mardi 20 décembre 2016, par
Merci de votre soutien à la Cagouille Céleste [1]
UTC (Universal Coordinated Time - Temps Universel Coordonné)
=
– heure légale d’hiver - 1 heure
La Lune
– Elle marque les signes de Vierge (dernier degré) à Capricorne
– Elle passe de la constellation de la Vierge (Vir) à celle du Sagittaire (Sgr)
– Le 21, Dernier Quartier, passe en déclinaison Sud ; le 22, conjoint Jupiter ; le 23, conjoint Spica ; le 25, apogée ; le 26, latitude maximale ; le 27, conjoint Antarès et Saturne ; le 28, dernier croissant ; le 29, déclinaison minimale, conjoint Mercure, Nouvelle Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation du Sagittaire ; dans le signe du Capricorne à partir du 21, 11h33 : solstice d’Hiver Nord / été Sud.
– Mercure, rétrograde, conjoint Nunki le 24 ; en conjonction inférieure le 28, périgée le 29
– Uranus, rétrograde, déclinaison minima le 27 ; reprend son mouvement direct le 29
– En héliocentrique : Mars opposé Jupiter le 22 ; Mercure : signe Gémaux le 22, périhélie et conjoint Saturne le 25, signe Cancer le 27 ; Jupiter, latitude maxima le 28
– A 3h41, la Lune entre dans le signe de la Balance ; Lg 180° à 210°
– A 11h33, SOLSTICE d’hiver Nord / été Sud : le Soleil atteint sa déclinaison minimale et entre dans le signe du Capricorne = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique .
– A 15h11, la Lune passe en déclinaison Sud : elle traverse le plan équatorial ; déclinaison 0° ; ascension droite 12h25m33s. Longitude écliptique 185°51’ (6e BAL), latitude +2°32’ (monte).
– Aux alentours de 1h00, l’ astéroïde (68) Leto à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial.
– A 7h13, Mars opposé Jupiter en héliocentrique .
– A 9h35, maximum de l’essaim météoritique des Ursides
- A 17h39, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, la planète 2°24’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 71° Ouest.
– A 19h29, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, Δ +2°17’ ; longitude 200°3’ (21e BAL). A remarquer en fin de nuit du 22 et du 23 ; apprécier le déplacement de la Lune par rapport à la planète et à l’étoile.
– A 20h34, Mercure entre dans le signe des Gémeaux en héliocentrique .
– A 22h59, la Lune est conjointe à Spica dans le plan équatorial, l’étoile (alpha Virgo) 6°8’ au Sud.
– A 3h34, la Lune est conjointe à Spica dans le plan écliptique Δ+5°42’ ; longitude 204°4’49’’. Spica (alpha Virginis) marque depuis 2014, pour 70 ans environ, le 25e degré du signe de la Balance. Remarquable au petit matin du 22 et du 23, en compagnie de Jupiter.
– A 15h34, la Lune entre dans le signe du Scorpion ; Lg 210° à 240°
– A 20h26, Lune sextil Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (3e SCO/CAP)
– A 1h28, Mercure parallèle Saturne (plan équatorial 21° S)
– A 2h59, Mercure conjoint Nunki (étoile sigma Sgr) dans le plan équatorial
– A 4h41, la Lune arrive devant la constellation de la Balance (Lib) ; longitude 204°37’ (25e BAL)
– A 15h12, Mercure conjoint Nunki dans le plan écliptique
– De 22h53 à 23h11, occultation d’une étoile de la constellation du Cocher (Aur) par l’ astéroïde (22) Kalliope
– Aujourd’hui, la planète Mercure entre dans le champ du coronographe Lasco C3 .
– A 1h18, Saturne trigone Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (21e BEL/SAG)
– A 6h54, la Lune à l’apogée : au plus loin de la Terre à 405 870 kilomètres environ, soit 63,63 rayons terrestres ; diamètre apparent : 29,4 minutes d’arc. Longitude 229°24’ (20e SCO), latitude +4°51’ - monte ; ascension droite 15h13m16s, déclinaison -12°54’ - descend.
– A 13h (12h UTC), l’équation de temps est nulle.
– A 14h24, Vénus trigone Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (21e VER/BAL)
– A 15h37, Mercure au périhélie
– A 17h26, Vénus sextil Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (21e VER/BEL)
– A 19h34, Vénus sextil Saturne en géocentrique dans le plan écliptique (21e VER/SAG)
– A 22h26, Mercure opposé Saturne en héliocentrique .
– A 22h29, Mercure parallèle Pluton (plan équatorial 21° S)
– A 4h20, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270°
– A 7h56, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 241°47’ (2e SAG)
– A 15h12, la Lune atteint sa latitude maximale : +5°3’23" par rapport au plan de l’écliptique. Longitude 245°24’ (6e SAG) ; ascension droite 16h17m41s, déclinaison -16°13’ - descend.
– A 18h20, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 246°57’ (7e SAG)
– A 19h33, Jupiter opposé Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (21e BAL/BEL)
- A 21h27, la Lune est conjointe à l’étoile Antarès (alpha Scorpii ; m 1.1) dans le plan équatorial, l’étoile 9°43’ au Sud. On peut les remarquer en compagnie de Saturne, au Sud-est, juste avant le lever du jour par horizon bien dégagé ; des jumelles peuvent être nécessaires pour distinguer l’étoile
– A 0h25, la Lune est conjointe à l’étoile Antarès dans le plan écliptique ∆ +9°36’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°0’5". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque désormais pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire ; à la conjonction précédente (le 29 novembre), elle marquait encore le 10e.
– A 5h20, Mercure sextil Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (10e CAP/POI)
- Période de libration minimale en latitude pour la Lune (B= -6,6°) ; elle dévoile son Sud au maximum ; contrairement à la semaine dernière, le cratère Grimaldi se retrouve loin du limbe, sur le terminateur du fin croissant : le Soleil est en train de s’y coucher.
– A 9h08, Soleil sextil Mars en géocentrique dans le plan écliptique (7e CAP/POI)
– A 15h00, Mercure entre dans le signe du Cancer en héliocentrique .
– A 15h03 Uranus atteint sa déclinaison minimale : +7°28’ (Nord)
– A 15h45, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique.
– A 16h41, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
- A 21h40, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial, la planète 3°36’ au Sud ; élongation solaire de Saturne 16° Ouest.
– A 22h10, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, Δ +3°35’ ; longitude 260°53’ (21e SAG). Délicat à remarquer, aux alentours de 7h45, par horizon dégagé le 27 et le 28, au lever du dernier croissant de Lune, en compagnie d’Antarès.
– Aux alentours de 1h00, l’ astéroïde (2) Leto à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial.
– Aux alentours de 7h, Jupiter atteint sa latitude maximale du point de vue héliocentrique
– A 8h09, dernier croissant de cette lunaison, théoriquement visible seulement à l’aide d’un instrument (tenter quand même sa chance à l’œil nu) : de 1,10 %, 23 heures et 44 minutes avant la Nouvelle Lune ; à la frontière des constellations Ophiuchus et Sagittaire, azimut 125°, hauteur +6° alors que le Soleil est à 3° sous l’horizon. La Lune se lève 1 heure 6 minutes avant le Soleil, soit à 7h23 pour notre localisation, à l’azimut 116° ; longitude écliptique -27e SAG.
– A 16h (15h UTC), l’ultime croissant de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument par 23° Nord et 133° Ouest (Pacifique, au large du Nouveau Mexique). Voir les très fins croissants de Lune
– A 8h50, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°16’ (27e SAG)
– A 16h13, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300°
– A 18h20, Mercure conjoint Soleil dans le plan géo-équatorial
– Vers 19h, remarquer Vénus à 1° de l’étoile Deneb Algedi (Capricorne, magnitude 2.8)
– A 19h40, conjonction inférieure de Mercure dans le plan géo-écliptique = Mercure conjoint Terre en héliocentrique
– A 0h07, Mercure sextil Mars en géocentrique dans le plan écliptique (8e CAP/POI)
– Aujourd’hui, la comète C/2016 T2 Matheny au périhélie
– A 4h32, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -18°57’43" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; AD 18h26m29s ; longitude écliptique 276°16’ (7e CAP), latitude +4°19’ (descend). Elle culmine au plus b as dans l’hémisphère Nord aux alentours de 13h : 25° de hauteur pour la latitude 45°N.
– A 5h45, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan écliptique, la planète 1°45’ au Sud ; longitude 276°43’ (7e CAP). Invisible.
– A 5h55, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan équatorial, Δ +1°46’ ; élongation solaire de Mercure 3° Ouest.
– A 8h15,
Mercure au périgée <.A>
– A 8h32, Uranus
reprend son mouvement direct dans le plan écliptique
– A 15h20, Uranus reprend son mouvement direct dans le plan équatorial
- devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 18 décembre au 18 janvier.
– Sur l’image ci-contre, la position du Soleil devant les constellations à notre époque, jour après jour du 20 novembre à 14h (29e SCO) au 25 avril (6e TAU) (les planètes sont positionnées au 20 novembre). Rappelons que la précession des équinoxes décale sa position devant les étoiles d’un degré tous les 70 ans.
– SOLSTICE de décembre : début de l’Hiver dans l’hémisphère Nord / de l’Eté dans l’hémisphère Sud :
– le 21 décembre à 11h27, il atteint sa déclinaison minimale : Nord -23°26’13” et il passe à 18h d’ascension droite à 11h33.
– A la même heure (11h33), il entre dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique. Il reste dans ce signe jusqu’au 19 janvier ; il était en Sagittaire (longitude 240° à 270°) depuis le 21 novembre.
– Nous entrons dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud reçoit un maximum d’ensoleillement mais un petit moins chaque jour, l’Hémisphère Nord en reçoit un minimum mais un petit peu plus chaque jour : dans l’hémisphère Nord, la durée du jour est nettement inférieure à celle de la nuit mais elle commence à augmenter/ la durée de la nuit est nettement supérieure à celle du jour mais elle commence à diminuer ; dans l’hémisphère Sud, la durée de la nuit est nettement inférieure à celle du jour mais elle commence à augmenter / la durée de jour est nettement supérieure à celle de la nuit mais elle commence à diminuer.
– Thème du solstice (ingrès Capricorne) ; autres themes universels 2015-2016. [2]
- En raison de l’équation de temps, le jour se décale vers l’après-midi depuis le 4 novembre ce qui fait que le Soleil se couche un petit peu plus tard chaque soir depuis le 13 décembre. L’équation de temps est nulle le 25 décembre à 13h (12h UTC) - le midi vrai a lieu au même instant que le midi moyen - et va vers un maximum positif - le midi vrai après le midi moyen), qu’elle atteindra le 11 février. Autrement dit, ce jour, le midi vrai a lieu au midi moyen et à partir de là il a lieu après le midi moyen. Car, si la durée d’un jour est déterminée par l’intervalle entre deux passages successifs du Soleil au méridien, il faut savoir que cette heure qui est celle du midi vrai, est variable en raison de l’équation de temps.
– Pour en savoir + : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA , - techno-science et encore celui-ci.
- Cela fait qu’en décembre et janvier le Soleil culmine de plus en plus tard (de 20 à 30 secondes par jour pour notre latitude) ; jusqu’au 21 ou 22 décembre (solstice d’hiver), la durée du jour diminue mais à partir du 12 décembre le décalage dû à l’équation de temps est plus important que l’avance de son coucher. C’est la Sainte Luce, le 13, avec son célèbre dicton "à la Sainte Luce le jour croît d’un saut de puce". La durée totale du jour continue pourtant à raccourcir jusqu’au solstice, le 21 ou le 22 décembre : le Soleil se lève de plus en plus tard et sa culmination et son coucher sont retardés. A partir du solstice, les jours commencent à rallonger, le Soleil se couche de plus en plus tard, mais comme sa culmination se produit aussi de plus en plus tard, il faut attendre début janvier pour que son lever cesse de retarder.
- Nous assistons donc aux levers du soleil les plus tardifs de l’année dans l’hémisphère Nord :
– pour 40° Nord, du 30 décembre au 9 janvier à 8h22
– pour 45° Nord, du 27 décembre au 8 janvier à 8h38
– pour 50° Nord, le 30 et 31 décembre à 8h59.
– Conjonction inférieure de Mercure le 28 décembre , à 18h20 dans le plan équatorial, Mercure 2°25’ au Nord. La conjonction dans le plan écliptique a lieu à 19h40 à la longitude 277°28’ – 8e CAP ; latitude Mercure +2°26’ (monte) (coordonnées moyennes de la date). C’est la conjonction Terre-Mercure en héliocentrique soit un alignement Soleil-Mercure-Terre. Mercure atteint son périgée le 29 décembre à 18h15. La prochaine conjonction supérieure de Mercure aura lieu le 7 mars ; prochaine conjonction inférieure le 20 avril.
- Dans le champ du coronographe Lasco C3 [3] : la planète Mercure du 25 décembre au 1er janvier que l’on peut voir devant les amas ouverts du Sagittaire. On commence à les y voir apparaître dans cette vue du 19 décembre.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français.
– Le 21 décembre à 11h33, la Terre entre dans le signe du Cancer Longitude 90° à 120° = le Soleil entre dans le signe du Capricorne du point de vue géocentrique .
– Le 22 décembre à 20h34, Mercure entre dans le signe des Gémeaux ; longitude 60° à 90° ; elle y reste jusqu’au 1er janvier.
– Le 22 décembre à 7h13, Mars opposé Jupiter ; longitude 10°/190°12’ (11e BEL/BAL) ; latitude Mars -1°10’ (monte), Jupiter +1°18’ (monte). Elles sont en contre-parallèle de latitude, à 8 minutes près.
– Le 25 décembre à 15h37, Mercure au périhélie : au plus près du Soleil à 0,307 500 UA soit environ 46 millions de kilomètres ; longitude écliptique 77°31’ (18e GEM - invariable, sauf l’ avance de 1°33’ par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude +3°24’ (monte) ; en géocentrique, sa longitude est de 281°32’ (2e SAG - variable) ; sa latitude +1°30’ (monte). Prochaine aphélie le 8 février.
– Le 25 décembre à 22h26, Mercure opposé Saturne ; longitude 79°/259°29’ (20e GEM/SAG) ; latitude Mercure +3°35’ (monte), Saturne +1°24’ (descend).
– Le 27 décembre à 15h00, Mercure entre dans le signe du Cancer ; longitude 90° à 120° ; elle y reste jusqu’au 27 décembre
- Le 28 décembre aux alentours de 7h, Jupiter atteint sa latitude maximale : +1°18’11" au Nord du plan de l’écliptique - notation +1°18’11" - c’est la valeur de l’inclinaison de l’orbite de Jupiter sur l’écliptique. Longitude 190°39’ (11e BAL - invariable sauf l’avance de l’axe des nœuds : 1°1’53" par siècle en termes linéaires). En géocentrique, Jupiter a atteint sa latitude minimale pour cette année le 18 septembre ; elle atteindra sa valeur maximale le 6 avril prochain : +1°34’. C’est une question de points de vue relatifs. En héliocentrique, Jupiter descend desormais jusqu’au 12 décembre 2022 et passera à son noeud descendant le 26 février 2020.
– Le 28 décembre à 19h40, Mercure conjoint Terre ; longitude 97°28’ - 8e CAN) ; latitude Mercure +5°17’ (monte) (coordonnées moyennes de la date) ; c’est la conjonction inférieure de Mercure en géocentrique.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h12 le 21 décembre et à 17h17 le 29. Il se lève à 8h26 le 21 décembre et à 8h29 le 29. Correction en longitude [4]. La durée du jour commence à augmenter (de 2 minutes en 8 jours) mais en raison de l’équation de temps, elle se décale vers le soir : on perd 3 minutes le matin mais on en gagne 5 le soir.
– La Lune à son Dernier Quartier se lève grosso modo autour de minuit (vrai), culmine au lever du Soleil, et se couche vers midi (vrai). Au fil des jours, en croissant de plus en plus fin, elle se lève de plus en plus tard (de 60 à 47 minutes) en deuxième moitié de nuit et culmine de plus en plus tard dans la matinée. La Nouvelle Lune se lève, culmine et se couche à peu près en même temps que le Soleil.
– La lumière zodiacale est possible à voir du 17 décembre jusqu’à la fin du mois, dans un ciel limpide et sans pollution lumineuse en début de nuit, au Sud-Ouest, devant le Capricorne et le Verseau (où brille Vénus et Mars). Voir cet article de Guillaume Cannat. Elle devient également visible en fin de nuit à partir du 27 décembre, jusqu’au 10 janvier, à l’Est-sud-est, devant la Balance et la Vierge, où brille Jupiter.
- Elle n’est pratiquement plus visible le 21, elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 le 25 et se trouve en conjonction inférieure le 28 décembre à 19h40. Elle est conjointe à la Nouvelle Lune le 29 décembre.
Nous la retrouverons dans le ciel du matin dès le début janvier, elle atteindra son élongation maximale le 19 janvier et restera visible tout le mois dans d’assez bonnes conditions.
– Sa dernière conjonction supérieure date du 27 octobre ; sa dernière élongation maximale du 11 décembre .
– Elle est en phase décroissante jusqu’à sa conjonction au Soleil (Nouvelle Mercure) ; sa fraction éclairée est alors de 0%.
- Son mouvement est rétrograde du 19 décembre au 8 janvier .
– Elle reste devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 30 novembre au 7 février. Ci-contre son parcours du 25 juillet 2016 au 28 février 2017. Les autres planètes sont positionnées au 15 juillet 2016.
– Et dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 2 décembre au 4 janvier ; elle reviendra alors en Sagittaire jusqu’au 12 janvier (elle y reprendra son mouvement direct le 8), puis sera à nouveau en Capricorne jusqu’au 7 février.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 17 au 22 décembre, Gémeaux du 22 au 27, puis Cancer jusqu’au 1er janvier.
– Elle se retrouve à nouveau conjointe à Nunki le 24 décembre (sigma Sgr, Sagittaire, magnitude +2.05) : à 2h59 dans le plan équatorial, l’étoile 4°28’ au Sud et à 15h12 dans le plan écliptique Δ+4°37’ ; longitude 282°37’ -13e CAP. Nunki est l’étoile à l’angle haut de l’anse de théière que peut figurer le Sagittaire ; elle marque dans le ciel, à notre époque, le 13e degré du signe du Capricorne. En raison de sa rétrogradation , Mercure se retrouve conjointe à l’étoile comme cela a déjà eu lieu le 13 décembre ; elle y sera conjointe une troisième fois, le 26 janvier. Inobservable cette fois-ci car trop près du Soleil ; le premier rapprochement était observable dans le ciel du soir ; le prochain le sera dans le ciel du matin.
– En latitude Nord depuis le 20 décembre (noeud ascendant). Elle atteindra sa latitude maximale le 4 janvier en géocentrique et le 5 janvier en héliocentrique.
– En déclinaison Sud depuis le 10 octobre, elle remonte depuis le 2 décembre ; elle est rentrée dans les limites zodiacales le 17 décembre et passera en déclinaison Nord le 14 mars 2017.
– Distance au Soleil : elle atteint son périhélie le 25 décembre à 15h37 : au plus près du Soleil à 0,307 500 UA soit environ 46 millions de kilomètres. Elle s’en éloigne ensuite jusqu’à sa prochaine aphélie le 8 février. Aphélie précédente le 11 novembre.
– Elle atteint son périgée le 29 décembre à 18h15 : au plus près de la Terre à 0,674 494 UA soit 100,85 millions de kilomètres environ ; longitude 224°33’ -15e SCO ; latitude -0°10’ -descend). Cela est lié à sa conjonction inférieure au Soleil le 28 décembre . A partir de là sa distance à la Terre augmente, jusqu’à sa prochaine apogée le 28 février ; apogée précédente le 2 novembre .
- Elle rayonne maintenant de tous ses feux dans le ciel du soir ; à 46° d’élongation à l’Est du Soleil, elle est quasiment à son maximum, qu’elle atteindra le 12 janvier. Elle se couche 3 heures 42 minutes après le Soleil le 21 décembre et 3 heures 54 minutes après lui le 29. Sa prochaine conjonction inférieure aura lieu le 25 mars 2017. Sa dernière conjonction supérieure date du 6 juin 2016.
– En phase gibbeuse décroissante , sa portion éclairée passe de 61% à 58% ; son diamètre apparent augmente et dépasse 21 secondes d’arc, sa magnitude augmente aussi légèrement : -4.3 (maximum -4.6). Voir les phases de Vénus.
- Devant la constellation du Capricorne (Cap) du 7 au 31 décembre, elle se rapproche de Mars, laquelle se rapproche de Neptune.
– Son mouvement est direct du 6 septembre 2015 au 4 mars 2017. Ci-contre son parcours du 27 août 2016 au 2 juillet 2017 ; les autres planètes sont positionnées au 14 août 2016.
- Le 28 décembre, aux alentours de 19h, elle se trouve à 1° au Nord de l’étoile Deneb Algedi (delta du Capricorne, magnitude 2.8). La différence d’éclat entre les deux astres est de plus de 7 magnitudes, ce qui fait que Vénus brille 700 fois plus fort que l’étoile.
– Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) du 7 décembre au 3 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 19 décembre au 7 janvier.
– Sa distance au Soleil : 0,723 UA diminue depuis son aphélie le 31 octobre. Elle atteindra son périhélie le 21 février.
- Sa distance à la Terre diminue : de 0,849 à 0,789 UA ; elle était à l’apogée le 7 juin 2016 ; prochain périgée le 25 mars 2017.
– En latitude Sud depuis le 26 septembre (noeud descendant), elle a atteint sa latitude minimale le 22 novembre en héliocentrique et le 1er décembre en géocentrique. Elle monte et passera à son nœud ascendant le 17 janvier.
– En déclinaison Sud depuis le 1er septembre, elle a atteint son minimum le 14 novembre et remonte ; elle est sortie des limites zodiacales du 26 octobre au 3 décembre. Elle passera en déclinaison Nord le 30 janvier 2017.
- Elle culmine encore pratiquement au coucher du Soleil et, comme elle avance à grands pas devant les étoiles, elle se couche encore 1 minute plus tard que la semaine dernière : 22h21 pour notre localisation. Éclat en diminution : magnitude +0.9 à +1.0 ; diamètre apparent : inférieur à 6 secondes d’arc, en diminution.
– Elle va rester visible jusqu’au mois de mars, en compagnie de Vénus -qui ne parviendra cependant pas à la rattraper tout à fait car elle entrera en rétrogradation juste avant-.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 13 septembre . Sa dernière opposition date du 22 mai. Sa prochaine conjonction aura lieu le 27 juillet 2017 ; sa prochaine opposition le 27 juillet 2018.
- Son mouvement est direct du 30 juin 2016 au 26 juin 2018. Elle a achevé sa dernière boucle de rétrogradation le 11 septembre dernier.
– Ci-contre son parcours du 10 septembre 2016 au 7 juin 2017 (les autres planètes sont positionnées au 15 août 2016)
– Devant la constellation du Verseau du 15 décembre au 19 janvier, elle s’approche de Neptune, à laquelle elle sera conjointe le 1er janvier.
– Elle est dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) du 19 décembre au 28 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Bélier du 5 décembre au 24 janvier.
– Sa distance au Soleilaugmente : 1,401 à 1,407 UA. Elle est passée à son périhélie le 29 octobre. Prochaine aphélie le 8 octobre 2017 ; aphélie précédente le 20 novembre 2015.
– Sa distance à la Terre augmente de 1,568 à 1,622 UA ; dernier périgée le 29 mai 2016 ; prochaine apogée le 5 août 2017.
– En latitude Sud depuis le 28 avril (nœud descendant), elle a atteint sa latitude minimale le 1er août en géocentrique (-2°52’) et le 3 octobre en héliocentrique (-1°50’). Elle passera en latitude Nord (nœud ascendant) le 27 février 2017.
– En déclinaison Sud depuis le 18 novembre 2015 ; elle est sortie des limites zodiacales du 8 août au 30 octobre 2016 et a atteint son minimum le 23 septembre (-25°55’). Elle remonte et passera en déclinaison Nord le 29 janvier 2017.
– Devant la constellation du Verseau, elle culmine un peu avant le coucher du Soleil et se couche aux alentours de 22h45 ; magnitude 7.9, diamètre apparent 2,2 secondes d’arc. Elle est passée quadrature Est du Soleil le 1er décembre. C’est la fin de sa période d’observation, mais les conditions sont encore bonnes cette semaine et Mars arrive en courant dans le champ de l’oculaire !
– Sa prochaine conjonction au Soleil aura lieu le 2 mars 2017, sa prochaine opposition le 4 septembre 2017 ; sa dernière opposition a eu lieu le 2 septembre 2016.
- Son mouvement est direct depuis le 20 novembre . Elle sera conjointe au Soleil le 2 mars, achèvera sa boucle de rétrogradation le 10 mars et entamera sa nouvelle rétrogradation le 16 juin. Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,952 UA) diminue très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,406 UA le 29 décembre, augmente depuis son périgée, le 2 septembre. Elle atteindra son apogée le 3 mars.
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend en héliocentrique jusqu’en 2043.
– en géocentrique, elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 20 septembre. Prochain maxima le 11 février.
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint son minima annuel le 19 novembre. Prochain maxima le 13 juin 2017 ; précédent le 10 juin 2016.
– Devant les Poissons, en excellentes conditions d’observation, elle culmine à près de 55° de hauteur aux alentours de 19h50 et se couche autour de 2h20. Elle reste observable jusqu’en février.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 15 octobre, sera en quadrature Est le 10 janvier, conjointe au Soleil le 14 avril ; sa prochaine opposition aura lieu le 19 octobre 2017.
– A l’opposition de Jupiter dans le plan écliptique le 24 décembre à 15h53 dans le plan équatorial et le 25 à 19h33 dans le plan écliptique.
- Elle reprend son mouvement direct le 29 décembre : à 8h32 dans le plan écliptique à la longitude 20°33’32’’ (21e BEL), latitude -0°36’ -monte et à 15h20 dans le plan équatorial, ascension droite 1h16m52s, déclinaison +7°28’ -monte (coordonnées moyennes de la date). Elle était rétrograde depuis le 29 juillet. Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le jour de sa conjonction au Soleil, le 14 avril 2017 et entamera la nouvelle le 3 août. Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Dans le Signe du Bélier de 2010 à 2018
- Sa distance au Soleil : 19,941 UA, diminue depuis son aphélie en février 2009, jusqu’à son périhélie, en août 2050.
– Sa distance à la Terre augmente : 19,704 UA le 29 décembre. Dernier périgée le 14 octobre ; prochaine apogée le 15 avril 2017.
– En latitude Sud :
– en héliocentrique, elle monte depuis le 4 janvier 2007 ; elle passera à son noeud ascendant en 2029.
– en géocentrique, elle a atteint un minimum le 5 octobre . Elle remonte jusqu’au 28 avril 2017.
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle atteint son minimum annuel le 27 décembre à 15h03 : +7°28’4" ; ascension droite 1h16m52" ; longitude 20°33’, latitude -0°36’ (monte). Prochain maximum le 2 août 2017 (+10°24’) ; maximum précédent le 28 juillet 2016.
- Elle est devenue le phare des fins de nuit. De magnitude -1.9 (éclat en augmentation), de plus en plus proche de l’étoile Spica (alpha de la Vierge), elle se lève aux alentours de 2h15 et atteint sa culmination, à 40° de hauteur environ, aux alentours de 7h50.
– Conjointe à la Lune le 22
– Sa dernière opposition au Soleil date du 8 mars 2016. La prochaine sera le 7 avril. Sa conjonction a eu lieu le 26 septembre.
- Ci-contre son parcours du 1er juillet 2016 au 1er janvier 2018. Elle est devant la constellation de la Vierge (Vir) du 9 août 2016 au 15 novembre 2017 et son diamètre apparent est d’environ 35 secondes d’arc, en augmentation.
– A l’opposition d’Uranus le 24 décembre à 15h53 dans le plan équatorial (déclinaison Jupiter -6°46’ -descend, Uranus +7°28’ -descend) ; et le 25 à 19h33 dans le plan écliptique (21e BAL/BEL) ; latitude Jupiter +1°15’ -monte) ; Uranus -0°35’ -monte). En raison de leurs rétrogradations, cet aspect se reproduira deux autres fois en géocentrique : le 3 mars et le 28 septembre 2017. En héliocentrique, l’opposition aura lieu le 12 juillet.
– La dernière conjonction (en héliocentrique) entre ces deux planètes lentes date du 24 septembre 2010 (29e POI) ; la prochaine aura lieu le 14 mars 2024 (23e TAU) ; l’opposition suivante aura lieu en 2031. Leur intercycle moyen de conjonction est de 13-14 ans.
– Observer au télescope le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites : le 28, aux alentours de 3h, Callisto semble raser le pôle Nord jovien ; le même jour, vers 5h, Ganymède et Io sont à l’Est tandis que Callisto et Europe sont au Nord-ouest ; le 29, aux alentours de 5h, les quatre dessinent un zigzag à l’Ouest de la planète ; autres phénomènes : voir la fiche imprimable.
– Dans le signe de la Balance du 9 septembre 2016 au 14 octobre 2017. En héliocentrique, elle signe Balance du 9 août 2016 au 10 septembre 2017.
– Son mouvement est direct depuis le 9 mai ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 7 août ; elle entamera sa prochaine rétrogradation le 6 février 2017.
– Sa distance à la Terre diminue de 5,717 à 5,590 UA ; dernière apogée le 25 septembre. Prochain périgée le 9 avril 2017.
– Sa Distance au Soleil augmente de mars 2011 à février 2017. Actuellement 5,456 UA. Elle arrive à son aphélie le 17 février 2017.
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre aux alentours de 7h. A partir de là, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 et passera à son noeud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint un minimum le 18 septembre ; prochain maximum le 6 avril 2017.
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre, son prochain minimum aura lieu le 3 février 2017. Elle restera en déclinaison Sud jusqu’en mai 2022.
- Elle fait son apparition dans le ciel de l’aube. Elle se lève déjà 50 minutes avant le Soleil le 21 et 1 heure 22 minutes avant lui le 29. Il faudra cependant attendre février pour pouvoir l’observer dans de bonnes conditions en fin de nuit, car sa position devant la constellation d’Ophiuchus (Oph - du 30 novembre 2015 au 22 février 2017) ne l’entraîne pas haut dans notre ciel boréal.
– Le 27, conjointe à la Lune en dernier croissant sûrement visible à l’œil nu.
– Sa dernière conjonction au Soleil date du < A HREF="#solcoplae">10 décembre. Sa prochaine opposition sera le 15 juin 2017. La dernière date du 3 juin 2016.
– Devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) du 30 novembre 2015 au 22 février 2017.
– Ci-contre son parcours devant les constellations d’Ophichus et du Sagittaire du 1er septembre 2016 au 3 janvier 2019.
– Son mouvement est direct du 13 août 2016 au 6 avril 2017 (du 10e au 28e degré du signe du Sagittaire) ; elle a achevé sa dernière boucle de rétrogradation le 19 novembre.
– Dans le signe du Sagittaire du 18 septembre 2015 au 20 décembre 2017 en géocentrique et du 30 mars 2015 au 14 décembre 2017 en héliocentrique.
– Sa distance au Soleil (10,048 UA) augmente de juillet 2003 à avril 2018.
– Sa distance à la Terre diminue de 11,016 à 10,984 UA ; elle est passée à l’apogée le 10 décembre. Prochain périgée le 15 juin.
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint un maximum le 16 mai 2016 et descend jusqu’au 13 janvier 2017.
– En déclinaison Sud du 9 septembre 2010 au 26 mars 2026, elle a atteint sa déclinaison maximale pour cette année le 29 juillet (-20°17’). Prochain minimum en mars 2017.
– Images planétaires, site de Marc Delcroix
– Images planétaires, ciel profond et autres trésors célestes sur la galerie d’images d’astrosurf.
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024 ; magnitude 14.3 ; diamètre apparent 0,12" (1,2 dixième de secondes d’arc).
– Dernière quadrature Est le 10 octobre . Dernière opposition au Soleil le 7 juillet 2016. Elle sera conjointe au Soleil le 7 janvier ; prochaine opposition le 10 juillet 2017.
– Son mouvement est direct du 25/26 septembre 2016 au 19 avril 2017 ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 17 janvier 2017 et entamera sa prochaine rétrogradation le 19 avril.
– Sa distance à la Terre augmente de 34,175 à 34,212 UA. Elle a atteint son périgée le 5 juillet ; prochaine apogée le 9 janvier prochain.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,236 à 33,241 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114.
– En déclinaison Sud depuis 1988 et descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 3 novembre ; prochain maximum le 4 avril 2017. Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– Dernières vues et données sur Pluton par New Horizons
– (68) Leto, m 10.6, devant le Cocher (Aur), le 22 décembre aux alentours de 1h dans le plan équatorial.
– (22) Kalliope, m 10.1, devant le Cocher (Aur), le 28 décembre aux alentours de 1h dans le plan équatorial.
– (3) Junon, m 11.4, devant Ophiuchus (Oph) le 27 décembre à 15h45 dans le plan écliptique (18e SAG), l’astéroïde 5°8’ au Nord et à 16h41 dans le plan équatorial ∆ -5°10’.
– Occultation d’étoile par un astéroïde
- Le 24 décembre, de 22h53 à 23h11, l’astéroïde (22) Kalliope (diamètre 209 km : magnitude 10.1) occulte une étoile de magnitude 8.3 (1UT620-148966) de la constellation du Cocher (Aur - AD 6h27m55s / déclinaison +33°54’59" - coordonnées J2000) pour les observateurs avertis situés autour de la bande de centralité qui balaie la moitié Sud de la France. La diminution d’éclat de l’étoile devrait être de 2 magnitudes au moins et durer 17 secondes au maximum sur la ligne de centralité. Télécharger le logiciel gratuit Occult 4). TYC 6794-00433-1 sur SIMBAD. Ce genre d’observation, à laquelle se consacrent des amateurs avertis est fort utile pour préciser la forme des astéroïdes et la distance des étoiles, grâce à la parallaxe que permettent les différents sites géographiques des observateurs.
[5]
– Le 22 décembre à 9h35, maximum des Ursides (URS) ; radiant Grande Ourse (UMa) - actif du 17 au 26 décembre ; taux horaire zénithal (zhr) : 10.
et aussi :
– dernières Coma Berenicides (COM) ; radiant Chevelure de Bérénice (Com) - actif du 12 au 23 décembre ; maximum le 16 décembre.
– Leonis Minorides de Décembre (DLM) ; radiant Petit Lion (LMi) - actif du 5 décembre au 4 février ; maximum le 20 décembre.
– Quadrantides (QUA) ; radiant Bouvier (Boo) - actif du 28 décembre au 12 janvier ; tient son nom de l’ancienne constellation du Quadrant ; maximum le 4 janvier.
Essaims mineurs - maximums :
– Le 22 décembre à 9h35, tau Puppides (TPU) - Poupe (Pup - HS - actif du 19 au 30 décembre.
– Le 27 décembre à 7h25, omega Canis Majorides (OCM) - Grand Chien (CMa - actif du 17 décembre au 4 janvier.
– Trois comètes de magnitude 12 environ observables :
– 45P/Honda-Mrkos-Pajdusakova : mesurée à magnitude 10.9 le 6 décembre, son éclat augmente rapidement. Devant le Capricorne, elle va disparaître en janvier près du Soleil et réapparaîtra en février ; elle sera alors à 0,08 UA de la Terre et on l’attend à magnitude 6.
– C/2016 U1 ( NEOWISE ) : récemment découverte, mesurée à magnitude 11.2 le 6 décembre, son éclat augmente rapidement. Elle passe d’Hercule (Her) à Ophiuchus (Oph) et reste observable dans de bonnes conditions dans le ciel du matin jusqu’à début janvier puis elle disparaîtra dans l’écat du Soleil duquel elle s’approchera à 0,3 UA le 14 janvier ; elle pourrait alors atteindre la magnitude 7 mais elle ne brillera alors que pour l’Hémisphère Sud.
– C/2015 V2 (Johnson) : mesurée à magnitude 12 le 5 décembre, on l’attend à magnitude 7 l’été prochain. Elle se trouve entre la queue de la Grande Ourse (UMa) et le Bouvier (Boo) ; elle est observable dans de bonnes conditions jusqu’en juillet prochain, en deuxième moitié de nuit pour le moment.
– Autres comètes observables, voir aerith.net
Au périhélie
– Le 29 décembre, C/2016 T2 Matheny, magnitude 19
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
– sur le site de la Cité de l’Espace
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
Suivre
– Pluton et la sonde New Horizons. Le dernier paquet de données recueillies le 14 juillet 2015 a été reçu le 27 octobre. Beaucoup de découvertes ! Voir Astronews
– La sonde Dawn autour de Cérès. De la glace partout ! Voir Astronews
– La sonde Cassini autour de Saturne->https://saturn.jpl.nasa.gov/].
– Astronews du 19 décembre ; au sommaire : CR conférences : SAF - l’Univers et l’Homme (J. Fric ) - La gnomonique arabo-islamique (Éric Mercier) ; IAP : Les galaxies lointaines (B Rocca ) ; RCE 2016 ; In Memoriam : John Glenn ; Thomas Pesquet ; Rosetta, surprises sur Churyumov-Gerasimenko ; Cérès, de la glace partout ! New Horizons : l’océan de Pluton aurait-t-il pu abriter la vie ? - l’environnement spatial autour de Pluton - ses glaciers décryptés ; Étranges propriétés quantiques du vide ; Galileo (système européen de navigation) en vitesse de croisière ; JWST, construction terminée ! Station Spatiale Chinoise de retour sur Terre ; Pourquoi la couronne solaire est-elle beaucoup plus chaude que sa surface ? Le Nil vu du ciel ! Les Mathématiques de l’Astronomie : Bernoulli ...
Rappels
– Les nouvelles du ciel de PGJ Astronomie sur ce site
– La lettre de l’IMCCE de décembre ; Solstice d’hiver en 2016 ; Ajout d’une seconde intercalaire le 1er janvier 2017 ; Éphémérides nautiques 2017 ; Connaissance des temps 2017 - Éphémérides astronomiques ; Première mise en évidence de la déformation de Saturne par les effets marées.
– La lettre du guide du ciel n°116 (1er décembre 2016)
– Astrosurf magazine numéro 83, la revue d’astronomie pratique novembre-décembre 2016
– Le Verrier et les 170 ans de la découverte de Neptune : site de l’observatoire de Paris
– Blog Autour du ciel de Guillaume Cannat
– Notre environnement stellaire et galactique
– Site pédagogique sur la cosmologie
– Observation et dessin en astronomie
– Fil d’actu de Ciel et Espace
- Astrologie conditionnelle, trois parutions de livres de Richard Pellard au format PDF dont deux nouveautés : "Les Significations planétaires" et "L’astrologie, la nanification de Pluton & les astres transplutoniens" ainsi qu’une réédition à l’occasion du centenaire de sa naissance : "Sous le ciel de Jarnac, un Scorpion nommé François Mitterrand".
– Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [6], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
- Ethnoastronomie : nouvelle publication de Chantal Jègues – Wolkiewiez : "Le Chef de tribu de la Vallée des Merveilles" , approche ethnoastronomique d’un omphalos signant la fin de l’ère du Taureau”, donne l’explication et l’interprétation de cette unique pierre levée du site, par les chamans ou prêtres-astronomes de l’âge du Bronze ancien.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Le radiotélescope Wursburg, de l’Observatoire de Bordeaux est à la disposition des observateurs amateurs.
– +++ convertisseur de coordonnées
– convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] Voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ? » ; poèmes}
[3] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[4] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE.
[6] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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