, n’est qu’une grande mise en scène pour détourner l’attention sur les effets des stations HAARP et assimilées qui chauffent la ionosphère (laquelle, on ne le dit pas assez souvent, réagit à 300% !) et sont donc la cause n°1 de la fonte de la calotte polaire arctique. Un indice ajoute une puce à mon oreille ( !) : en Antarctique, seule la région où se situe la base américaine, sur laquelle est installé un relais HAARP depuis 1999 voit sa surface englacée diminuer … depuis cette date (voir diaporama). Bref. Quant aux chemtrails, le premier effet sensible est le réchauffement de l’atmosphère locale, et l’assèchement des sols.

Un des trucs les plus rageants est de voir les écolos foncer tête baissée dans cette thèse culpabilisante et s’en faire les promoteurs alors qu’elle n’est que manipulation d’informations sorties de leur contexte global. D’un point de vue scientifique, la dimension astronomique, qui nous donne nos irréductibles repères naturels est leur grande parente pauvre : cela leur passe au-dessus de la tête, c’est le cas de le dire, leurs bonnes intentions, n’englobant pas le contexte global, nous pavent un enfer, pas écolo du tout. Voir le courrier envoyé par l’ACSEIPICA aux mouvements écologistes en 2009, resté sans réponse, hormis le "joker" de Corinne Lepage.

Je dois dire aussi, qu’en me lançant dans l’astronomie, j’espérais rencontrer quelques observateurs avertis du ciel. J’en ai rencontré certes, quelques uns, mais vraiment très peu (et ceux-là sont de l’or !) : les avions n’étant pas la cible d’observation, on se contente, en général, de déplorer un ciel voilé sans chercher à en distinguer la cause. On s’extasie même sur les couchants horriblement artificiellement bariolés tels qu’on n’en voyait, autrefois, que sur les cartes postales que ma mère qualifiaient de "mauvais goût" en raison de leurs couleurs fortement exagérées. Lorsque l’on passe 4 ou 5 heures sous le ciel nocturne et que sans cesse, clignotent plusieurs avions à la fois, on fait attention à ne pas y porter attention. On ne pense pas que tout ce trafic n’est pas seulement civil. Qu’il y a beaucoup de militaire. Comme l’armée, c’est un secret, on ne l’évoque pas. C’est là qu’il me faut doser mes interventions : entre le grand coup de gueule et la résignation à un tel aveuglement, j’essaie de suggérer que ces avions ne sont pas civils –regardez les avec votre télescope ! Que nous pouvons nous assurer de leur altitude pour confirmer ce constat puisque, les astronomes amateurs, eux au moins, savent évaluer la taille d’un objet ou la distance entre deux objets dans le ciel avec le bout de leur doigt. Voir aussi ici.

C’est dans le milieu des astronomes amateurs que j’ai rencontré plusieurs pilotes d’aviation civile qui m’ont tous dit que l’altitude des couloirs aériens civils avait été relevée de 4000 mètres à 8000 mètres en l’an 2000. Or, en-dessous et jusqu’à 2000 mètres, c’est l’espace militaire.

« Guerre non –conventionnelle », c’est le terme employé par ceux qui sont dans le coup, me lâchera un jeune ex-engagé parachutiste en 2003.

Nos enquêtes nous ont appris depuis, que les épandages aériens de produits chimiques ne sont plus maintenant l’affaire des seuls militaires : pendant que ceux-ci épandent aux altitudes moyennes, les courriers et longs courriers des compagnies lowcost épandent à la limite de la stratosphère. Sont-ils sponsorisés, ce qui expliquerait pourquoi le billet est moins cher ?

Si vous prenez l’avion, vous pourrez sans doute constater un écran à 10 000 mètres qui commence, effectivement à limiter l’ensoleillement à la surface. Là encore, tous les faux discours, très scientifiques, sur l’obscurcissement planétaire, évitent soigneusement de considérer ce phénomène, censé ne pas exister et vont inventer de fausses raisons pour l’expliquer.

Pour finir, je voudrais évoquer la rencontre, en 2009 avec Patrick Pasin, le réalisateur de « Bye bye blue sky », qui nous accompagna à Copenhague à la fin de l’année : pour moi très touchante, car il a su me faire parler de choses que je finissais par avoir enterrées à force de ne pas avoir d’écho dans mon entourage proche et formidable car à l’origine du réseau de citoyens et amis de par l’Europe et plus, qui, comme nous, dénoncent les chemtrails et exigent que cela cesse.

Que la lumière soit, heureuse et vive !

Et par bonheur, c’est la cas aujourd’hui, mercredi 16 mai 2012 ! Pas un chemtrail à l’horizon depuis ce matin !

La suite est à peu près relatée par les articles du blog, en remontant au début.

Encore quelques documents :

Chronique d’un scandale quotidien
Sentinelle du ciel au jour le jour du 6 au 30 septembre 2003
Ciel bardé de chemtrails au Pic du Midi de Bigorre
lors de la mission d’une semaine à laquelle j’ai participé en novembre 2006. Je voyais beaucoup d’avions faire demi-tour à la frontière espagnole.
L’hymne des vivants
paroles à chanter et mettre en musique sur l’air du chant des Partisans (comme l’a déjà fait Zebda). Tous styles de musiques possibles. Depuis 2007, j’attends les musiciens motivés ...

Mon CV

Notes

[1voir ses livres, en particulier "L’amour scientifié". Liste ici par exemple

[2la France y est d’ailleurs, pour beaucoup dans l’histoire, mais ceci est un autre sujet, contentons nous de dire que cela nous confère une certaine responsabilité, car il n’est pas question de culpabiliser

[3orgonites, chembusters et obolix, quelques liens : Brochure orgonite de Mara, Orgonite France, Etheric Warriors, Project Obolix

[4et oui, encore un –isme



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