lundi 11 février 2019, par
La Lune
– Elle marque les signes de Taureau à Vierge (1er degré)
– Elle passe de la constellation du Taureau (Tau) à celle du Lion (Leo)
– Le 12, Premier Quartier ; le 13, conjoint Pléiades ; le 14, Aldébaran ; le 16, déclinaison maximale ; le 17, conjoint Pollux, nœud ascendant ; le 18, conjoint amas de la Crèche ; le 19, périgée, conjoint Régulus, Pleine Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation du Capricorne (Cap) jusqu’au 16, 18h26, puis Verseau (Aqr)
– dans le signe du Verseau, jusqu’au 18, 23h50, puis Poissons
– Les planètes :
– Mars arrive devant la constellation du Bélier et conjoint Uranus le 13, signe Taureau le 14
– Vénus conjoint Saturne le 18
– Mercure arrive devant la constellation du Verseau le 8 et signe Poissons le 10
– Neptune latitude maximale et Mercure conjoint le 19
– En héliocentrique
– Vénus signe Scorpion le 13, opposé Uranus le 14
– Mercure signe Taureau et conjoint Uranus le 17, opposé Vénus le 19
– Dernières nouvelles astronautiques
- A 0h45, la Lune arrive devant la constellation du Bélier (Ari) ; longitude 41°42’ (12e TAU) ; latitude -5°3’, monte.
– Aujourd’hui, l’astéroïde (532) Herculina est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– Aujourd’hui, la comète C/2018 Y1 Iwamoto au périhélie
– A 12h39 Mercure contre-parallèle Mars (plan équatorial 11°S/N)
– A 18h23 Lune contre-parallèle Soleil (plan équatorial 13° N/S)
– A 21h40, la Lune arrive devant la constellation du Taureau (Tau) ; longitude 52°24’ (23e TAU) ; latitude -4°42’, monte.
- Ce soir, sur la Lune proche de sa libration minimale en longitude apprécier le lever de soleil sur les cratères proches du terminateur, en particulier Ptolémée.
– Lune carré Soleil le 13 février à 6h25, dans le plan équatorial ; ascension droite 3h / 21h46m, déclinaison Soleil -13°26’ -monte, Lune +15°17’ -monte
- A 2h05, Vénus entre dans le signe du Scorpion en héliocentrique.
– Aux alentours de 4h, la Lune atteint sa libration minimale en longitude (L= -7,7°) : elle présente son Ouest au maximum.
– A 4h51, Mars arrive devant la constellation du Bélier (mouvement direct).
– Aux alentours de 5h, début de la 2214 ème rotation synodique du Soleil
– A partir de ce matin et jusqu’au 24 février, Vénus et Saturne sont visibles dans un même champ de jumelles
– A 7h17, Mars conjoint Uranus dans le plan géo-écliptique
- A 7h22, la Lune est conjointe aux Pléiades dans le plan équatorial, l’amas ouvert (Messier 45) 8°45’ au Nord. L’ensemble culmine aux alentours de 19h, à près de 70 degrés de hauteur pour les Pléiades, et se couche aux alentours de 3h. De la nuit du 12-13 à celle du 13-14, apprécier le pas journalier de la Lune par rapport aux Sept Sœurs.
– A 10h31, la Lune entre dans le signe des Gémeaux ; Lg 60° à 90° ; sa latitude est alors de -4°22’ -monte.
– A 10h46 Mercure contre-parallèle Uranus (plan équatorial 10°S/N)
– A 10h47, la Lune est conjointe aux Pléiades dans le plan écliptique, ∆ -8°27’. L’ amas des Pléiades marque, de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 1er degré du signe des Gémeaux (longitude moyenne de la date du centre de l’amas : 60°9’28").
– A 11h58, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique
– A 21h10, Mars conjoint Uranus dans le plan géo-équatorial.
- A 4h32, la Lune est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau ; m 0.85) dans le plan écliptique l’étoile 1°40’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) 70°3’38".
– Aldébaran marque depuis octobre 2014, le 11e degré du signe des Gémeaux (rappelons qu’en raison de la précession des équinoxes, la longitude écliptique des étoiles augmente d’un degré tous les 72 ans).
– Les deux astres culminent aux alentours de 20h et se couchent aux alentours de 3h. Au cours de la nuit précédente et celle-ci, suivre la Lune entre les Pléiades et l’œil du Taureau.
– A 4h55, Vénus opposé Uranus en héliocentrique.
– A 4h57, la Lune est conjointe à Aldébaran dans le plan équatorial, ∆ +1°42’.
– A 11h28, Mars entre dans le signe du Taureau en géocentrique - Lg 30° (mouvement direct)
– A 21h57, Lune opposé Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (20e GEM/SAG)
- A 8h50, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (27e GEM/VER)
– A 11h19, la Lune arrive devant la constellation d’Orion (Ori) ; longitude 87°48’ (28e GEM) ; latitude -2°30’, monte.
– A 15h02, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de -2°20’ -monte.
– A 23h31, la Lune arrive devant la constellation des Gémeaux (Gem) ; longitude 95°2’ (6e CAN) ; latitude -1°55’, monte.
- Aujourd’hui, la comète 149P Mueller 4 au périhélie
– A 9h03 Soleil contre-parallèle Mars (plan équatorial 12°S/N)
– A 10h56, la Lune atteint sa déclinaison maximale : +21°35’19" (Nord) par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 6h51m ; longitude écliptique 101°54’ (12e CAN), latitude -1°19’ (monte). Elle culmine au plus haut dans l’hémisphère Nord, à 66° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 22h30.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
– A 15h25, Lune opposé Vénus en géocentrique dans le plan écliptique (15e CAN/CAP)
– A 18h26, le Soleil arrive devant la constellation du Verseau (Aqr).
– A 18h41, Lune opposé Saturne en géocentrique dans le plan écliptique (17e CAN/CAP)
– A 19h57, le Soleil est à 22h d’ascension droite
- Aujourd’hui, l’astéroïde (129) Antigone est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– Aujourd’hui, la comète D/1895 Q1 Swift au périhélie
– A 3h40, Lune opposé Pluton en géocentrique dans le plan écliptique (23e CAN/CAP)
- A 5h51, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.1) dans le plan écliptique, l’étoile 6°59’ au Nord ; longitude (moyenne de la date) 113°29’1" (elle marque, de nos jours, le 24e degré du signe du Cancer). Les deux astres culminent aux alentours de 23h, Pollux étant à 70° de hauteur environ ; ils se couchent aux alentours de 7h..
– A 7h51, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, ∆ -6°57’.
– A 9h46, Vénus sextil Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (16e CAP/POI)
– A 10h42, la Lune passe au nœud ascendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Nord. Longitude 116°29’ (27e CAN) ; (ascension droite : 7h54m, déclinaison +20°51’ (descend) ; distance 360 518 kilomètres soit 56,52 rayons terrestres environ.
– L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Cancer/Capricorne depuis le 6 novembre 2018 ; il va y rester jusqu’au 5 mai 2020.
– A 12h38, Mercure entre dans le signe du Taureau en héliocentrique.
– A 13h30, la Lune arrive devant la constellation du Cancer (Cnc) ; longitude 118°13’ (29e CAN) ; latitude +0°9’, monte.
– A 16h20, la Lune entre dans le signe du Lion ; Lg 120° à 150° ; sa latitude est alors de +0°19’ -monte.
– A 20h27, Mercure conjoint Uranus en héliocentrique.
- A 4h20, la Lune, est conjointe à l’amas de la Crèche (ou amas de la Ruche -Messier 44 ; m 3.1) dans le plan écliptique, l’amas ouvert 0°15’ au Nord ; longitude du centre de l’amas 127°37’21". Cet amas, visible à l’œil nu par un bon ciel (sans Lune) sous la forme d’une tache floue et facilement visible aux jumelles, se niche dans la constellation du Cancer et marque de nos jours le 8e degré du signe du Lion. Dans notre ciel, les deux astres culminent aux alentours de 23h40 et se couchent aux alentours de 7h. Dans l’éclat de la Lune quasi pleine, l’amas est totalement noyé.
– A 4h36, la Lune est conjointe à l’amas de la Crèche dans le plan équatorial Δ -0°16’.
– Ce matin, Vénus est à 0,1° de l’étoile pi Sgr
– A 8h56, Soleil sextil Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (30e VER/BEL)
– A 11h51, Vénus conjoint Saturne dans le plan géo-écliptique
– A 13h07 Mercure parallèle Neptune (plan équatorial 6°S)
– A 14h52, Vénus conjoint Saturne dans le plan géo-équatorial.
– Ce soir, Uranus frôle une étoile de magnitude 9.9
– A 20h28, la Lune arrive devant la constellation du Lion (Leo) ; longitude 137°43’ (18e LIO) ; latitude +1°53’, monte.
– A 23h50, le Soleil entre dans le signe des Poissons = la Terre entre dans le signe de la Vierge en héliocentrique.
- L’étoile Régulus culmine au minuit vrai exactement (1h05 pour notre localisation).
– A 5h28, Neptune atteint sa latitude maximale du point de vue géocentrique : -0°57’
– A 5h59, Mercure opposé Vénus en héliocentrique.
– A 7h36, Mercure conjoint Neptune dans le plan géo-écliptique
– A 10h03, la Lune au périgée : au plus près de la Terre à 356 760 kilomètres, soit 55,93 rayons terrestres environ ; diamètre apparent : 33,5 minutes d’arc. Longitude 146°21’ (27e LIO), latitude +2°36’, monte ; ascension droite 9h58m, déclinaison +15°10’, descend.
– C’est le périgée le plus proche de l’année.
– A 12h05, Mercure conjoint Neptune dans le plan géo-équatorial.
– A 14h32, la Lune est conjointe à Regulus dans le plan équatorial, l’étoile (alpha Leo) 2°21’ au Sud.
– A 15h56, elle est conjointe à Regulus dans le plan écliptique, ∆ +2°26’ ; longitude (moyenne de la date) 150°5’56". Régulus marque de nos jours, l’entrée (des astres sur l’écliptique) dans le signe de la Vierge. Régulus accompagne cette Pleine Lune de février : les deux astres se lèvent aux alentours de 18h10, culminent aux alentours de la mi-nuit, Régulus à 57° de hauteur et se couchent peu après 8h.
– A 15h06, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 10 / 22h10m, déclinaison Soleil -11°14’ -monte, Lune +14°17 -descend
– A 15h46, la Lune entre dans le signe de la Vierge ; Lg 150° à 180° ; sa latitude est alors de +2°52’ -monte.
Elle est traditionnellement dénommée "Pleine Lune des neiges" ou "de la faim". Cette année, elle se produit à moins de sept heures du périgée, lequel est de surcroît le plus proche de l’année, ce qui en fait la plus grosse Pleine Lune de l’année.
– Le 19 à l’aube, pleine à 99,7%, elle se couche à l’Ouest-nord-ouest, juste après le lever du Soleil.
– Le 19 au soir, elle apparaît à l’Est-nord-est au moment où la Soleil disparaît et traverse la nuit en compagnie de Régulus.
- Le 20 au matin, elle se couche quarante minutes après le lever du Soleil.
-devant la constellation du Capricorne (Cap) depuis le 20 janvier, il arrive devant le Verseau (Aqr) le 16 février à 18h26 ; longitude : 327°45’ (28e VER) ; il reste devant cette constellation jusqu’au 12 mars. Il arrivera alors devant les Poissons (Psc).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er janvier, 12h TU (11e CAP) au 30 juin 2019, 0h TU (9e CAN) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er janvier.
– Dans le plan équatorial, il passe à 22h d’ascension droite le 16 février à 19h57 - déclinaison -121°13’ -monte- alors qu’il se trouve à la longitude 327°49’ (28e VER) dans le plan écliptique. Pour plus d’explications, voir écli-équa..
– Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) depuis le 20 janvier, il entre dans celui des Poissons le 18 février à 23h50 = la Terre entre dans le signe de la Vierge en héliocentrique.
– Le couple Soleil-Terre passera en Bélier /Balance (Equinoxe de mars) le 20 mars à 22h43 (21h43 UTC).
– Signe des Poissons
– Nous entrons dans la troisième phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud
– l’Hémisphère Sud (-) reçoit un peu plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais chaque jour un peu moins (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) reçoit un peu moins d’ensoleillement (F) que le Sud mais chaque jour un peu plus (v).
– Nous avons donc Sud (-) majoritaire (F) et Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) et croissance (v) du Nord (+) ;
La formule majeure de la saison est F-, L-.
nous avons donc :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Contraires (sC)
– formule mineure : phase égalitaire
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
- L’équation de temps a atteint son premier maximum positif de l’année le 11 février (+14m 13s - à ajouter au midi moyen pour avoir le midi vrai). Elle sera nulle le 15 avril et atteindra son premier maximum négatif le 15 mai (-3m39s ; à retrancher au midi moyen pour avoir le midi vrai).
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Le 13 février aux alentours de 5h, début de la 2214 ème rotation synodique [2]
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [3] : l’étoile Deneb Algedi (delta du Capricorne, m 2.8) du 6 au 20 février.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais). Au 9 février, aucune tache depuis 8 jours. Nous sommes dans le minimum : cela apporte des rayons cosmiques, des trous coronaux et des aurores roses. Voir cette brève->http://www.rockastres.org/spip.php?breve24]
– page PGJ en français
– Le 13 février à 2h05, Vénus entre dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) ; sa latitude est alors de +2°28’ (descend). Elle reste dans ce signe jusqu’au 3 mars.
– Le 14 février à 4h55, Vénus opposé Uranus ; longitude 211°/31°47’ (2e SCO/TAU) ; latitude Vénus +2°24’ (descend), Uranus -0°31’ (monte).
– Le 17 février à 12h38, Mercure entre dans le signe du Taureau (longitude 30° à 60°) ; sa latitude est alors de -2°14’ (monte). Elle reste dans ce signe jusqu’au 22 février.
– Le 17 février à 20h27, Mercure conjoint Uranus ; longitude 31°50’ (2e TAU) ; latitude Mercure -2°1’ (monte), Uranus -0°31’ (monte).
– Le 18 février à 23h50, la Terre entre dans le signe de la Vierge Longitude 150° à 180° = le Soleil entre dans le signe des Poissons du point de vue géocentrique.
– Le 19 février à 5h59, Mercure opposé Vénus ; longitude 39°/219°53’ (10e TAU/SCO) ; latitude Mercure -1°3’ (monte), Vénus +2°2’ (descend).
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 18h13 le 12 février et à 18h23 le 19. Il se lève à 7h58 le 12 février et à 7h47 le 19.
Correction en longitude [4]
– A notre latitude, la durée du jour augmente de 10 minutes le soir et 11 le matin ; au total, elle augmente de 21 minutes en 8 jours (comme la semaine dernière) ; mais, depuis le 11 février, elle se décale vers le matin en raison de l’équation de temps.
– L’étoile Régulus (alpha du Lion) passe au méridien Sud à la mi-nuit du 18-19 (1h05 pour notre localisation), à 57° de hauteur pour la latitude 45° Nord.
La Lune :
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
– Au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit, et se couche en deuxième moitié de nuit chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– La Pleine Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près à l’opposé du Soleil.
1h05 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
RAS, ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’étoiles filantes, seulement aucun essaim confirmé pour cette date.
– Elle est passée en conjonction supérieure le 30 janvier.
– Elle est sortie du champ du coronographe Lasco C3 le 10 février et devient rapidement repérable dans le ciel du soir. Elle nous offre une très belle fenêtre d’observation dans le ciel du soir jusqu’à la fin du mois.
– Son élongation passe de 11° à 15° Est. Elle atteindra son élongation maximale le 27 février (18° Est). - Sa prochaine conjonction inférieure aura lieu le 15 mars.
– Son diamètre apparent : 6 secondes d’arc, augmente.
– En phase gibbeuse décroissante, sa fraction éclairée passe de 94% à 83%.
- Elle est conjointe à Neptune le 19 février à 7h36 dans le plan géo-écliptique, Neptune 0°40’ au Sud, à la longitude 345°34’ (16e POI) ; à 12h05 dans le plan équatorial, ∆ +0°46’ ; élongation solaire de Neptune 15° Est. De cette rencontre planétaire, on ne peut voir que Mercure à l’œil nu dans le crépuscule.
- Son mouvement est direct du 6 décembre 2018 (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 7 janvier au 10 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 7 janvier.
– Devant la constellation du Verseau (Aqr) du 8 février au 22 février ; elle arrivera alors devant les Poissons (Psc).
– Dans le signe des Poissons (Lg 330° à 0°) du 10 février au 17 avril car son mouvement va être rétrograde du 5 au 28 mars, du 30e au 17e degré de ce signe, (à la longitude actuelle de Neptune, à laquelle Mercure sera conjointe par trois fois : le 19 février, le 24 mars et le 2 avril).
– En héliocentrique, elle signe Bélier du 11 au 17 février, puis Taureau jusqu’au 22.
– En latitude Sud depuis le 2 janvier (nœud descendant). Elle a atteint sa latitude minimale le 30 janvier en géocentrique (-2°5’) et le 1er février en héliocentrique (-7°0’). Elle passera à son nœud ascendant le 20 février.
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle monte. Elle est sortie des limites zodiacales du 2 au 18 janvier et a atteint son minimum le 10 janvier (-24°8’). Elle passera en déclinaison Nord le 16 mars.
– Sa distance au Soleil diminue, de 0,349 à 0,317 UA ; elle est passée à l’aphélie le 12 janvier ; (0,466 UA) ; prochain périhélie le 25 février (0,307 UA).
– Sa distance à la Terre : 1,267 à 1,129 UA, diminue depuis son apogée le 22 janvier (1,422 UA) ; prochain périgée le 18 mars (0,609 UA).
– Elle se couche aux alentours de 19h50, à la fin du crépuscule astronomique. C’en est fini de son observation.
– Elle est conjointe à Mercure le 19 février, à 7h36 dans le plan géo-écliptique et à 12h05 dans le plan géo-équatorial
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre, à l’opposition du Soleil le 7 septembre 2018. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 7 mars.
– Élongation 20° à 15° Est ; Magnitude 8.0 ; diamètre apparent 2,2 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,938 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,892 UA le 19 février, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle atteint un maximum dans ses fluctuations annuelles le 19 février aux alentours de 5h28 : -0°57’38", à la longitude 345°34’. Précédent minima le 22 septembre 2018 : -1°0’ ; prochain minima le 24 septembre (-1°3’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin (-5°23’).
– Elle se trouve encore à près de 45° de hauteur quand elle devient distincte sur le fond du ciel, aux alentours de 19h30 ; elle se couche aux alentours de 23h55.
– Élongation 65° à 63° Est.
- Elle est conjointe à Uranus le 13 février à 7h17 dans le plan écliptique, Uranus 0°58’ au Sud, à la longitude 29°12’ (30e BEL) ; à 21h10 dans le plan équatorial, ∆ +1°3’ ; élongation solaire d’Uranus 64° Est. Une rencontre planétaire à suivre aux jumelles de soir en soir.
– Elle passée en quadrature Est au Soleil le 3 décembre 2018 (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
– Son diamètre apparent, 5,6 secondes d’arc environ, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +1.0 à +1.1. Elle va rester visible à l’œil nu jusqu’en avril.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018 dans le plan écliptique. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation des Poissons (Psc) depuis le 21 décembre, elle arrive devant le Bélier (Ari) le 13 février à 4h51 ; longitude 29°8’ (30e BEL), latitude +0°27’ (monte). Elle arrivera devant la constellation du Taureau (Tau) le 23 mars.
– Ci-contre son parcours du 1er janvier au 7 décembre 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er janvier)
– Dans le signe du Bélier (longitude 0° à 30°) depuis le 1er janvier, elle entre dans celui du Taureau (longitude 30° à 60°) le 14 février à 11h28 (latitude +0°28’, monte). Elle entrera dans le signe des Gémeaux le 31 mars.
– En héliocentrique, elle signe Gémeaux du 2 février au 2 avril.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,508 à 1,517 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019 (2,675 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 1,630 à 1,587 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). Elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Nord depuis le 15 janvier (nœud ascendant) ; elle atteindra sa latitude maximale le 30 juin en géocentrique (+1°10’ -variable) et le 18 juillet en héliocentrique (+1°51’ -invariable). Elle passera en latitude Sud (nœud descendant) le 1er février 2020.
– En déclinaison Nord depuis le 2 janvier, elle monte. Elle va rester en déclinaison Nord jusqu’au 7 octobre ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) du 18 avril au 14 juin et atteindra son maximum le 17 mai à +24°33’.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
– Elle se couche aux alentours de 23h45, à côté de Mars, à laquelle ele est conjointe le 13 février, à 7h17 dans le plan géo-écliptique et à 21h10 dans le plan géo-équatorial.
– Son élongation au Soleil passe de 64° à 59° Est. Magnitude 5.8 ; diamètre apparent 3,5 secondes d’arc.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 15 janvier dans le plan géo-équatorial et le 19 janvier dans le plan géo-écliptique. En héliocentrique, la Terre est passée au carré d’Uranus le 21 janvier.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 23 octobre 2018.
– Elle y sera conjointe le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet ; prochaine opposition le 28 octobre 2019.
-Son mouvement est direct du 6 janvier (29e BEL) au 11 août 2019 (7e TAU) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril et entamera la prochaine le 11 août 2019 (7e TAU).
– Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
- Le 18 février, elle frôle une étoile de magnitude 9.9. Uranus brille environ 40 fois plus fort que l’étoile.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,856 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 20,352 UA le 19 février. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations. Elle monte depuis le 5 janvier (minimum à +10°32’). Prochain maximum le 10 août 2019 (+13°15’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
– Elle se lève aux alentours de 4h, soit une heure et demi avant Vénus, à laquelle elle a été conjointe le 22 janvier .
– Son élongation passe de 63° à 69° Ouest. Magnitude -2.0
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin. Précédente le 9 mai 2018.
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 novembre.
– Observer le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
– Tous les phénomènes sur la fiche mémo imprimable
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,335 UA le 19 février diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 5,692 à 5,591 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude minimale le 3 février (+0°37’) ; prochain maximum le 15 avril (+0°38’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre ; son élongation passe de 43° à 42° Ouest ; elle a atteint son élongation maximale le 6 janvier.
– Elle se lève aux environs de 5h35.
- Elle est conjointe à Saturne le 18 février à 11h51 dans le plan géo-écliptique, Saturne 1°5’ au Sud, à la longitude 286°46’ (17e CAP) ; à 14h52 dans le plan équatorial, ∆ +1°5’ ; élongation solaire de Vénus 46° Ouest. Une rencontre planétaire à suivre à l’œil nu de soir en soir et qui est appréciable dans un même champ de jumelles du 13 au 24 février.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa portion éclairée augmente de 66% à 69% ; son diamètre apparent, 17 secondes d’arc environ, diminue ; son éclat : magnitude -4.1, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 1er février au 12 septembre 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er février.
– Elle est devant la constellation du Sagittaire (Sgr) depuis le 31 janvier. Elle y reste jusqu’au 1er mars. Elle arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
- Le 18 février, elle passe à 0,1° de l’étoile pi Sgr. De magnitude 2.8, l’étoile brille plus de 600 fois moins fort que Vénus.
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre 2018.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 3 février au 1er mars.
– En héliocentrique, elle signe Balance du 25 janvier au 13 février, puis Scorpion jusqu’au 3 mars.
– Sa distance au Soleil : 0,723 UA augmente depuis son périhélie le 26 décembre (0,718 UA). Prochain aphélie le 17 avril (0,728 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,956 à 1,004 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre 2018 (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août 2019 (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale en géocentrique le 3 janvier et le 17 janvier en héliocentrique ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août 2018, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, un maximum le 28 novembre à -9°49’ et un nouveau ; minimum le 10 février (-21°11’). Elle remonte et passera en déclinaison Nord le 23 avril.
– Son élongation passe de 36° à 42° Ouest. Elle est passée en conjonction au Soleil le 2 janvier
– Elle est visible dans le ciel de l’aube. Elle se lève aux alentours de 5h50 ; magnitude +1.5 ; diamètre apparent 15 secondes d’arc, en augmentation.
– Elle est conjointe à Vénus le 18 février, à 11h51 dans le plan géo-écliptique et à 14h52 dans le plan géo-équatorial
– Elle sera à l’ opposition le 9 juillet. La précédente date du 27 juin 2018.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +24,8° à +24,1° en février .
– Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 17 février à 12h14
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril.
– Sa distance au Soleil (10,058 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril 2018. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Sa distance à la Terre diminue, de 10,821 à 10,748 UA ; dernier apogée le 2 janvier (9,048 UA) ; prochain périgée le 10 juillet (9,032 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant le 13 février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai 2018 (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations ; elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024, elle est pour le moment inobservable.
– Elle était conjointe au Soleil le 11 janvier. Sa dernière opposition date du 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 21 janvier.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,740 à 33,744 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 34,574 à 34,512 UA. Elle est passée à l’apogée le 13 janvier (34,702 UA) ; prochain périgée le 11 juillet (32,82 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre 2018. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
- (532) Herculina, m 8.9, le 12 février dans le plan équatorial ; devant le Lion (Leo).
- (129) Antigone, m 10.8, le 17 février dans le plan équatorial ; devant le Lion (Leo).
– (3) Junon, m 9.1, qui se trouve devant le Taureau (Tau) le 13 février à 11h58 dans le plan écliptique (1er GEM) l’astéroïde 11°13’ au Sud.
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
- C/2018 Y1 Iwamoto : magnitude observée le 10 février : 6.7, son éclat augmente ; elle passe au périhélie le 6 février. Elle passe du Lion (Leo) au Cancer (Cnc), puis aux Gémeaux (Gem) ; elle se lève aux alentours de 20h40 et culmine à 52° de hauteur aux alentours de 3h30.
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 10 février : 8.4, éclat en diminution. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle est devant la Grande Ourse (UMa) ; circumpolaire à nos latitudes (ne se couche pas), elle culmine aux alentours de 4h à 82° de hauteur environ.
– 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 10 février : 11.4, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre ; elle reviendra en 2056. Devant le Lynx (Lyn), elle culmine aux alentours de 0h00 à 87° soit pratiquement au zénith !
- C/2018 L2 ATLAS : magnitude observée le 10 février : 11.5 ; elle est passée au périhélie le 2 décembre. Devant le Cygne (Cyg), elle se couche aux alentours de 22h et se lève aux alentours de 5h.
– 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 10 février : 11.6. Devant le Taureau (Tau), elle culmine aux alentours de 21h à 70° de hauteur environ et se couche aux alentours de 5h. Elle est passée au périhélie le 3 novembre.
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– sur theskylive.com
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 12 février, C/2018 Y1 Iwamoto, voir ci-dessus, magnitude 7
"- Une visiteuse d’au-delà de la ceinture de Kuiper : les 12 et 13 février, la comète Iwamoto (C/2018 Y1) va faire une rare visite dans le système solaire interne en passant à seulement 0,3 UA (45 millions km) de la Terre. Michael Jager, d’Autriche, a photographié la comète verte à l’approche devant la constellation de la Vierge.
– Découverte en décembre 2018 par un astronome amateur japonais, Masayuki Iwamoto, cette comète provient d’au-delà de la ceinture de Kuiper. Elle vient du royaume des Extreme Trans-Neptunian Objects (ETNOs), plus de cinq fois plus loin que Pluton. Elle est peut-être parent avec un de ces étranges ETNOs comme Sedna, 2012 VP113 ("Biden"), and 2015 TG387 ("Goblin").
– La comète Iwamoto a une orbite fortement elliptique de 1371 ans, elle ne nous rend donc pas visite bien souvent. Son dernier passage à travers le système solaire interne était autour de l’an 846 (aucun rapport connu), et le prochain n’aura pas lieu avant 3390. Donc si vous voulez la voir, c’est le moment !" (source 9 février 2019)
– le 16 février, 149P Mueller 4, magnitude 18
– le 17 février, D/1895 Q1 Swift, incertaine
– Terre : la dérive des pôles magnétiques s’accélère, article du 18 janvier
– New Horizons -Ultima Thule
– La sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, a survolé Ultima Thule comme prévu le 1er janvier.
– Les photos maintenant disponibles laissent apparaître des zones claires et d’autres sombres qui intriguent les chercheurs. dernier tweet
– Dernières nouvelles sur ce site
– A suivre sur le site de la mission
– galerie d’images
– Dernière conférence de presse
– La Chine sur la face cachée de la Lune
– le rover chinois Chang’e 4 s’est posé avec succès sur la face cachée de la Lune. Dernières nouvelles. Dernier article des astronews
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire
Dernières nouvelles. Site Voyager - NASA. Article spaceweather. Article astronews
Osiris Rex et l’astéroïde Bennu
– Osiris Rex s’est mis en orbite autour de l’astéroïde Bennu le 31 Décembre 2018. Voir astronews.
– Mars
– Insight, un gnomon pour trouver le Nord sur Mars ; le sismomètre fonctionne bien.
– autres missions : Mars Express ; ]
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS
– Mercure
– BEPI COLOMBO, dernières nouvelles Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles
– Jupiter
– JUNO, dernières images de Jupiter
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
– Kepler, une exoplanète intéressante (Fin de la mission en novembre 2018)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
– Livre "Chasseur d’astéroïdes" de Michel Ory. Avec quelques astronomes amateurs, Michel Ory fait partie des derniers Mohicans célestes, dont la vie est rythmée par l’observation du ciel. Car aujourd’hui, force est de constater que le reste de l’humanité ne vit plus en symbiose avec la voûte céleste. Et pourtant, au-delà des écrans et du virtuel, le ciel étoilé est un patrimoine à préserver, comme le tigre du Bengale ou les grandes pyramides d’Égypte. C’est aussi un formidable terrain d’aventures, à redécouvrir de toute urgence.
Rappels
– La lettre de l’IMCCE de février n° 153 : *Lever du Soleil dans l’axe de l’arche de l’Arc de triomphe *Observer le ciel en février 2019 : les constellations fantomatiques de l’hiver : le Cancer et l’Hydre *Calendrier chinois traditionnel : nouvel an le 5 février 2019
– *campagne d’observation d’Eros en 2019
– La lettre du guide du ciel n°145. (1er février 2019) de Guillaume Cannat : le ciel du Kenya
– Astronews du 21 janvier ; au sommaire : L’exobiologie dans le Système Solaire ; Exoplanètes Trappist-1 ; New Horizons, la dernière conférence de presse ; Chang’e-4, le rover est lâché ! ; InSight, le gnomon pour trouver le Nord ! Le sismomètre fonctionne bien, ouf ! ; En 2019 des Américains devraient voler à bord de capsules US ; Le FCC , possible successeur du LHC, aura 100 km de diamètre ; Kepler, une exoplanète intéressante ; ISS, un trou dans la coque ... sabotage ou erreur humaine ? ; Space X, le Starhopper en préparation ; Hubble, la vue la plus détaillée du Triangle ; Astéroïde, un Hippo pour Noël sinon rien ; Livre conseillé : Supernova, le dernier éclat de l’étoile disparue par M Zito chez Belin ; Magazine conseillé : Pour la Science sur la gravité non quantique
– Astrosurf magazine numéro 96, janvier-février 2019, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie. Sommaire.
– Excellent site japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
– L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [5], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait ; vous pouvez noter dans un agenda vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] Rotation synodique :
– Article de Jean Meeus ;
– pour la calculer et l’apprécier soi-même, fich tech ici.
– Article sur Carrington, qui l’a découverte
[3] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[4] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[5] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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