vendredi 19 juin 2020, par
La Lune
Elle marque les signes de Cancer à Balance
Elle passe de la constellation du Taureau (Tau) à celle de la Vierge (Vir)
le 21, sort des limites zodiacales, Nouvelle Lune
avec éclipse annulaire de Soleil, visible centre Afrique, sud Asie, Chine, Pacifique
le 22, conjoint Alhena, déclinaison maximale, conjoint Mercure, premier croissant
le 23, conjoint Pollux, rentre dans les limites zodiacales ;
le 24, conjoint amas de la Crèche ;
le 25, conjoint Régulus
le 27, latitude maximale
le 28, Premier Quartier, passe en déclinaison Sud
Le Soleil est :
dans le signe du Cancer
devant la constellation du Taureau (Tau) jusqu’au 21 juin, 10h10, puis Gémeaux (Gem)
– Les planètes en géocentrique
le mouvement de Neptune devient rétrograde le 23
Mars arrive devant la constellation des Poissons le 24, signe Bélier le 28
Vénus, rétrograde, reprend son mouvement direct le 25
Autres rétrogrades : Pluton, Saturne, Jupiter, Mercure
– En héliocentrique
Mercure aphélie le 23, signe Capricorne le 27 ; Vénus conjoint Jupiter le 27
- A 6h23, la Lune passe au nœud ascendant de son orbite :
dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Nord
Longitude 89°7’ (30e GEM) ; (ascension droite : 5h56m, déclinaison +23°25’ (monte) ;
distance 388 334 kilomètres soit environ 60,88 rayons terrestres .
L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en signes Gémeaux/Sagittaire, du 5 mai 2020 au 18 janvier 2022.
- A 6h26, la Lune sort des limites zodiacales (-23°26’11") ; ascension droite 5h56m ;
longitude écliptique 89°8’ (30e GEM), latitude +0°0’ -monte.
– A 8h01, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de +0°04’ monte.
– A 8h42, Lune conjoint Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 6h01m, déclinaison Soleil +23°26’, descend, Lune +23°33’, monte.
Cette Nouvelle Lune donne lieu à une éclipse annulaire de Soleil dont le maximum est à 8h40.
Elle est visible depuis le centre de l’Afrique, le sud de l’Asie, la Chine, l’Océan Pacifique.
Une éclipse partielle de Soleil est vue depuis l’Afrique, le sud-ouest de l’Europe, et l’Asie.
Tous les détails sur la page spéciale PGJ
Elle a été précédée d’une éclipse pénombrale de Lune lors de la Pleine Lune du 5 juin
et sera suivie par une autre éclipse pénombrale de Lune pour la Pleine Lune du 5 juillet
– A 8h48, la Lune arrive devant la constellation des Gémeaux (Gem) ; longitude 90°25’ (1er CAN) ; latitude +0°07’, monte.
– A 10h10, le Soleil arrive devant la constellation des Gémeaux (Gem).
– A 22h21, la Lune est conjointe à l’astéroïde (4) Vesta dans le plan équatorial avec occultation de Vesta par la Lune
- A 0h24, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, l’étoile 7°39’ au Sud.
invisible
– A 1h19, la Lune est conjointe à Alhena (gamma Gémeaux ; m 1.9) dans le plan écliptique, ∆ +7°41’, longitude (moyenne de la date) 99°23’43" (10e CAN).
– Aux alentours de 1h00 (le 21, 23h00 UTC), le croissant primeur de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument depuis l’Amérique Centrale.
Les fins croissants de Lune
- A 5h54, la Lune atteint sa déclinaison maximale : +24°04’10" (Nord) par rapport au plan de l’équateur céleste ;
ascension droite 6h52m ; longitude écliptique 101°53’ (12e CAN), latitude +1°10’ (monte).
Elle est hors-limites zodiacales du 21 juin, 6h26 au 23 juin, 4h57.
Elle culmine au plus haut dans l’hémisphère Nord, à 69° de hauteur pour la latitude terrestre 45°N, aux alentours de 15h00
En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026.
Elle sort des limites zodiacales Nord et Sud du mois de mars 2020 à février 2030
- A 9h18, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan équatorial, la planète 3°53’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 12° Est.
Invisible
– A 10h01, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan écliptique, ∆ +3°54’ ; longitude 104°08’ (15e CAN).
- Aux alentours de 11h, la Lune atteint sa libration minimale en longitude (L= -5,1°) ; elle nous présente son Ouest au maximum
- Aux alentours de 22h25, premier croissant de cette lunaison théoriquement facilement visible à l’œil nu, une demi heure avant son coucher.
De 2,8%, âgé de 37 heures et 45 minutes environ, élongation 19° Est, il se trouve à 4° de hauteur, azimut 298°,
45 minutes environ après le coucher du Soleil, celui-ci étant alors à 7° sous l’horizon.
Devant les Gémeaux (Gem) ; longitude écliptique 21e CAN, il se couche à 22h58 pour notre localisation, soit 1 heure 20 minutes après le Soleil.
- A 0h50, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan écliptique
- A 2h54, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.1) dans le plan écliptique, l’étoile 4°30’ au Nord ;
longitude (moyenne de la date) 113°30’11" (elle marque, de nos jours, le 24e degré du signe du Cancer).
Essayer de remarquer l’étoile au-dessus du très fin croissant de Lune la veille au soir.
Pour notre localisation, Pollux se couche à 23h42, précédée par la Lune, 44 minutes plus tôt.
– A 4h22, la Lune est conjointe à Pollux (beta Gémeaux ; m 1.9) dans le plan équatorial, ∆ -4°30’.
- A 4h57, la Lune rentre dans les limites zodiacales (-23°26’12") ; ascension droite 7h47m ;
longitude écliptique 114°37’ (25e CAN), latitude +2°16’ -monte.
– A 7h58, Mercure à l’aphélie
– A 10h35, la Lune arrive devant la constellation du Cancer (Cnc) ; longitude 117°46’ (28e CAN) ; latitude +2°32’, monte.
– A 14h32, la Lune entre dans le signe du Lion ; Lg 120° à 150° ; sa latitude est alors de +2°42’ monte.
– A 14h55, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan équatorial
- A 3h09, la Lune, est conjointe à l’amas de la Crèche (ou amas de la Ruche -Messier 44 ; m 3.1) dans le plan équatorial, l’amas ouvert 2°1’ au Sud ;
Visible à l’œil nu par un bon ciel sans Lune sous la forme d’une tache floue, facilement visible aux jumelles,
cet amas ouvert se niche au creux de la constellation du Cancer.
A remarquer le 23 au soir à l’Ouest-nord-ouest aux alentours de 23h00, à moins de 10° de hauteur ; l’amas, visible aux jumelles, se trouve dans l’axe de la corne lunaire.
L’ensemble se couche aux alentours de 23h45
– A 3h53, la Lune est conjointe à l’amas de la Crèche dans le plan écliptique, Δ +2°1’ ;
longitude du centre de l’amas 127°38’31" -8e degré du signe du Lion.
– A 20h05, Vénus reprend son mouvement direct dans le plan équatorial
– A 20h40, la Lune arrive devant la constellation du Lion (Leo) ; longitude 137°5’ (18e LIO) ; latitude +3°55’, monte.
– A 21h39, Mars arrive devant la constellation des Poissons (Psc).
- Aujourd’hui, la comète 2P Encke au périhélie
– A 8h45, Vénus reprend son mouvement direct dans le plan écliptique
– Aux alentours de 13h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des iota Pégasides de juin
- A 16h37, la Lune est conjointe à Regulus dans le plan équatorial, l’étoile (alpha Leo) 4°21’ au Sud.
A remarquer ce soir en début de nuit ; à 23h, les deux astres sont à l’Ouest à une vingtaine de degrés de hauteur ;
Régulus se couche à 0h33 le 26 pour notre localisation et la Lune 25 minutes plus tard.
– A 19h04, la Lune entre dans le signe de la Vierge ; Lg 150° à 180° ; sa latitude est alors de +4°36’ monte.
– A 19h16, elle est conjointe à Regulus dans le plan écliptique, ∆ +4°9’ ; longitude (moyenne de la date) 150°07’06".
Régulus marque, de nos jours, l’entrée des astres sur l’écliptique dans le signe de la Vierge.
- Aux alentours de 1h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des Corvides Nord
– Aujourd’hui, la planète Mercure entre dans le champ du coronographe Lasco C3
– A 9h30, Vénus et Mars sont en parallèle de latitude héliocentrique
– Aux alentours de 18h00, maximum attendu de l’essaim météoritique des epsilon Perséides
- Aux alentours de 4h, l’astéroïde (7) Iris à l’opposition du Soleil, devant le Sagittaire (Sgr)
– Aux alentours de 5h, apprécier avec un instrument l’alignement des lunes de Jupiter phenos
– A 8h30, la Lune arrive devant la constellation de la Vierge (Vir) ; longitude 171°52’ (22e VIE) ; latitude +5°14’, monte.
– A 8h54, Vénus conjoint Jupiter en héliocentrique->#helio].
– Aux alentours de 13h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des Bootides de juin
– A 17h52, Mercure entre dans le signe du Capricorne en héliocentrique.
– A 19h04, la Lune entre dans le signe de la Balance ; Lg 180° à 210° ; sa latitude est alors de +5°16’ descend.
- A 20h43, la Lune atteint sa latitude maximale : +5°16’33" au Nord du plan de l’écliptique ("ailes du Dragon") ;
longitude : 179°5’ (30e VIE) ; ascension droite 12h05m, déclinaison +5°12’ -descend.
Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à l’axe des nœuds : il est, pareillement rétrograde :
en Poissons/Vierge du 5 mai 2020 au 18 janvier 2022
- Aux alentours de 21h00, la Lune atteint sa libration minimale en latitude : B= -6,7° (elle présente son Sud au maximum)
Ce soir sur la presque-demi-Lune, apprécier les formations au terminateur sur lesquelles le Soleil se lève, entre autres, pratiquement au centre, le cratère Hipparchus.
– De 22h47 à 23h18, occultation d’une étoile de la constellation du Capricorne (Cap) par l’astéroïde (336) Lacadiera
- Aux alentours de 0h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des beta Taurides de jour
– A 3h27, Mars entre dans le signe du Bélier en géocentrique
– A 8h33, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 12h/6h 30m, déclinaison Soleil +23°14’ -descend, Lune +2°23’ -descend.
- A 18h29, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Sud : déclinaison 0° ; ascension droite 12h52m. Longitude écliptique 191°58’ (12e BAL), latitude +5°08’, descend.
- Devant la constellation du Taureau (Tau) depuis le 14 mai,
il arrive devant les Gémeaux (Gem) le 21 juin à 10h10 ; longitude : 90°25’ (1er CAN) ;
il reste devant cette constellation jusqu’au 20 juillet. Il arrivera alors devant le Cancer (Cnc).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er mai, 0h TU (12e TAU) au 2 novembre 2020, 0h TU (11e SCO) (grille équatoriale)
les planètes sont positionnées au 1er mai 2020.
- Dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) du 20 juin, 23h27 (21h27 UTC) au 22 juillet à 10h21 (8h21 UTC)
= la Terre est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en héliocentrique.
-
Nous sommes dans la première phase de la saison Eté Nord / Hiver Sud :
à partir de là, l’Hémisphère Nord (+) qui reçoit un maximum d’ensoleillement (F) en reçoit un petit peu moins chaque jour (L)
alors que l’Hémisphère Sud (-) qui reçoit un minimum d’ensoleillement (f) en reçoit un petit peu plus chaque jour (v)
Les jours diminuent au Nord et augmentent au Sud
Ensoleillement majoritaire (F) au Nord (+) mais il décroit (L+)
Ensoleillement minoritaire (f) au Sud (-) mais il augmente (v+)
La polarité dominante de cette saison (phase) est « - » = inhibition
– Ce qui se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité directrice "-"
– formule majeure : inhibition protectrice ou bloquante F- / - formule mineure : excitation associative f+.
2- saison : signe d’été Nord/hiver Sud
– formule majeure : L+ = "L" pour Lenteur ou inertie car la polarité dominante décroît et "+" pour Nord
– formule mineure : v- = "v" pour vitesse car la polarité secondaire est croissante et "-" pour Sud
3- période solsticiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale (UP)
– La formule du Cancer est opposée à celle du Capricorne (Force d’inhibition extinctive F- / force d’excitation naturelle f+, Lenteur d’inhibition L- / vitesse d’excitation v+, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
et inverse de celle du Sagittaire (Force d’excitation associative F+ / force d’inhibition autoprotectrice f-, Vitesse d’inhibition V- / lenteur d’excitation l+-, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez sur cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
- Elle a atteint son premier maximum négatif de l’année le 13 mai (- 3m 39s),
était nulle le 12 juin ;
elle atteindra son second maximum positif le 25 juillet (+6m32s)
Autrement dit, du 13 mai au 25 juillet , le midi vrai se produit chaque jour un peu plus tard par rapport au midi moyen
Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA, - techno-science - et encore celui-ci
l’amas ouvert Messier 35 du 16 juin au 1er juillet ; la planète Mercure du 26 juin au 5 juillet
au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ;
cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées
Après 30 jours d’affilée sans tache, la tache du cycle 25 apparue le 3 juin a évolué à travers le disque solaire visible jusqu’au 16 juin. Depuis, pas de taches (19 juin).
Au 19 juin, nous en sommes donc à 125 jours sans tache depuis le début de l’année
C’est la polarité des taches ainsi que la latitude à laquelle elles apparaissent qui permet de déterminer
si elles appartiennent au cycle qui s’achève ou à celui qui commence.
Les taches du cycle 24 sont polarisées -/+, celles du cycle 25 sont polarisées +/-
et elles apparaissent aux hautes latitudes alors que celles du vieux cycle sont proches de l’équateur solaire.
Des petites taches éphémères du cycle 25 sont déjà apparues le 20 décembre 2016, le 8 avril et le 17 novembre 2018,
le 28 mai, le 1er et le 7 juillet, le 1er et le 13 novembre 2019,
du 8 au 10 janvier 2020, du 8 au 10 mars, du 30 mars au 5 avril, du 27 avril au 1er mai, du 2 au 16 juin ...
L’apparition des taches du nouveau cycle et l’accélération de leurs apparitions induit que la transition entre le cycle 24 et le cycle 25 est bien en cours ...
– spaceweather.com (en anglais)
– page PGJ en français
– excellent suivi en français sur astroplanetes
Bandeau coronal en lumière visible capturé par l’instrument WISPR de Parker Solar Probe lors de son passage au périhélie du 28 janvier source
- Le 23 juin à 7h58, Mercure à l’aphélie : au plus près du Soleil à 0,466 702 UA soit 69,8 millions de kilomètres environ ;
longitude écliptique 257°35’ (18e SAG - invariable, si ce n’est l’avance de 1°33’23" par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude -3°24’ (descend) ;
en géocentrique, sa longitude est de 103°50’ (14e CAN, variable), sa latitude -2°46’ (descend).
Prochain périhélie le 6 août (0,307 UA).
– Le 26 juin à 12h15, Vénus (qui descend) et Mars (qui descend) sont en parallèle de latitude à -1°50’
– Le 27 juin à 8h54, Vénus conjoint Jupiter ; longitude 290°54’ - 21e CAP ; latitude Vénus -1°54’ (descend), Jupiter -0°13’ (descend).
– Le 27 juin à 17h52, Mercure entre dans le signe du Capricorne ; longitude 270°, latitude -4°38’ ; descend
elle reste dans ce signe jusqu’au 7 juillet.
- Pour notre localisation (44°36’N-2°12’E), le Soleil se couche à 21h38 le 21 juin et toujours à 21h38 le 28
il se lève à 6h08 le 21 juin et à 6h10 le 28.
Correction en longitude : pour la même latitude (approximativement),
retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest.
Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
A notre latitude, le jour perd 2 minutes le matin et aucune le soir
il diminue donc de 2 minutes en 8 jours (augmentation de 2 minutes en 8 jours la semaine dernière).
La durée du jour dans l’hémisphère Nord a commencé à diminuer depuis le solstice le 20 juin et va continuer à décroître jusqu’au prochain solstice de décembre.
Le jour se décale sur le soir en raison de l’équation de temps.
- Nous assistons aux couchers du Soleil les plus tardifs de l’année :
– A 0° de longitude terrestre et 40° de latitude Nord, il se couche à 21h33 (arrondi à la minute), du 22 juin au 2 juillet
à 45° Nord, à 21h51 du 22 au 30 juin
à 50° Nord, à 22h13 du 19 au 30 juin
Le Soleil ne descend pas en-dessous de 18° de hauteur sous l’horizon du 16 au 26 juin à 48° de latitude Nord
et pour une période de plus en plus longue au fur et à mesure que l’on s’élève en latitude.
A partir du cercle polaire, c’est le Soleil de minuit
La Nouvelle Lune se lève, culmine et se couche toujours grosso modo en même temps que le Soleil.
Le premier croissant est visible le 22 au soir à l’œil nu
Puis, au fil des jours, en croissant de plus en plus gros, elle se lève dans la matinée, culmine dans l’après-midi et se couche en première moitié de nuit
chaque jour une heure en moyenne plus tard que la veille (au minimum une demi-heure, au maximum une heure et demi à notre latitude).
A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
Nuages noctiluques
Nous sommes dans la période favorable à l’observation de nuages noctiluques
En cette période proche du solstice d’été, qui dure d’autant plus longtemps que l’on se trouve proche du pôle, il est possible d’observer des nuages noctiluques
Les observations rapportent que les températures dans la stratosphère et la mésosphère sont particulièrement basses cette année
1h54 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 25 juin aux alentours de 13h30, maximum attendu des iota Pégasides de juin (JIP), radiant Pégase (Peg)
– le 26 juin aux alentours de 1h30, maximum attendu des Corvides (COR), radiant Corbeau (Crv)
– le 26 juin aux alentours de 18h00, maximum attendu des epsilon Perséides (EPR), radiant Persée (Per)
– le 27 juin aux alentours de 13h30, maximum attendu des Bootides de juin (JBO), radiant Bouvier (Boo), donné pour actif du 22 juin au 2 juillet
– le 28 juin aux alentours de 0h30, maximum attendu des beta Taurides de jour (BTA), radiant Taureau (Tau), diurne.
noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ;
nous faisons référence aux données en longitude solaire du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale) et ajoutons le cas échéant les données fournies par PGJ et Guillaume Cannat
liste de tous les essaims
Dans l’ordre de présence, du soir au matin
Du soir depuis sa conjonction supérieure le 4 mai elle a été bien visible durant la première quinzaine de juin
et seule planète vespérale depuis la conjonction inférieure de Vénus le 3 juin,
elle est maintenant totalement invisible ; elle se lève 29 minutes après le Soleil le 28 et se couche 7 minutes avant lui.
Conjointe à la Lune le 22 juin
– Le 26 juin, elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 et le traverse l’Est en Ouest jusqu’au 5 juillet
Elle va être en conjonction inférieure le 1er juillet
elle a atteint son élongation maximale le 4 juin : 23°36’ Est ;
- sa magnitude passe de + 2.8 à + 4.6
- son diamètre apparent, 12 secondes d’arc environ, augmente
- Sa fraction éclairée passe de 7% à 2% : elle est passée à son Dernier Quartier le 29 mai ; elle est en phase de dernier croissant.
-Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Vénus le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 5 janvier 2021.
- Son mouvement est rétrograde du 18 juin (15e CAN) au 12 juillet (6e CAN) ;
elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 26 juillet.
– Ci-contre son parcours du 4 mai (13e TAU) au 20 novembre 2020 (12e SCO) ; les autres planètes sont positionnées au 4 mai .
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) depuis le 29 mai ; elle y effectue sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet
elle arrivera devant le Cancer (Cnc) le 4 août
- En géocentrique, elle est dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) depuis le 28 mai ;
elle va y effectuer sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet ; elle entrera dans le signe du Lion (longitude 120° à 150°) le 5 août.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire du 16 au 27 juin, puis Capricorne jusqu’au 7 juillet.
- En latitude Sud depuis le 12 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 6 juillet en géocentrique (-4°48’) et le 13 juillet en héliocentrique.
Elle passera à son nœud ascendant le 1er août
- En déclinaison Nord depuis le 14 avril,
elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 16 mai au 10 juin
et a atteint sa déclinaison maximale le 27 mai (+25°39’), la plus forte sur la période 1990-2050.
Elle atteindra un palier minimum le 5 juillet à +18°26’, puis un palier maximum le 30 juillet à +21°29’,
et passera en déclinaison Sud le 6 septembre.
- Distance au Soleil : elle atteint son aphélie le 23 juin à 7h58 : au plus loin du Soleil à 0,466 702 UA soit 69,8 millions de kilomètres environ.
Elle s’en rapproche ensuite jusqu’à son prochain périhélie le 6 août (0,307 UA) ; périhélie précédent le 10 mai (0,307 UA)
- Sa distance à la Terre : 0,592 à 0,560 UA, diminue depuis son apogée le 2 mai (1,327 UA) ; elle va être au périgée le 29 juin (0,560 UA).
Elle se lève aux alentours de 22h50 et culmine aux alentours de 3h30 accompagnée de Saturne
les deux planètes ont été au plus près l’une de l’autre le 18 mai ;
comme elles sont maintenant toutes les deux rétrogrades, l’écart entre elles se creuse très légèrement, Jupiter reculant un peu plus vite que Saturne.
Cet écart va augmenter jusqu’à ce qu’elles reprennent leur mouvement direct.
Magnitude -2.7 (son éclat augmente).
Son diamètre apparent : 47 secondes d’arc, augmente
- Son élongation passe de 153° à 162° Ouest.
Prochaine opposition le 14 juillet. La précédente a eu lieu le 10 juin 2019.
Elle est passée en quadrature Ouest le 15 avril et conjointe au Soleil le 27 décembre (occultation)
Conjonctions planétaires
Sa dernière conjonction a été avec Pluton le 5 avril ; cette conjonction se reproduira le 30 juin et le 12 novembre (en raison de sa rétrogradation)
La prochaine sera avec Saturne le 21 décembre.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 14 mai (28e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 12 septembre, à la longitude 287°24’ (18e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 6 décembre
- Elle est devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 16 novembre 2019 au 18 décembre 2020.
Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 8 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019).
- Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en géocentrique du 2 décembre 2019 au 19 décembre 2020 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne depuis le 18 octobre 2019 ; elle entrera en Verseau le 12 octobre 2020.
- Observer le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
le 27 juin aux alentours de 5h00, les quatre lunes sont alignées à l’ouest de Jupiter dans l’ordre naturel
Tous les phénomènes observables sur la fiche mémo imprimable
- Sa distance au Soleil : 5,162 UA le 28 juin, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA).
Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 4,224 à 4,182 UA ; elle est passée à l’apogée le 25 décembre 2019 (6,212 UA) ; elle sera au périgée le 15 juillet 2020 (4,139 UA).
- En latitude Sud depuis le 26 février,
en héliocentrique, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 à -1°18’ (invariable, c’est la valeur de son inclinaison sur l’écliptique) ;
en géocentrique, son dernier palier de latitude maximale date du 16 avril 2019 (+0°38’) ; prochain minimum le 8 septembre 2021 (-1°11’).
- En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016,
elle a atteint sa déclinaison maximale le 10 mai : -20°51’
Elle redescend jusqu’au 14 septembre, minimum à -22°43’.
Son minimum absolu a eu lieu le 7 décembre 2019 (-23°18’). Elle passera en déclinaison Nord le 25 mai 2022.
Elle se lève aux alentours de 23h10, une vingtaine de minutes après Jupiter
Magnitude : 1.0 ; son éclat augmente
Diamètre apparent : 18 secondes d’arc, augmente
L’inclinaison de ses anneaux passe de +20,5° à +21,2° en juin
Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 26 juin à 11h59
Son élongation passe de 149° à 156° Ouest.
Elle a été conjointe au Soleil le 13 janvier -et occultée par lui
et en quadrature Ouest le 21 avril
Prochaine opposition le 20 juillet 2020. La précédente date du 9 juillet 2019.
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 31 mars
La prochaine avec Jupiter le 21 décembre
Devant la constellation du Capricorne (Cap) du 21 mars au 3 juillet ;
elle reviendra alors devant le Sagittaire (Sgr) jusqu’au 15 décembre en raison de sa rétrogradation
Ci-contre son parcours du 17 janvier 2020 au 18 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 17 janvier 2020)
- En géocentrique dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) du 22 mars au 2 juillet ;
elle reviendra alors en Capricorne jusqu’au 17 décembre, en raison de sa rétrogradation, du 11 mai (2e VER) au 30 septembre (26e CAP).
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 11 mai (2e VER).
Elle reprendra son mouvement direct le 29 septembre à la longitude 295°20’ (26e CAP).
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 janvier 2021
- Sa distance au Soleil (10,014 UA) diminue depuis son aphélie le 17 avril 2018 (10,065 UA).
Elle se rapproche du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
- Sa distance à la Terre diminue, de 9,124 à 9,071 UA ;
dernier apogée le 13 janvier (11,017 UA) ; prochain périgée le 21 juillet (8,994 UA).
- En latitude Sud depuis le 13 février 2020 (nœud descendant),
en héliocentrique, elle descend et atteindra sa latitude minimale le 5 octobre 2027 (-2°27’ -invariable)
- En géocentrique, elle descend et atteindra un palier de latitude minimale le 7 octobre 2021 à -0°49’,
remontera un tout petit peu jusqu’au 25 novembre 2021 à 0°48’, puis redescendra jusqu’au 14 septembre 2022, à -1°19’
- En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle remonte depuis le 27 septembre 2019 (minimum à -22°31’) ;
elle a atteint un palier de déclinaison maximale le 7 mai : -19°50’ ; prochain minimum le 1er octobre à -21°22’
Elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
Magnitude : 7.9, diamètre apparent 2,3 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 1h20. Elle devient observable dans le ciel de l’aube.
Son élongation passe de 98° à 105° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 11 juin,
(carré dans le plan équatorial le 13 juin)
conjointe au Soleil le 8 mars ;
prochaine opposition le 11 septembre 2020. La précédente date du 10 septembre 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 12 juin.
La prochaine avec Vénus le 14 mars 2021.
- Son mouvement, direct depuis le 27 novembre 2019 (16e POI), devient rétrograde ;
Neptune est stationnaire à l’Est du Soleil le 23 juin
à 0h50 dans le plan écliptique à la longitude 350°57’53" (21e POI), latitude -1°4’ (descend).
et à 14h55 dans le plan équatorial (ascension droite 23h28m29s, déclinaison -4°34’ -descend)
Elle reprendra son mouvement direct le 28 novembre dans le plan écliptique (19e POI) et le 29 novembre dans le plan équatorial
et achèvera sa boucle de rétrogradation le 19 mars 2021
- Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
Ci-contre son parcours de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
- Sa distance au Soleil (29,930 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042.
Cette variation, liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans sur une orbite quasi circulaire.
A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
- Sa distance à la Terre : 29,631 UA le 28 juin, diminue depuis son apogée le 9 mars (30,924 UA). Prochain périgée le 11 septembre (28,922 UA).
- En latitude Sud depuis 2003 ; en héliocentrique, elle descend jusqu’en 2043 à -1°45’.
En géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 22 février (-1°0’) ; elle descend jusqu’au 24 septembre à -1°6’
- En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’) ;
elle a atteint sa déclinaison maximale annuelle le 19 juin (-4°33’) ; elle remonte ; prochain minimum le 26 novembre (-5°41’).
Triton, la plus grosse des lunes de Neptune fait l’objet d’un projet de mission de la NASA ; article Futura-sciences
Calotte polaire australe de Triton, traînées sombres sans doute laissées par autant de geysers source
– Elle se lève aux alentours de 1h45, loin après Jupiter et Saturne desquelles elle se distancie de plus en plus
Magnitude : -0.3 à -0.5, son éclat augmente vite
Diamètre apparent : 11 secondes d’arc, augmente
Élongation 94° à 96° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 6 juin,
en conjonction au Soleil le 2 septembre 2019 ;
prochaine opposition le 13 octobre 2020. La précédente date du 27 juillet 2018 ;
Conjonctions planétaires
– La précédente a été avec Neptune le 13 juin
La prochaine sera avec Uranus le 20 janvier 2021.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août 2018 ;
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018 (9e VER).
La prochaine va avoir lieu du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL).
- Devant la constellation du Verseau (Aqr) depuis le 9 mai,
elle arrive devant devant les Poissons (Psc) le 24 juin à 21h39, longitude 358°01’ (29e POI), latitude -2°58’-descend.
Elle reste devant cette constellation jusqu’au 8 juillet ; elle arrivera alors devant la Baleine (Cet).
Ci-contre son parcours du 9 janvier 2020 au 3 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 9 janvier 2020)
- En géocentrique dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) depuis le 13 mai, elle entre dans celui du Bélier (longitude 0° à 30°) le 28 juin à 3h27 ; latitude -3°03’ -descend.
Elle va effectuer sa rétrogradation dans ce signe, du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL)
et entrera dans le signe du Taureau (30° à 60°) le 6 janvier 2021.
En héliocentrique, elle signe Verseau du 6 juin au 24 juillet
- Sa distance au Soleil : 1,391 UA le 28 juin, diminue depuis son aphélie le 26 août 2019 (1,666 UA) ; prochain périhélie le 3 août 2020 (1,381 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 0,878 à 0,834 UA ; dernier apogée le 29 août 2019 (2,675 UA). Prochain périgée le 6 octobre 2020 (0,414 UA).
- En latitude Sud depuis le 1er février (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale en héliocentrique le 8 juillet (+1°50’ -invariable)
et sa latitude minimale en géocentrique le 4 septembre (-4°15 ; variable).
Elle passera à son nœud ascendant le 2 décembre
- En déclinaison Sud depuis le 7 octobre 2019, elle remonte
elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 9 février au 3 mars
et a atteint sa déclinaison minimale le 20 février (-23°40’) ;
Elle remonte et passera en déclinaison Nord le 11 juillet.
- Saison sur Mars : c’est l’Automne Nord / Printemps Sud du 8 avril au 1er septembre de notre calendrier grégorien terrestre-)
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia et quelques nouveaux liens :
Mars.aeronomie.be ; Mars one.fr ;
et une pièce d’anthologie : Les Saisons sur la Planète Mars de Camille Flammarion
- Magnitude : 5.8 ; diamètre apparent : 3,4 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 3h05. On peut tenter de la détecter aux jumelles aux alentours de 4h30, dans l’alignement tracé par Vénus qui se lève et Mars
- Son élongation passe de 50° à 56° Ouest.
Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 avril ; elle sera en quadrature Ouest le 2 août et à l’opposition le 31 octobre 2020.
Sa dernière opposition date du 28 octobre 2019 ; sa dernière quadrature Est du 23 janvier ;
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mercure le 1er mai
La prochaine avec Mars le 20 janvier 2021.
-Son mouvement est direct depuis le 11 janvier (3e TAU)
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 26 avril
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 15 août 2020 (11e TAU) au 14 janvier 2021 (7e TAU)
- Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations du 1er janvier 2018 au 16 mai 2023
- Elle signe Taureau :
en héliocentrique du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
en géocentrique, du 6 mars 2019 au 7 juillet 2025, après une première incursion du 15 mai au 6 novembre 2018.
- Sa distance au Soleil : 19,796 UA, diminue ;
dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
- Sa distance à la Terre diminue : 20,326 UA le 28 juin.
Elle est passée à l’apogée le 26 avril (20,81 UA) ; elle sera au périgée le 31 octobre (18,78 UA).
- En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant le 19 mai 2029.
en géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 17 mai : -0°26’ ;
elle descend jusqu’au 14 octobre à -0°28’. Précédent maxima le 13 octobre 2019 (-0°31’).
- En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations.
Elle a atteint un minimum le 9 janvier à +11°56’ ; prochain maximum le 14 août (+14°35’).
Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
– Elle est devenue du matin depuis sa conjonction inférieure le 3 juin
Elle se lève à 4h50 le 21 juin, soit 1 heure 18 minutes avant le Soleil et à 4h26 le 28 juin, soit 1 heure 44 minutes avant lui.
Elle est immanquable dès son lever, à l’Est-nord-est.
Elle va être visible dans le ciel du matin jusqu’en novembre prochain
– - Son élongation passe de 24° à 31° Ouest ;
elle atteindra son élongation Ouest maximale le 13 août (45°47’) et sera en conjonction supérieure le 26 mars 2021
Sa dernière élongation Est maximale date du 24 mars (46°4’),
sa dernière conjonction supérieure du 14 août 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Mercure le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 28 janvier 2021
- Sa portion éclairée passe de 10% à 16% ; elle est en phase de premier croissant
- son diamètre apparent diminue : 50 à 45 secondes d’arc
- magnitude -4.4 à -4.5, son éclat augmente ; il est presque maximal (-4.6)
Vénus, ses phases et son éclat, nouvelle brève sur ce site.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 13 mai (22e GEM)
- Elle reprend son mouvement direct
le 24 juin à 20h05 dans le plan équatorial (ascension droite 4h16m19s, déclinaison +17°43’ -descend)
le 25 juin à 8h45 dans le plan écliptique à la longitude 65°20’28" (6e GEM), latitude -3°35’ (descend) .
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 19 décembre 2021 au 29 janvier 2022
Ci-contre son parcours du 1er janvier au 13 décembre 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er janvier.
- Elle est devant la constellation du Taureau (Tau) depuis le 30 mars ;
et revient sur ses pas devant cette constellation en raison de sa rétrogradation ;
elle ne la quittera que le 5 août ; elle arrivera alors devant Orion (Ori), puis devant les Gémeaux (Gem) le 13 août.
- Elle est dans le signe des Gémeaux (longitude 60° à 90°) du 3 avril au 7 août, et rétrograde dans ce signe
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 juin au 3 juillet
- Sa distance au Soleil : 0,728 UA augmente depuis son périhélie le 20 mars (0,718 UA). Prochain aphélie le 10 juillet (0,728 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 0,333 à 0,371 UA ; elle a atteint son périgée le 3 juin ; prochain apogée le 30 mars 2021 (1,723 UA)
- En latitude Sud depuis le 5 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 14 juillet en géocentrique : -4°31’ (variable) et le 1er août en héliocentrique : -3°23’ -invariable
- En déclinaison Nord depuis le 8 février,
elle est sortie des limites zodiacales du 2 avril au 2 juin,
et a atteint sa déclinaison maximale le 4 mai : +27°49’ ;
elle descend jusqu’à un minimum le 3 juillet (+17°12’),
ensuite elle remontera jusqu’au 17 août à +20°7’ ; puis redescendra et passera en déclinaison Sud le 31 octobre.
magnitude 15.0
Son élongation passe de 155° à 163° Ouest
– Prochaine opposition le 15 juillet 2020. La dernière date du 14 juillet 2019.
elle est passée en quadrature Ouest le 14 avril,
et conjointe au Soleil le 13 janvier 2020
- Conjonctions planétaires
La dernière avec Jupiter le 5 avril
Elle va être à nouveau conjointe à Jupiter le 30 juin, puis le sera encore une fois le 12 novembre en raison de la combinaison de leurs mouvements rétrogrades
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023
– Dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
- Son mouvement est rétrograde depuis le 25 avril (25e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 3 octobre dans le plan équatorial, AD 19h37m et le 4 octobre dans le plan écliptique à la longitude 292°29’ (23e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 25 janvier 2021
- Sa distance au Soleil augmente de 34,064 à 34,068 UA.
Elle est passée au périhélie le 5 septembre 1989 (29,65 UA) et sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 33,132 à 33,095 UA.
Elle est passée à l’apogée le 16 janvier (34,94 UA) ; elle sera au périgée le 13 juillet (33,06 UA).
– Elle est en latitude Sud depuis le 24 octobre 2018 (nœud descendant).
Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
- En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Actuellement, elle descend :
elle a atteint un maximum le 4 avril : -21°56’
prochain minimum le 15 octobre (-22°39’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
dans le plan équatorial sauf mention
– (7) Iris, devant le Sagittaire (Sgr), m 8.9, le 27 juin aux alentours de 4h00 ; déclinaison -20°
Iris se trouve alors à 1,3° au Sud de l’amas ouvert Messier 25
–
– (4) Vesta, m 8.2, qui se trouve devant les Gémeaux (Gem) le 21 juin à 22h21 dans le plan équatorial, ∆+0°22’
Il se produit une occultation de Vesta par la Lune pour l’extrême Nord de l’Europe du Nord ; carte. Inobservable.
– Le 27 juin, entre 22h47 et 23h18, l’astéroïde (336) Lacadiera, de magnitude 12.3,
devrait occulter une étoile de la constellation du Capricorne (Cap), de magnitude 9.7 : TYC 5745-01897-1, ascension droite (J2000) 20h19m30s, déclinaison -10°36’54".
La diminution d’éclat de l’étoile devrait atteindre 2,7 magnitudes et durer près de 13 secondes au maximum
sur la bande de centralité qui balaie le Sud de la Suisse et la France des Alpes à la Bretagne.
De telles observations et mesures effectuées par les astronomes amateurs avertis en différents lieux,
même hors de la bande de centralité, permettent de préciser la forme de l’astéroïde et sa distance grâce à la parallaxe.
Voir euraster.net, site pour l’observation des occutations par des astéroïdes.
observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– C/2019 U6 Lemmon
Comète récemment découverte, magnitude observée 6.4, son éclat augmente ; devant l’Hydre femelle (Hya) puis le Sextant (Sex) à partir du 26 juin, on peut commencer à la chercher aux jumelles en tout début de nuit.
Elle passée est au périhélie le 18 juin à 0,9 UA et va passer au plus près de la Terre le 29 juin à 0,8 UA
– C/2020 F3 NEOWISE, magnitude observée 7.3, son éclat augmente ;
devant Orion (Ori), elle n’est pas observable en ce moment sous nos latitudes mais elle s’élève en déclinaison
et deviendra visible en juillet quand elle arrivera devant le Taureau (Tau) puis le Cocher (Aur) ;
Elle sera au périhélie le 3 juillet à 0,29 UA et au plus près de la Terre le 23 juillet, à 0,69 UA soit 103,4 millions de kilomètres environ
- 2P/Encke : devant les Gémeaux (Gem), il n’y a pas de relevés de magnitude à son sujet. Mais où est Encke ?
magnitude estimée 8.4
elle passe au périhélie le 25 juin ; elle va passer à 0,7 UA de la Terre début juillet ; on l’attend à magnitude 8
- C/2017 T2 PANSTARRS. Magnitude observée : 9.1, son éclat diminue légèrement
Devant la Grande Ourse (UMa) jusqu’au 23 juin puis les Chiens de chasse (CVn) elle est observable toute la nuit
elle est passée au plus près de la Terre le 29 décembre 2019, à 1,5 UA soit 227,4 millions de kilomètres environ et au périhélie le 4 mai à 1,61 UA
– C 58P/Jackson-Neujmin, magnitude observée 11.1 (éclat en diminution) ;
devant le Bélier (Ari) puis le Taureau (Tau) à partir du 27 juin, elle peut être recherchée en fin de nuit. Elle est passée au périhélie le 27 mai.
– C 88P/Howell magnitude observée : 11.8.
elle est passée au plus près de la Terre le 3 juin, à 0,76 UA et sera au périhélie le 27 septembre, à 1,35 UA
Devant la Vierge (Vir), on peut la chercher en début de nuit.
Retrouvez toutes les comètes observées/observables sur theskylive.com et aerith.net,
Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 25 juin, 2P Encke, magnitude 8
– Lune
- Le rover lunaire chinois Yutu-2 et l’atterrisseur Chang’e-4 se sont réveillés de manière autonome le 15 juin et sont entrés dans leur 19e jour lunaire d’activité sur la face cachée de la Lune, article French people.cn
– Soleil
Solar Orbiter, ce que la mission européenne va pouvoir nous apprendre en faisant son premier passage rapproché du soleil, article atlantico
Parker Solar Probe a réussi son 5e et plus proche survol du Soleil le 7 juin à 18,7 millions de kilomètres. Article en anglais sur space.com
- OSIRIS REx et l’astéroïde Bennu
OSIRIS REx découvre que les roches sur Bennu peuvent se fissurer à cause de la lumière solaire, article Futura-sciences
Le programme d’OSIRIS Rex est retardé sans dommages de 2 mois en raison du Covid19 : la sonde s’approchera à 40 mètres de l’astéroïde le 11 août et s’y amarrera pour récolter des échantillons le 20 octobre. Son départ pour la Terre est prévu mi 2021 et son arrivée le 24 septembre 2023. Communiqué de presse NASA source
- Rappel de la rencontre de Voyager 2 avec Neptune en août 1989, article Sciences et vie
Site Voyager-NASA.
- New Horizons , la sonde est si loin qu’elle voit désormais les étoiles différemment de nous, article Futura-sciences
Rappel des lancements et missions spatiales initialement prévues en 2020
Rappels
– Space X
"Crew Dragon DÉCOLLE, Starship EXPLOSE", vidéo d’Hugo Lisoir
L’exploitation conjuguée des données de SOFIA (Observatoire stratosphérique pour l’astronomie en infrarouge, un Boeing 747 dédié à l’observation en vol de phénomènes astronomiques),
de New Horizons et de son antécédant, le Kuiper Airborne Observatory
permettent aujourd’hui de dire que l’atmosphère de Pluton doit être beaucoup plus résiliente qu’on ne le supposait jusqu’ici (on pensait que son atmosphère disparaissait avec son éloignement du Soleil)
- Hayabusa2 et l’astéroïde Ryugu
Les astéroïdes Bennu et Ryugu seraient nés de la destruction d’un gros astéroïde, communiqué de presse du CNRS
– En route pour Mercure, souvenir du [survol de la Terre par Bepi Colombo le 10 avril ; en images sur Futura Sciences ; dans le ciel brésilien ; le "chant magnétique" de la Terre, Tweet de l’ESA sur Libération
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées :
Rosetta - Une poussière clandestine révèle la présence de sels d’ammonium sur la comète 67P Tchouri, article Clubic
court-métrage à partir des photos réalisées par la sonde européenne sur Les Numériques
Spitzer - Grâce au télescope Spitzer, on connait le tempo d’une danse complexe entre des trous noirs article numerama
Liens à suivre pour ne rien rater
– INSU, ESA France, Autour du ciel, Futura-Espace ; Ciel des Hommes
– La chaîne YouTube d’Hugo Lisoir : on y parle astronomie, astronautique, New Space, recherche etc…
– La chaîne astro
Rappels
– Astronews du 2 juin ; SpaceX : Décollage et amarrage réussis !
– La lettre de l’IMCCE de juin n°169. Ce mois-ci :
L’occultation de Vénus par la Lune le 19 juin 2020 ;
Le solstice d’été 2020 ;
L’éclipse de Lune par la pénombre du 5 juin 2020 ;
L’éclipse annulaire de Soleil du 21 juin 2020 ;
Ciel du mois ;
La Connaissance des temps, épisode V ;
Météorite jurassienne
– La lettre du guide du ciel n°161 (1er juin 2020) de Guillaume Cannat : présentation du Guide du Ciel 2020-2021
– Astrosurf magazine numéro 104, mai-juin 2020, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie. Riche sommaire : C/2019 Y4 Atlas : la grande comète de l’épidémie ? ; NGC 6188, les dragons de l’Autel ; Une comète au bord du cœur ; Observation du Soleil avec un spectrohéliographe ; Le Soleil et le papillon ; 2020, la conjonction de Jupiter avec Saturne ; L’amas globulaire M92 ; Au coeur du Dragon ; A l’extrémité du ciel, IC 4537 ; Test matériel : Celestron 700, Maksutov Cassegrain 180 mm ; L’observatoire du Cap de Guzet ; Le couteau suisse de l’observateur nomade ; Observatoire du Pic du Midi, la révolution tranquille
La nouvelle plaie du ciel, les satellites Starlink. Une galerie photo dédiée est ouverte sur spaceweather.com et elle est déjà bien garnie !
– Le ballet subtil des lunes de Neptune
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
Astrologique
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [2], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
[UA<-UA]- Redéfinition de l’Unité Astronomique sur la base de la distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Mesurer l’Univers, cours de l’Observatoire de Paris, ouvert à tous et gratuit
Notez en regard vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] découvreur du RET et fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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