samedi 5 janvier 2019, par
La Lune
– Elle marque les signes de Capricorne à Bélier
– Elle passe de la constellation du Sagittaire (Sgr) à celle des Poissons (Psc)
– Le 6, Nouvelle Lune, éclipse partielle de Soleil, visible Asie, Pacifique ; le 7, nœud descendant ; le 8, premier croissant ; le 9, apogée ; le 10, conjoint Neptune ; le 13, conjoint Mars, passe en déclinaison Sud ; le 14, Premier Quartier, latitude minimale, conjoint Uranus.
En géocentrique
– Le Soleil est dans le signe du Capricorne
– devant la constellation du Sagittaire (Sgr)
– conjoint à Pluton le 11 janvier
– Les planètes :
– Vénus, élongation Ouest maximale le 6, signe Sagittaire le 7, arrive devant la constellation du Scorpion le 9, d’Ophiuchus le 14
– Uranus reprend son mouvement direct le 6
– Mercure, déclinaison minimale le 10, conjoint Saturne le 13
– Pluton, apogée le 13
– En héliocentrique
– Mercure signe Sagittaire le 6, conjoint Jupiter le 8, aphélie le 12
– Vénus signe Vierge le 7
– Des premières en astronautique :
– la sonde New Horizons survole Ultima Thule, premier planétésimal jamais approché
– la Chine pose un robot sur la face cachée de la Lune
– et aussi Voyager 2 franchit l’héliopause, Osiris Rex en orbite autour de l’astéroïde Bennu...
- A 0h44, Mercure entre dans le signe du Sagittaire en héliocentrique.
– Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 22 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– Aux alentours de 2h, maximum attendu de l’essaim météoritique des alpha Hydrides (AHY)
- A 2h42, maximum d’une éclipse partielle de Soleil
, visible depuis le nord-est de l’Asie, le nord de l’Océan Pacifique. Tous les détails ici.
– Belle simulation
– Elle sera suivie, pour la prochaine Pleine Lune, le 21 janvier, d’une éclipse totale de Lune, pour laquelle nous serons particulièrement bien situés : elle aura lieu de 3h37 à 8h48, le maximum à 6h12. Tous les détails
– A 2h44, Lune conjoint Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 19h7m, déclinaison Soleil -22°32’ -monte, Lune -21°30" -monte
– A 5h53, Vénus atteint son élongation maximale à l’Ouest du Soleil
– Aux alentours de 15h (14h TU), soit 12,5 heures environ après la Nouvelle Lune, le croissant primeur de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument juste après le coucher du Soleil depuis le Nord-est de l’Asie et le Nord du Pacifique. Voir les très fins croissants de Lune et visibilité du premier croissant de Lune
– A 19h23, Uranus est stationnaire dans le plan écliptique et reprend son mouvement direct.
- A 0h10, Vénus entre dans le signe de la Vierge en héliocentrique.
– A 1h07, la Lune passe au nœud descendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud. Longitude 296°42’ (27e CAP) ; (ascension droite : 19h54m, déclinaison -20°48’ (monte) ; distance 404 309 kilomètres soit 63,39 rayons terrestres environ .
– L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Cancer/Capricorne depuis le 6 novembre ; il va y rester jusqu’au 5 mai 2020.
– A 1h15, Uranus est stationnaire dans le plan équatorial et reprend son mouvement direct.
– A 12h06, Vénus entre dans le signe du Sagittaire en géocentrique
– A 13h37 Soleil parallèle Saturne (plan équatorial 22°S)
– A 6h18, la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 299°15’ (30e CAP) ; latitude -0°50’, descend.
– A 7h45, la Lune entre dans le signe du Verseau ; Lg 300° à 330° ; sa latitude est alors de -0°18’ -descend.
- Aujourd’hui, l’astéroïde (216) Kleopatra est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– A 11h06, Mercure carré Mars en géocentrique dans le plan écliptique (5e CAP/BEL)
– A 16h11, Mercure conjoint Jupiteren héliocentrique.
- Aux alentours de 18h15, premier croissant de cette lunaison théoriquement visible à l’œil nu : de 2,5%, âgé de 39 heures 45 minutes environ, devant le Capricorne (Cap), il se trouve à 12° de hauteur au-dessus de l’horizon, azimut 227°, une cinquantaine de minutes après le coucher du Soleil, celui-ci étant alors à 8° sous l’horizon. Le coucher de la Lune advient à 19h48 pour notre localisation, soit 1 heure 38 minutes après le Soleil ; longitude écliptique 17e VER.
- De 18h46 à 19h16 pour notre localisation, la Lune occulte l’ étoile 30 Cap (Capricorne, magnitude 5.4. L’étoile disparaît du côté sombre et réapparaît au bord éclairé du fin croissant lunaire puisque nous sommes en Lune croissante. Sa portion éclairée est de 6% ; à la réapparition de l’étoile, les deux astres sont à 4° de hauteur environ.
– A 20h54, la Lune conjoint l’astéroïde (4) Vesta dans le plan écliptique
- Aujourd’hui, la comète C/2018 R5 Lemmon au périhélie
– A 5h30, la Lune à l’apogée : au plus loin de la Terre à 406 117 kilomètres, soit 63,67 rayons terrestres environ ; diamètre apparent : 29,4 minutes d’arc. Longitude 322°31’ (23e VER), latitude -2°18’, descend ; ascension droite 21h42m, déclinaison -16°11’, monte.
– A 13h30, la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 326°30’ (27e VER) ; latitude -3°27’, descend.
– A 14h54, Vénus, arrive devant la constellation du Scorpion (Sco).
– A 20h43, la Lune entre dans le signe des Poissons ; Lg 330° à 0° ; sa latitude est alors de -2°54’ -descend.
- Aujourd’hui, les comètes 239P LINEAR et 374P/2018 S1 Larson au périhélie
– A 17h41 Soleil parallèle Pluton (plan équatorial 21°S)
- De 18h49 à 20h04 pour notre localisation, la Lune occulte l’ étoile 74 Aqr (Verseau, magnitude 5.8. L’étoile disparaît du côté sombre et réapparaît au bord éclairé du croissant de lune puisque nous sommes en Lune croissante. Sa portion éclairée est de 18% ; à la réapparition de l’étoile, les deux astres sont à 15° de hauteur environ.
– A 18h50, Mercure atteint sa déclinaison minimale (Sud -24°8’).
- A 23h20, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan équatorial, la planète 3°6’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 53° Est. Remarquer en début de nuit : la Lune signale la position de Neptune.
- Aujourd’hui, la planète Saturne sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 1h46, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan écliptique, Δ +2°56’ ; longitude 344°18’ (15e POI).
– A 6h44 Soleil parallèle Jupiter (plan équatorial 21°S)
– A 12h39 Soleil conjoint Pluton dans le plan écliptique = Terre opposé Pluton en héliocentrique.
– A 13h06, le Soleil conjoint Pluton dans le plan géo-équatorial.
– A 15h26, Lune sextil Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (22ePOI/CAP)
- Aujourd’hui, la comète C/2018 A3 ATLAS au périhélie
– A 4h16, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 357°5’ (28e POI) ; latitude -5°4’, descend.
– Aux alentours de 6h, remarquer au télescope leslunes de Jupiter.
– A 9h17, la Lune entre dans le signe du Bélier ; Lg 0° à 30° ; sa latitude est alors de -4°44’ -descend.
– A 9h24, Mercure à l’aphélie
- A 20h45, la Lune est conjointe à Mars dans le plan équatorial, la planète 5°20’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 73° Est. Remarquer en début de nuit : les deux astres viennent de passer leur culmination et Mars chapeaute la Lune.
– A 20h48, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 5°7’ (6e BEL) ; latitude -5°22’, descend.
- Aujourd’hui, l’astéroïde (24) Themis est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– Aujourd’hui, les comètes (37117) Narcissus et 171P Spahr au périhélie
– A 1h11, la Lune est conjointe à Mars dans le plan écliptique, Δ -4°48’ ; longitude 8°1’ (9e BEL).
– A 8h51, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Nord : : déclinaison 0° ; ascension droite 0h51m. Longitude écliptique 11°56’ (12e BEL), latitude -5°7’, descend.
– A 11h41, Mercure conjoint Saturne dans le plan géo-équatorial.
– A 14h30, Mercure conjoint Saturne dans le plan géo-écliptique
– A 20h02, Jupiter carré Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e SAG/POI)
– A 20h25, Pluton atteint son apogée
- L’étoile Procyon (alpha du Petit Chien) culmine au minuit vrai exactement (1h00 pour notre localisation).
Aujourd’hui, 1er jour de l’an 2019 dans le calendrier Julien
– Aujourd’hui, l’astéroïde (704) Interamnia est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– A 3h01, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 20°34’ (21e BEL) ; latitude -5°41’, descend.
– A 5h57 Jupiter parallèle Pluton (plan équatorial 21°S)
– A 11h34, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 1h / 19h43mp, déclinaison Soleil -21°18’ -monte, Lune +5°1’ -monte
– A 11h46, Vénus, arrive devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph).
– Aux alentours de 13h, la Lune atteint sa libration maximale en latitude (B= +6,8°) : elle présente son Nord au maximum.
– A 13h26, la Lune atteint sa latitude minimale : -5°18’6" au Sud du plan de l’écliptique ("ventre du Dragon") ; longitude : 26°47’ (27e BEL) ; ascension droite 1h47m, déclinaison +5°22’ -monte ; distance : 61,40 rayons terrestres soit environ 391 646 kilomètres. Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à l’axe des nœuds (il est rétrograde, en Bélier/Balance du 6 novembre 2018 au 4 mai 2020
- A 13h27, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan équatorial, la planète 5°6’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 93° Ouest. Les deux astres culminent en début de nuit ; Uranus coiffe la Lune. Ils se couchent aux alentours de 2h.
– A 14h15, Mercure sextil Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e CAP/POI)
– A 16h55, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan écliptique, Δ -4°46’ ; longitude 28°37’ (29e BEL).
– A 19h30, la Lune entre dans le signe du Taureau ; Lg 30° à 60° ; sa latitude est alors de -5°17’ -monte.
- Ce soir, sur la Lune proche de sa libration maximale en latitude apprécier le lever du Soleil sur la mer des Pluies.
– Le 15, aux alentours de 0h, maximum attendu de l’essaim météoritique des xi Coronae Borealides (XCB)
- devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 18 décembre au 20 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap)
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er novembre 2018, 0h TU (9e SCO) au 5 mai 2019, 0h TU (15e TAU) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er novembre.
– Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) = la Terre est dans le signe du Cancer en héliocentrique, du 21 décembre, 23h08 (22h08 UTC), au 20 janvier, 9h45 (8h45 UTC).
signe du Capricorne
Nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud (-) reçoit beaucoup plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais il en perd un peu chaque jour (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) en reçoit beaucoup moins (F) que le Sud mais il en regagne un peu chaque jour (v).
– Nous avons Sud (-) majoritaire (F) / Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) / croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
– Il est conjoint à Pluton le 11 janvier à 12h39 (en coordonnées moyennes de la date) dans le plan écliptique, à la longitude 290°57’ (21e CAP) ; latitude Pluton -0°7’ (descend). C’est l’ opposition Terre-Pluton en héliocentrique soit un alignement Terre-Soleil-Pluton. La conjonction dans le plan géo-équatorial a lieu à 13h06, Saturne 0°7’ au Sud ; ascension droite 19h30m, déclinaison Soleil -21°48’ -monte, Pluton -21°55’ -monte : les deux astres sont en parallèle de déclinaison. Le Soleil occulte Pluton et Pluton atteint son apogée le 13 janvier à 20h25
– L’équation de temps était nulle le 25 décembre. Le midi vrai a lieu de plus en plus tard par rapport au midi moyen. Elle a atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre et atteindra son premier maximum positif le 17 février (+14m14s).
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Le 14 janvier, 1er jour de l’an du calendrier Julien, qui fut instauré par Jules César et fut en vigueur jusqu’à la réforme grégorienne en 1582. A ne pas confondre avec les jours juliens qui permettent de s’y retrouver dans ce dédale (système de datation consistant à compter le nombre de jours et fraction de jour écoulés depuis une date conventionnelle fixée au 1er janvier -4712 à 12 heures). A 12h, ce jour (14 janvier 2019 du calendrier grégorien), débute le jour julien 2 458 498.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [2] : l’amas globulaire Messier 22 du 23 décembre au 6 janvier ; la planète Saturne du 24 décembre au 11 janvier.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais). Elle est faible : en 2018, au total 222 jours sans tache. Au 3 janvier, une petite tache attardée du cycle 24 apparue le 1er janvier.
page spéciale PGJ en français
– Le 7 janvier à 0h10, Vénus entre dans le signe de la Vierge (longitude 150° à 180°) ; sa latitude est alors de +3°14’ (monte). Elle reste dans ce signe jusqu’au 25 janvier.
– Le 8 janvier à 16h11, Mercure conjoint Jupiter ; longitude 247°21’ (7e SAG) ; latitude Mercure -2°16’ (descend), Jupiter +0°42’ (descend).
– Le 11 janvier à 12h39, Terre opposé Pluton ; longitude 110°/290°57’ - 21e CAN/CAP) ; latitude Pluton -0°7’ (descend) ; c’est la conjonction Soleil-Pluton en géocentrique.
– Le 12 janvier à 9h24, Mercure à l’aphélie : au plus loin du Soleil à 0,466 704 UA soit 69,818 millions de kilomètres environ ; longitude écliptique 257°34’ (18e SAG - invariable, si ce n’est l’avance de 1°33’23" par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude -3°24’ (descend) ; en géocentrique, sa longitude est de 274°50’ (5e CAP, variable) ; sa latitude -0°44’ (descend). Prochain périhélie le 25 février (0,307 UA).
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h24 le 6 janvier et à 17h33 le 14. Il se lève à 8h29 le 6 janvier et à 8h27 le 14.
Correction en longitude [3]
– A notre latitude, la durée du jour augmente de 9 minutes le soir et 2 le matin ; au total, elle augmente de 11 minutes en 8 jours (7 minutes en 7 jours la semaine dernière) ; elle se décale toujours vers le soir en raison de l’équation de temps : en effet le Soleil culmine de plus en plus tard jusqu’au 11 février.
– C’est pourquoi nous assistons aux levers du Soleil les plus tardifs de l’année dans l’hémisphère Nord :
– à 40° de latitude Nord, du 31 décembre au 10 janvier à 8h22
– à 45°, du 28 décembre au 8 janvier à 8h38
– à 50°, le 31 décembre et le 1er janvier à 8h59.
La Lune :
– La Nouvelle Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près en même temps que le Soleil.
– Le premier croissant est théoriquement visible le 8 janvier au soir à l’œil nu.
– Au fil des jours, en croissant de plus en plus gros, elle culmine dans l’après-midi et se couche en première moitié de nuit, chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
– La lumière zodiacale est possible à voir en début de nuit, avant même la fin du crépuscule astronomique, au Sud-Ouest devant le Capricorne (Cap) et le Verseau (Aqr), pointant vers Mars et en fin de nuit du 4 au 18 janvier, au Sud-est devant le Scorpion (Sco) et la Balance (Lib). En savoir plus sur la lumière zodiacale.
1h00 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– L’ étoile Procyon (alpha du Petit Chien -CMi) passe au méridien Sud à minuit -vrai le 14 janvier (1h00 heure légale pour notre localisation). Pour la latitude terrestre 45° Nord, sa hauteur de culmination est de 50°
– le 6 janvier, aux alentours de 5h, maximum attendu des alpha Hydrides (AHY)
– le 15 janvier, aux alentours de 0h, maximum attendu des xi Coronae Borealides (XCB), radiant Couronne Boréale (CrB)
– Encore des Quadrantides (QUA) radiant Bouvier (Boo), actif du 28 décembre au 12 janvier, maximum le 4 janvier
Noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
- Elle se couche aux alentours de 22h10.
Conjointe à la Lune le 10 janvier
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre
, à l’opposition du Soleil le 7 septembre. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 4 février.
– Élongation 59° à 51° Est ; Magnitude 8.0 ; diamètre apparent 2,2 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,938 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,553 UA le 14 janvier, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars 2019 (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle remonte : elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 22 septembre : -1°0’. Prochain maxima le 19 février 2019 (-0°57’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin (-5°23’).
– Elle culmine aux alentours de 17h55, maintenant à près de 50° de hauteur, et se couche aux alentours de 0h08. Élongation 78° à 75° Est.
Conjointe à la Lune le 13 janvier
3 décembre (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
– Son diamètre apparent, 7 secondes d’arc environ, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +0.5 à +0.6. Elle va rester visible à l’œil nu jusqu’en avril.
– Elle a dépassé Neptune le 7 décembre et sera conjointe à Uranus le 13 février.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre dans le plan écliptique et le 9 octobre dans le plan équatorial. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation des Poissons (Psc) du 21 décembre au 13 février. Elle arrivera alors devant la constellation du Bélier (Ari).
– Ci-contre son parcours du 1er mai 2018 au 22 juin 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er mai 2018)
– Elle est dans le signe du Bélier (longitude 0° à 30°) du 1er janvier au 14 février. Elle entrera alors dans le signe du Taureau.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 11 décembre au 2 février.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,460 à 1,470 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019 (2,675 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 1,304 à 1,374 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). Elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Sud depuis le 16 mars 2018 (nœud descendant), elle a atteint sa latitude géocentrique minimale le 4 août (-6°35’) et sa latitude héliocentrique minimale le 20 août (-1°50’). Elle monte et va passer en latitude Nord (nœud ascendant) le 15 janvier.
– En déclinaison Nord depuis le 2 janvier, elle monte. Elle va rester en déclinaison Nord jusqu’au 7 octobre ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) du 18 avril au 14 juin et atteindra son maximum le 17 mai à +24°33’.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
- Elle culmine aux alentours de 19h15 et se couche aux alentours de 2h00.
– Son élongation passe de 103° à 95° Est. Magnitude 5.8 ; diamètre apparent 3,5 secondes d’arc.
Conjointe à la Lune le 14 janvier
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 23 octobre
.
– Elle sera en quadrature Est le 19 janvier, conjointe au Soleil le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet et à l’opposition le 28 octobre 2019.
- Elle reprend son mouvement direct le 6 janvier à 19h23 dans le plan écliptique à la longitude 28°34’14" (29e BEL), latitude -0°31’ (monte) et le 7 janvier à 1h15 dans le plan équatorial (ascension droite 1h47m5s, déclinaison +10°28’ -monte) (coordonnées moyennes de la date). Elle était rétrograde depuis le 7 août 2018 (3e TAU). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril et entamera la prochaine le 11 août 2019 (7e TAU).
– Elle est devant la constellation des Poissons (Psc) du 3 décembre au 6 février ; elle y reprend son mouvement direct le 6 janvier. Elle était aupavant devant le Bélier depuis le 27 avril. Elle y restera ensuite jusqu’au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,861 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 19,654 UA le 14 janvier. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril 2019 (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations. Actuellement elle monte depuis le 5 janvier (minimum à +10°32’) ; précédent maximum le 6 août (+11°50’). Prochain maximum le 10 août 2019 (+13°15’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
– Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre et atteint son élongation maximale le 6 janvier à 5h53 : 46°57’22" à l’Ouest du Soleil ; longitude 238°42’ (29e SCO) ; latitude +3°26’ (descend).
– Elle se lève aux environs de 4h50.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa portion éclairée augmente de 50% à 54% ; son diamètre apparent, 23 secondes d’arc le 14 janvier, diminue ; son éclat : magnitude -4.4, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 22 août 2018 au 1er mai 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 22 août 2018.
– Devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 13 décembre, elle arrive devant le Scorpion (Sco) le 9 janvier à 14h54 ; longitude 242°11’ (3e SAG), latitude +3°24’ (descend). Elle reste devant cette constellation jusqu’au 14 janvier. Elle arrive alors devant Ophiuchus (Oph), à 11h46 ; longitude 247°19’ (8e SAG), latitude +3°17’ (descend). Elle reste devant cette constellation jusqu’au 31 janvier. Elle arrive alors devant le Sagittaire (Sgr)
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre 2018.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) depuis le 2 décembre, elle entre dans celui du Sagittaire (longitude 240° à 270°) le 7 janvier à 12h06 ; longitude 240°, latitude +3°25’, descend ; elle reste dans ce signe jusqu’au 3 février.
– En héliocentrique, elle signe Lion du 19 décembre au 6 janvier, puis Vierge jusqu’au 25 janvier.
– Sa distance au Soleil : 0,719 UA augmente depuis son périhélie le 26 décembre (0,718 UA). Prochain aphélie le 17 avril (0,728 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,673 à 0,735 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale en géocentrique le 3 janvier. Elle l’atteindra le 17 janvier en héliocentrique ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, puis un maximum le 28 novembre (-9°49’) ; elle redescend maintenant jusqu’à un minimum de -21°11’.le 10 février. Elle passera en déclinaison Nord le 23 avril.
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 novembre.
– Et a été par trois fois conjointe à Mercure : le 29 octobre, le 27 novembre, avec le Soleil et le 21 décembre, avec Antarès.
– Son élongation passe de 32° à 38° Ouest.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin. Précédente le 9 mai 2018.
- Le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites redeviennent observables :
– le 12 janvier, aux alentours de 6h, Io, Europe et Ganymède forment un triangle à l’Est de la planète tandis que Callisto pointe le pôle Sud
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,346 UA le 14 janvier diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 6,151 à 6,070 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin 2019 (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 25 avril (+1°16’) ; prochain minimum le 3 février 2019 (+0°37’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Elle se lève 53 minutes avant le Soleil le 6 janvier et 28 minutes avant lui le 14. Elle s’efface dans le ciel du matin, tout en rejoignant Saturne, à laquelle elle est conjointe le 13 janvier. Sa magnitude passe de -0.5 à -0.1.
– Son élongation passe de 14° à 10° Ouest. Elle a atteint son élongation maximale le 15 décembre et va être en conjonction supérieure le 30 janvier ; sa prochaine conjonction inférieure aura lieu le 15 mars. La précédente date du 27 novembre.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 93% à 97%
– Son diamètre apparent, inférieur à 5 secondes d’arc, diminue.
- Son mouvement est direct du 6 décembre (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 1er octobre 2018 au 25 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2018.
– Elle est conjointe à Saturne le 13 janvier à 11h41 dans le plan équatorial, Mercure 1°13’ au Sud ; élongation solaire de Jupiter 10° Ouest ; à 14h30 dans le plan écliptique, à la longitude 282°52’ (13e CAP), ∆ -1°13’. Les deux planètes se lèvent juste avant le Soleil ; elles sont invisibles.
– Devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 2 janvier au 24 janvier ; elle arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
– Dans le signe du Capricorne (Lg 270° à 300°) du 5 janvier au 24 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire du 5 au 16 janvier.
– En latitude Sud depuis le 2 janvier (nœud descendant). Elle atteindra sa latitude minimale le 29 janvier en géocentrique (-2°4’) et le 2 février en héliocentrique (-7°0’). Elle sera à son noeud ascendant le 20 février.
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle a atteint un minimum le 12 novembre (-24°49’ -hors limites zodiacales (-23°26’13") du 2 au 20 novembre) ; puis un maximum le 7 décembre (-16°54’)
– Elle est hors limites zodiacales du 2 au 18 janvier et atteint un minimum le 10 janvier à 18h50 :-24°8’53" (Sud) ; ascension droite 18h37m ; longitude 278°50’ -9e CAP, latitude -0°59’ -descend.
– Elle passera en déclinaison Nord le 20 février.
– Distance au Soleil : elle atteint son aphélie le 12 janvier à 9h24 : au plus loin du Soleil à 0,466 704 UA soit 69,818 millions de kilomètres environ. Elle s’en rapproche ensuite jusqu’à son prochain périhélie le 25 février (0,307 UA) ; périhélie précédent le 29 novembre.
– Sa distance à la Terre : 1,348 à 1,403 UA, augmente depuis son périgée le 27 novembre (0,678 UA) ; prochain apogée le 22 janvier (1,422 UA).
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 2 janvier
. Elle est dans le champ du coronographe Lasco C3 depuis le 24 décembre et en sort le 11 janvier.
– Son élongation passe de 3° à 10° Ouest.
– Elle va réapparaître dans le ciel de l’aube le 20 janvier.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 9 juillet 2019. La dernière date du 27 juin 2018.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +25,5° à +24,8° en janvier .
– Élongation maximale de Titan à l’Est le 8 janvier à 8h29
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril.
– Sa distance au Soleil (10,060 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril dernier. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Sa distance à la Terre diminue, de 11,041à 11,024 UA ; elle est passée à l’apogée le 2 janvier (9,048 UA) ; prochain périgée le 10 juillet (9,032 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations ; elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
– Conjointe au Soleil le 11 janvier, elle est inobservable.
– Elle atteint son apogée le 13 janvier.
– Sa dernière opposition au Soleil a eu lieu le 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 21 janvier.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,715 à 33,720 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Elle atteint son apogée le 13 janvier à 20h25 : au plus loin de la Terre à 34,702 925 UA soit 5,1915 milliards de kilomètres environ ; (longitude 291°2’ -22e CAP ; latitude -0°7’ -descend). Son diamètre apparent n’est que de 0,12 secondes d’arc. Cela est lié à sa conjonction au Soleil le 11 janvier. A partir de là, sa distance à la Terre diminue jusqu’à son prochain périgée, le 11 juillet (32,82 UA) ; périgée précédent le 10 juillet 2018 (32,58 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (216) Kleopatra, m 10.6, le 8 janvier dans le plan équatorial ; devant le Grand Chien (CMi), à la limite de la Licorne (Mon).
– (24) Themis, m 10.7, le 13 janvier dans le plan équatorial ; devant les Gémeaux (Gem).
– (704) Interamnia, m 10.2, le 14 janvier dans le plan équatorial ; devant les Gémeaux (Gem).
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 4 janvier : 5.5, donc visible à l’œil nu sous un bon ciel. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle est devant le Lynx (Lyn) et se dirige vers la Grande Ourse (UMa), circumpolaire à nos latitudes (ne se couche pas) elle culmine aux alentours de 1h30 à 75° de hauteur ; pour la suivre en temps réel.
– 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 4 janvier : 9.2, devant le Bélier (Ari), elle culmine aux alentours de 22h00 et se couche aux alentours de 6h00. Elle est passée au périhélie le 3 novembre ; la suivre en temps réel.
- C/2018 L2 ATLAS : magnitude observée le 4 janvier : 9.3 ; elle est passée au périhélie le 2 décembre. Devant la Flèche (Sag) puis le Petit Renard (Vul)), elle se couche aux alentours de 21h20 ; la suivre en temps réel.
- 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 4 janvier : 10.2, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre. Devant le Lynx (Lyn), elle culmine aux alentours de 3h30 ; la suivre en temps réel.
- C/2016 R2 PANSTARRS : magnitude observée le 4 janvier : 10.7, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 9 mai 2018. Devant le Bouvier (Boo), elle se lève aux alentours de 0h30 ; la suivre en temps réel.
- C/2018 Y1 Iwamoto : magnitude observée le 4 janvier : 10.7 ; elle va passer au périhélie le 4 février. Devant le l’Hydre (Hya), elle se lève aux alentours de 4h50 ; la suivre en temps réel.
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– sur theskylive.com
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 9 janvier, C/2018 R5 Lemmon, magnitude 20
– le 10 janvier, 239P LINEAR, magnitude 18 et
– 374P/2018 S1 Larson, magnitude 19
– le 12 janvier, C/2018 A3 ATLAS, magnitude 15
– le 13 janvier, (37117) Narcissus, magnitude 18 et
– 171P Spahr, magnitude 17
– La sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, vient de survoler Ultima Thule comme prévu le 1er janvier.
C’est une première : jamais encore une sonde n’avait pu traqué un de ces si petits corps aussi lointains.
– Initialement nommé 2014 MU69, ce petit objet transneptunien, que l’on estime vieux de 4 milliards d’années, s’avère être un planétésimal, c’est à dire une brique d’origine des planètes. Ce type d’objet n’a pu être conservé dans le système solaire que dans ses confins lointains et c’est le premier qu’il nous est donné à voir. En ce qui concerne Ultima Thulé, il s’agit en fait de deux planétésimaux soudés l’un à l’autre. C’est une relique de la genèse des planètes.
Les scientifiques de la mission pensent qu’Ultima Thule s’est formée par accrétion. Un nuage de petits planétésimaux se sont réunis sous l’effet de leur gravité commune et ont formé deux corps sphériques, des planétésimaux de taille moyenne qui se sont lentement collés entre eux.
– Ce n’est que le début des révélations sur Ultima Thule. Les premières images ont une résolution de 140 mètres par pixel. Celles qui doivent arriver dans les jours et semaines à venir seront au moins 5 fois plus précises et pourront révéler des détails de sa topographie.
– A suivre sur le site de la mission
– galerie d’images
– Voir aussi astronews
– La Chine sur la face cachée de la Lune
– Et une autre première, le 3 janvier à 10h26, heure de Pékin : le rover chinois Chang’e 4 s’est posé avec succès sur la face cachée de la Lune, dans le bassin Pôle Sud-Aitken, le plus grand, profond et ancien cratère du système solaire.
– Voir notre article précédent
– Ce rover sera le premier à explorer un cratère de la face cachée, à en sonder le sol avec un radar et à mesurer sa composition minérale avec un spectromètre infrarouge. S’il y a de l’eau, il pourra la détecter.
– Les premières images de l’atterrissage ont été relayées à la Terre par le satellite Queqiao que la Chine a lancé spécialement à cet effet le 21 mai 2018. Voilà ce à quoi ressemble le bassin Pôle Sud-Aitken.
L’atterrissage fut remarquable. Le contrôle de la mission n’ayant pas de contact direct avec la face cachée, l’atterrisseur a dû faire des manœuvres complexes de manière autonome. Lors de sa descente, à environ 2 kilomètres du sol, les cameras à bord ont capturé les ombres d’objets sur la surface lunaire, identifiant les gros obstacles, comme rochers et cratères afin de pouvoir les éviter. A 100 mètres, la sonde a stationné pour identifier des obstacles plus petits et mesurer les pentes à la surface. Son ordinateur a calculé de nouveau et a sélectionné le site le plus sûr. A 2 mètres de la surface, le moteur s’est arrêté. Puis l’atterrisseur en or coiffé du rover en cuivre a touché de ses quatre jambes l’immense étendue grise en soulevant un peu de poussière. La sonde a accompli le processus complet d’atterrissage en 12 minutes sans intervention du contrôle terrestre.
– Voir aussi astronews
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire : voir notre article précédent. Suivre sur le site Voyager - NASA. Source
– Voir aussi astronews
Osiris Rex et l’astéroïde Bennu
– Osiris Rex vient de se mettre en orbite autour de l’astéroïde Bennu ce 31 Décembre 2018. Voir astronews
– Mars
– Insight, arrivée sur Mars réussie
– autres missions : Mars Express ; 15 ans en orbite
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS, en orbite, fin de l’aérofreinage, la mission scientifique débute
– Mercure
– Lancement réussi de BEPI COLOMBO le 19-20 Octobre 2018 de Kourou avec une fusée Ariane 5. Dernières nouvelles sur les Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles : HAYABUSA 2 : MASCOT a rejoint ses deux collègues rovers
- Jupiter
– JUNO, dernières images de Jupiter
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Fin de la mission Kepler en novembre
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
– Astronews du 3 janvier ; au sommaire : - La spectroscopie ; New Horizons, l’ultime KBO a été survolé ; New Horizons, Pluton, Charon le retour ; Chang’e-4, le grand jour est arrivé ; Voyager 2 entre enfin dans l’espace interstellaire ; Osiris-Rex, en orbite autour de Bennu ; Astéroïde, un Hippo pour Noël sinon rien ! ; JUNO, pendant ce temps, on continue
– La lettre de l’IMCCE de janvier n° 152 : *passage de la Terre au périhélie *l’éclipse partielle de Soleil du 5-6 janvier *l’éclipse totale de Lune du 21 janvier *Observer le ciel en janvier 2019 : la comète 46P Wirtanen *rapprochement d’Eros avec la Terre le 15 janvier *le bolide du 22 décembre
– La lettre du guide du ciel n°143. (1er janvier 2019) de Guillaume Cannat : départ pour le Kenya
– Astrosurf magazine numéro 96, janvier-février 2019, une revue d’astronomie pratique qui ne manque ni de technicité, ni de poésie et de profondeur. Sommaire.
Rappels
– Excellent site japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
- L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [4], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait et fiche vierge correspondante pour noter vos observations de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[3] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[4] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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