dimanche 4 février 2018, par
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La Lune
– Elle marque les signes Scorpion à Verseau
– Elle passe de la constellation de la Balance (Lib) à celle du Capricorne (Cap)
– Le 7, latitude maximale, Dernier Quartier, conjoint Jupiter ; le 9, conjoint Mars et Antarès ; le 1, apogée, conjoint Saturne ; le 12, déclinaison minimale, conjoint Nunki et Pluton ; le 14, dernier croissant, nœud descendant ; le 15, conjoint Mercure, éclipse partielle de Soleil (pour Antarctique) et Nouvelle Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation du Capricorne (Cap)
– dans le signe du Verseau
– au carré de Jupiter dans le plan écliptique le 11 (quadrature Ouest de Jupiter)
– le 8, Mars arrive devant Ophiuchus et Vénus devant le Sagittaire
– le 9, Mercure apogée
– le 11, Vénus signe Poissons ; Mercure latitude minimale
– le 12, Mars conjoint Antarès
– le 15, latitude minimale pour Vénus, maximale pour Neptune
– En héliocentrique : le 9, Mercure signe Verseau ; le 12, Vénus conjoint Neptune ; le 14, Mercure et Vénus latitude minimale
A 2h38, Vénus sextil Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (26e VER/BEL)
- Période de libration minimale en latitude (B= -6,8°). Elle présente son Sud au maximum ; aujourd’hui et demain nous pouvons assister au coucher du Soleil sur la mer des Pluies (Mare Imbrium).
– A 9h21, la Lune atteint sa latitude maximale : +5°17’54" au Nord du plan de l’écliptique ("ailes du Dragon") ; longitude : 224°55’ (15e SCO) ; ascension droite 14h56m12s, déclinaison -11°4-descend. Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à <A HREF=#lunoeudaxe des nœuds (il est donc également rétrograde ; en Scorpion/Taureau du 9 mai 2017 au 6 novembre 2018).
- A 20h46, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, la planète 4°17’ au Sud ; élongation solaire de Jupiter 87° ouest. Remarquable le 8 au matin.
– A 22h56, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, Δ +4°7’ ; longitude 231°54’ (22e SCO).
Aujourd’hui, la comète 245P WISE au périhélie
- De 4h20 à 5h06 (pour notre localisation), la Lune occulte l’étoile Zuben El Akrab -38 Lib (Balance, magnitude 3.9). L’étoile disparaît du côté éclairé du disque lunaire et réapparaît du côté ombre puisque nous sommes en Lune décroissante ; à la réapparition de l’étoile, les deux astres sont à 23° de hauteur environ, la portion éclairée de la Lune étant de 45%.
– A 7h16 Mars arrive devant la constellation d’Ophiuchus.
– A 7h40, maximum de l’essaim météoritique des alpha-Centaurides.
– A 12h58, Lune parallèle Soleil (plan équatorial 14° S)
– A 14h53, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270° ; sa latitude est alors de +5°7’ -monte.
– A 18h29, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 241°48’ (2e SAG) ; latitude +5°4’, descend.
– A 19h02, Vénus arrive devant la constellation du Verseau (Aqr).
A 4h52, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 247°0’ (8e SAG) ; latitude +4°54’, descend.
– A 5h36, Mercure entre dans le signe du Verseau en héliocentrique.
- A 6h11, la Lune est conjointe à Mars dans le plan équatorial, la planète 4°23’ au Sud ; élongation solaire de Mars 72° ouest. Remarquable dans le ciel ce matin, en compagnie d’Antarès.
– A 7h38, la Lune est conjointe à Mars dans le plan écliptique, Δ +4°18’ ; longitude 248°23’ (9e SAG).
– A 7h59, la Lune est conjointe à l’étoile Antarès (alpha Scorpii ; m 1.1) dans le plan équatorial, l’étoile 9°32’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu à 9h53, ∆ +9°22’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’6". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire. La Lune se lève peu après 3h, suivie par l’étoile une heure plus tard .
– A 14h01, la Lune conjoint l’astéroïde (4) Vesta dans le plan écliptique.
– A 14h17, la Lune conjoint l’astéroïde (4) Vesta dans le plan équatorial.
– A 18h25, Mercure à l’apogée
Aujourd’hui, la comète 2011 KE au périhélie
– A 10h15, Lune sextil Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (22e SAG/VER)
– A 16h09 , Mars conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan équatorial
– A 19h51, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sag) ; longitude 266°18’ (27e SAG) ; latitude +3°58’, descend.
A 0h05, Vénus entre dans le signe des Poissons en géocentrique
– A 0h15, Soleil carré Jupiter dans le plan géo-écliptique (quadrature Ouest de Jupiter).
– Aujourd’hui, les comètes P/2017 Y3 Leonard et 2017 W3 Gibbs au périhélie
– A 3h20, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300° ; sa latitude est alors de +3°44’ -descend.
– A 13h, l’équation de temps atteint son premier maximum positif de l’année : +14 minutes et 14 secondes.
– A 15h15, la Lune à l’apogée : au plus loin de la Terre à 405 700 kilomètres environ, soit 63,61 rayons terrestres ; diamètre apparent : 29,5 minutes d’arc. Longitude 275°51’ (6e CAP), latitude +3°20’, descend ; ascension droite 18h24m52s, déclinaison -19°57’, descend.
- A 15h16, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, la planète 2°28’ au Sud ; longitude 275°51’ (6e CAP). Remarquable dans le ciel ce matin, non loin d’Antarès et de Mars. La Lune se lève peu avant 5h, suivie par Saturne, une demi-heure plus tard.
– A 15h30, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial , Δ +2°27’ ; élongation solaire de Saturne 47° ouest.
– A 20h12, Mercure parallèle Jupiter (plan équatorial 17° S)
– A 23h54, Mercure atteint sa latitude minimale du point de vue géocentrique : -2°5’
A 0h10, Mars conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan écliptique
– A 0h22, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -20°1’40" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; AD 18h43m58s ; longitude écliptique 280°20’ (11e CAP), latitude +3°0’ (descend). Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord aux alentours de 10h30 (le 12) : 24° de hauteur pour la latitude 45°N.
En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026 ; en savoir plus.
- A 5h03, la Lune est conjointe à l’étoile Nunki (sigma Sagittaire ; m 2) dans le plan écliptique, l’étoile 6°17’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) : 282°38’ (13e CAP). En raison de la précession des équinoxes, Nunki marque de nos jours le 13e degré du signe du Capricorne. La conjonction dans le plan équatorial a lieu à 6h17, ∆ +6°16’. La Lune se lève aux alentours de 5h45, suivie par l’étoile une demi-heure plus tard.
– A 20h21, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan écliptique, la planète naine 1°50’ au Sud ; longitude 290°10’ (21e CAP). Deviner Pluton non loin de Nunki
– A 20h54, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan équatorial , Δ +1°50’ ; élongation solaire de la Lune 34° ouest.
– A 23h41, Vénus conjoint Neptune en héliocentrique.
– A 23h55, Mars parallèle Pluton (plan équatorial 21° S)
Aujourd’hui, la planète Vénus sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 16h11, la Lune entre dans le signe du Verseau ; Lg 300° à 330° ; sa latitude est alors de +1°22’ -descend.
– A 16h32, la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 300°10’ (1er VER) ; latitude +1°21’, descend.
– A 23h40, Mercure carré Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (23e VER/SCO)
A 3h24, Soleil sextil Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (26e VER/BEL)
- A 7h42, dernier croissant de Lune théoriquement visible seulement à l’aide d’un instrument mais pouvant être tenté à l’œil nu : de 2,40%, 38 heures et 23 minutes avant la Nouvelle Lune, à 4° de hauteur et 121° d’azimut pour notre localisation, le Soleil étant à 2° sous l’horizon ; il se lève 46 minutes avant le Soleil, à 7h08, à l’ azimut 115° pour notre localisation ; dans le 8e degré du signe du Verseau.
– A 18h36, Mercure atteint sa latitude minimale du point de vue héliocentrique.
– A 21h20, Vénus atteint sa latitude minimale du point de vue héliocentrique : -3°23’
– A 22h10, la Lune passe au nœud descendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud. Longitude 314°59’ (15e VER) ; (ascension droite : 21h9m50s, déclinaison -16°20’ -monte). L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Lion/Verseau du 9 mai 2017 au 6 novembre 2018.
Aux alentours de 7h (6h UTC), l’ultime croissant de cette lunaison est théoriquement observable avec un instrument par 20° Sud et 46° Est (Madagascar). Voir les très fins croissants de Lune
– Aux alentours de 7h, remarquez avec un instrument l’alignement des quatre lunes galiléennes de Jupiter.
– A 16h08, Mercure sextil Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (26e VER/BEL)
– A 17h01, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
– A 19h05, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan écliptique, la planète 1°3’ au Sud ; longitude 325°36’ (26e VER). Invisible.
– A 19h57, la Lune est conjointe à Mercure dans le plan équatorial , Δ +2°27’ ; élongation solaire de la Lune 1° ouest.
– A 20h27, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique.
– A 21h04, Vénus atteint sa latitude minimale du point de vue géocentrique : -1°27’
– A 21h51, maximum d’une éclipse partielle de Soleil dont la bande de centralité traverse l’Antarctique. Elle est partiellement visible au sud de l’Amérique du Sud.
– Elle fait suite à l’éclipse totale de Lune du 31 janvier.
– La prochaine éclipse de Soleil sera partielle et aura lieu le 13 juillet prochain et ne sera visible qu’en Antarctique.
– Cette Nouvelle Lune est celle du Nouvel An chinois qui advient le 16 février car à l’heure de la Nouvelle Lune, c’est déjà le 16 en Chine. Cette année lunaire (nián : 年) est une année 戊戌 (Wùxū) qui correspond à la onzième branche terrestre 戌 (xū) associée au signe du chien 狗 (gǒu) et au cinquième tronc céleste 戊 (wù) associé à l’élément terre 土 (tŭ). C’est une année commune de douze mois lunaires. Elle succède à l’année du Coq de Feu Yin "jī dīng" (鷄丁). L’année solaire (suì : 歲 岁) est une année commune de onze mois lunaires, elle commence au solstice d’hiver (dōng zhì 冬至) du 22 décembre 2017 et se termine le 21 décembre 2018, veille du solstice d’hiver suivant (dōng zhì 冬至).
Voir le calendrier chinois pour 2018 de Patrick Rocher ; du même auteur le calendrier chinois, ainsi que wikipedia. Le prochain nouvel an chinois sera le 5 février 2019 ; ce sera l’année du Cochon/Porc de Terre Yin.
– A 22h28, la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 327°19’ (28e VER) ; latitude -1°7’, descend.
– A 23h37, Neptune atteint sa latitude maximale du point de vue géocentrique : -0°54’
devant la constellation du Capricorne (Cap) du 20 janvier au 16 février. Il arrivera alors devant le Verseau (Aqr).
– Ci-contre, sa position devant les constellations et dans le plan équatorial à notre époque, jour après jour à 13h du 1er janvier (12e CAP) au 2 juillet (11e CAN) (les planètes sont positionnées au 1er janvier). Rappelons que la précession des équinoxes décale sa position devant les étoiles d’un degré tous les 70 ans.
– Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) = la Terre est dans le signe du Lion en héliocentrique du 20 janvier, 3h56 au 18 février, 18h05.
- Nous sommes dans la deuxième phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : dominance (F) du Sud (-) avec croissance (v) du Nord (+) : l’Hémisphère Sud (-) reçoit davantage d’ensoleillement (F) mais un petit peu moins chaque jour (L-) alors que le Nord (+) en reçoit moins (f) mais un petit peu plus chaque jour (v+) : dans l’hémisphère Nord, la durée du jour est inférieure à celle de la nuit (f+) mais elle augmente sérieusement (v+) / la durée de la nuit est supérieure à celle du jour (F-) mais elle diminue sérieusement (L-) ; dans l’hémisphère Sud, la durée de la nuit est inférieure à celle du jour (F-) mais augmente sérieusement (v+) / la durée de jour est supérieure à celle de la nuit (F-) mais elle diminue sérieusement (v+).
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- pour la formule majeure : Force d’excitation recréatrice (F+) car l’induction du milieu de saison concentre la Force d’inhibition du phénomène dominant décroissant (F- = ensoleillement du pôle Sud), ce qui induit la polarité opposée ;
et pour la formule mineure, f-, car l’induction du milieu de saison concentre la Force d’excitation du phénomène secondaire croissant (f+ =ensoleiilement du pôle Nord) ce qui induit la polarité opposée.
2- pour la formule majeure : L- = "L" pour Lenteur ou inertie et "-" pour le Sud dominant ;
pour la formule mineure : v+ (vitesse d’excitation du Nord)
3- pour la formule majeure : en sens des Dosages (sD)
pour la formule mineure : phase paradoxale (signes de milieu de saison).
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– [Thèmes des entrées du Soleil en signes ; [2]
– Le Soleil est au carré de Jupiter le 11 février à 0h15 dans le plan écliptique (longitude 322°/232°10’ - 23e VER/SCO) - c’est la quadrature Est de Jupiter. L’aspect a eu lieu le 30 janvier à 19h48 en héliocentrique (Terre carré Jupiter) et le 6 févrierà 2h08 dans le plan géo-équatorial.
- L’équation de temps atteint son premier maximum positif de l’année le 11 février à 13h : +14 minutes et 14 secondes. Elles sont à ajouter au midi vrai pour avoir le midi moyen - ou à retrancher au midi moyen pour avoir le midi vrai : le midi vrai a lieu 14 minutes 14 secondes après le midi moyen à votre méridien. Prochain maximum négatif le 14 mai (-3m41s)
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [3] : la planète Vénus du 5 décembre au 13 février ; la planète Mercure du 6 au 26 février (elle y croisera Neptune le 25 février) ; l’étoile Deneb Algedi (delta du Capricorne) du 6 au 20 février.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français.
– Le 9 février à 5h36, Mercure entre dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) ; sa latitude est alors de -6°36’ (descend). Elle y reste jusqu’au 17 février.
– Le 12 février à 23h41, Vénus conjoint Neptune ; longitude 343°49’ (14e POI) ; latitude Vénus -3°23’ (descend), latitude Neptune -0°55’ (descend).
- Le 14 février à 18h36 Mercure atteint sa latitude minimale : -7°0’19" au Sud du plan de l’écliptique - notation -7°0’19" - c’est la valeur de l’inclinaison de l’orbite de Mercure sur l’écliptique. Longitude 318°32’ -19e VER - invariable (sauf l’avance de l’axe de ses nœuds : 0°54’3" par siècle en termes linéaires). En géocentrique, c’est le 11 février à 23h54 que Mercure atteint sa latitude minimale : -2°5’33". C’est une question de points de vue relatifs.
– Le 14 février à 21h20 Vénus atteint sa latitude minimale : -3°23’41" au Sud du plan de l’écliptique - notation -3°23’41" - c’est la valeur de l’inclinaison de l’orbite de Vénus sur l’écliptique. Longitude 346°50’ -17e POI - invariable (sauf l’avance de l’axe de ses nœuds : 1°11’10" par siècle en termes linéaires). En géocentrique, c’est le 15 février à 21h04 que Vénus atteint sa latitude minimale : -1°27’48". C’est une question de points de vue relatifs.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 18h06 le 7 février et à 18h18 le 15. Il se lève à 8h04 le 7 février et à 7h53 le 15.
Correction en longitude [4].
– A notre latitude, la durée du jour augmente de 11 minutes le soir et 12 le matin ; au total, elle augmente de 23 minutes (19 minutes en 7 jours la semaine dernière) ; son augmentation s’accélère ; elle cesse de se décaler sur le soir car l’équation de temps atteind son 1er maximum positif le 11 février (+14m14s).
La Lune :
– A son Dernier Quartier, elle se lève grosso modo autour du minuit vrai, culmine au lever du Soleil, et se couche aux alentours du midi vrai.
– Au fil des jours, en croissant de plus en plus fin, elle se lève de plus en plus tard en deuxième moitié de nuit (de 61 à 32 minutes à 44°34’N de latitude terrestre), culmine de plus en plus tard dans la matinée et se couche de plus en plus tard dans l’après-midi.
– La Nouvelle Lune, se lève, culmine et se couche à peu près en même temps que le Soleil.
- Il est encore temps de mirer de l’étoile variable Mira de la Baleine (omicron Ceti) qui a atteint son maximum début février : sa luminosité double en trois semaines puis décroît jusqu’à rendre l’étoile invisible deux mois plus tard.
infos en anglais popastro.com, britastro
– La lumière zodiacale est possible à voir du 3 au 18 février en début de nuit après la fin du crépuscule astronomique, à l’ouest, devant les Poissons ; c’est la meilleure période de l’année pour l’observer en début de nuit. En savoir plus sur la lumière zodiacale
– Le 8 février, à 7h40, maximum des alpha-Centaurides (ACE) actif du 31 janvier au 20 février ; pour l’hémisphère Sud ; zhr : 6.
et aussi :
– Virginides (VIR) actif du 25 janvier au 15 avril ; maximum le 25 mars
– delta-Léonides (DLE) actif du 15 février au 10 mars ; maximum le 25 février
Elle est passée en conjonction supérieure le 9 janvier. Sa prochaine élongation maximale (Est) sera le 17 août, sa prochaine conjonction inférieure le 26 octobre.
– Elle se couche après le Soleil, un peu plus tard chaque soir et sort enfin, le 13 février, du champ du coronographe Lasco C3 dans lequel elle se trouvait depuis le 5 décembre ; le 15, elle se couche à 19h02 pour notre localisation, soit 44 minutes après le Soleil. Elle devient discernable à l’oeil nu par un horizon limpide.
– Sa portion éclairée commence à diminuer (99%) et son diamètre apparent, 10 secondes d’arc, à augmenter. Voir les phases de Vénus.
Devant la constellation du Capricorne (Cap) depuis le 17 janvier, elle arrive devant le Verseau (Aqr) le 8 février à 19h02 à la longitude 327°13’ -28e VER, latitude -1°26’, descend ; elle reste devant cette constellation jusqu’au 3 mars. Elle arrivera alors devant les Poissons.
– Ci-contre son parcours du 1er décembre 2017 au 3 juin 2018 ; les autres planètes sont positionnées au 1er décembre.
– Son mouvement est direct du 13 avril 2017 au 5 octobre 2018 ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 18 mai 2017.
– Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) depuis le 18 janvier, elle entre dans celui des Poissons (longitude 330° à 0°) le 11 février à 0h05 (latitude -1°27’, descend) et reste dans ce signe jusqu’au 6 mars.
– En héliocentrique, elle signe Poissons du 4 au 23 février.
– Sa distance au Soleil : 0,727 UA diminue depuis son aphélie le 23 janvier (0,728 UA). Prochain périhélie le 15 mai (0,718 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 1,696 à 1,686 UA ; elle est passée à l’apogée le 11 janvier (1,711 UA) ; prochain périgée le 27 octobre 2018 (0,272 UA).
– En latitude Sud depuis le 20 décembre (nœud descendant), elle atteint sa latitude minimale :
– le 14 février à 21h20 du point de vue héliocentrique -3°23’41" ; longitude 17e POI).
– le 15 février à 21h04 du point de vue géocentrique : -1°27’48", à la longitude 336°6’ (6e POI) ;
Ensuite, elle monte et passera en latitude Nord le 12 avril (nœud ascendant).
– En déclinaison Sud depuis le 17 octobre ; elle est sortie des limites zodiacales (23°26’12") du 21 décembre au 4 janvier et a atteint son minimum le 28 décembre (-23°42’) ; elle monte et passera en déclinaison Nord le 9 mars.
– Devant la constellation du Verseau, elle se couche aux alentours de 20h00, soit au début du crépuscule astronomique : c’en est fini de son observation, jusqu’à la saison prochaine, à partir de l’été.
– Elle sera conjointe au Soleil le 4 mars ; sa prochaine opposition aura lieu le 7 septembre.
– Elle est passée en quadrature Est le 3 décembre et à l’opposition du Soleil le 4 septembre.
- Son mouvement est direct depuis le 22 novembre (12e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 13 mai et entamera sa prochaine rétrogradation le 30 juillet.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,944 UA) diminue très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,891 UA le 15 février, augmente depuis son périgée le 4 septembre (29,93 UA). Prochain apogée le 5 mars 2018 (30,94 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (-1°45’).
– En géocentrique, elle atteint un maximum dans ses fluctuations annuelles le 15 février aux alentours de 23h37 : -0°54’18", à la longitude 343°16’. Précédent minima le 21 septembre 2017 : -0°56’. ; prochain minima le 23 septembre 2018 (-1°0’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 21 novembre (-8°7’) : son prochain maximum annuel sera le 16 juin (-6°12’).
- Elle se couche aux alentours de 23h40. Elle est passée à l’opposition du Soleil le 19 octobre et en quadrature Est le 17 janvier.
– Elle est encore observable en début de nuit, la Lune ayant déserté le ciel. Magnitude : 5.8 ; diamètre apparent : 3,5 secondes d’arc.
– Elle sera conjointe au Soleil le 18 avril 2018 et sa prochaine opposition aura lieu le 24 octobre 2018 ; conjonction précédente le 14 avril 2017.
Devant les Poissons jusqu’en mai 2018, son mouvement est direct depuis le 2 janvier ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 19 avril et entamera sa prochaine rétrogradation le 7 août.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– Dans le signe du Bélier
– en héliocentrique, du 22 janvier 2011 au 2 septembre 2018
– en géocentrique, en raison de ses rétrogradations : une première entrée du 27 mai au 14 août 2010 ; puis du 11 mars 2011 au 15 mai 2018 ; et un retour du 6 novembre 2018 au 6 mars 2019.
– Sa distance au Soleil : 19,898 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 20,400 UA le 15 février. Elle est passée au périgée le 19 octobre 2017 (18,91 UA) ; prochain apogée le 19 avril 2018 (20,89 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son noeud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier annuel de latitude minimale le 8 octobre 2017 (-0°36’). Prochain maximum 4 mai 2018 (-0°31’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte : elle a atteint son minimum annuel le 31 décembre (+8°59’). Prochain maximum le 6 août (+11°50’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’)
– Elle se lève aux alentours de 2h, maintenant plus d’une heure avant Mars, qui l’a doublée sur l’écliptique le 7 janvier.
– Magnitude -2.1, diamètre apparent 37 secondes d’arc, en augmentation.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 9 mai et la dernière date du 7 avril 2017. Sa conjonction au Soleil a eu lieu le 26 octobre 2017.
– conjointe à la Lune le 7 février, pour le Dernier Quartier
– Elle est au carré du Soleil le 11 février à 0h15 dans le plan géo-écliptique ; l’aspect a eu lieu le 30 janvier dans le plan hélio-écliptique (Terre carré Jupiter) et le 6 février dans le plan géo-équatorial.
- Ci-contre son parcours du 1er novembre 2016 au 19 février 2019 (le Soleil et les planètes sont positionnés au 1er novembre 2016).
– Devant la constellation de la Balance (Lib) du 15 novembre 2017 au 20 novembre 2018.
Observer au télescope le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
- le 15 février, aux alentours de 7h, les quatre lunes galiléennes sont alignées à l’Est de la planète dans l’ordre Europe, Io, Ganymède, Callisto.
Tous les phénomènes observables sur la fiche Ephebdo imprimable.
– Son mouvement est direct depuis le 9 juin ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 7 septembre 2017 et entamera la prochaine le 9 mars.
– Dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) du 10 octobre 2017 au 8 novembre 2018 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Scorpion du 10 septembre 2017 au 6 octobre 2018.
– Sa distance au Soleil : 5,425 UA le 15 février, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche désormais du Soleil pour 6 de nos années environ, jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 5,389 à 5,255 UA ; elle est passée à l’apogée le 25 octobre 2017 (6,435 UA) ; prochain périgée le 10 mai 2018 (4,399 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude minimale annuelle le 12 novembre 2017 (+1°0’) ; prochain maximum le 25 avril 2018 (+1°16’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016, elle descend ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juin 2017 (-3°55’) ; prochain minimum le 6 mars 2018 (-17°24’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’).
- Elle se lève aux alentours de 3h25. De magnitude +1.0, son éclat augmente ; diamètre apparent : 6 secondes d’arc, en augmentation.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 22 mai 2016 ; la prochaine aura lieu le 27 juillet prochain. Dernière conjonction le 27 juillet 2017.
– conjointe à la Lune le 9 février.
Devant la constellation du Scorpion (Sco) depuis le 31 janvier, elle arrive devant Ophiuchus (Sco) le 8 février à 7h16 ; longitude 247°47’ (8e SAG), latitude +0°33’ (descend) ; elle reste devant cette constellation jusqu’au 11 mars. Elle arrivera alors devant le Sagittaire (Sgr).
– Son mouvement est direct du 30 juin 2016 au 26 juin 2018. Elle a achevé sa dernière boucle de rétrogradation le 11 septembre 2016.
– Ci-contre son parcours du 1er janvier au 24 octobre 2018 (les autres planètes sont positionnées au 1er janvier 2018)
- Elle est conjointe à Antarès (alpha Scorpion, magnitude 1.05) le 10 février à 16h09 dans le plan équatorial, l’étoile 5°10’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 12 février à 0h10, ∆ +5°5’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’6". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire.
Remarquable, la planète et l’étoile "rivale de Mars", côte à côte, toutes deux rougeoyant et pratiquement de même éclat. Mais Mars est une planète et Antarès une étoile ; c’est le moment d’en profiter pour remarquer ce qui différencie visuellement ces deux types d’astres : le scintillement de l’étoile est beaucoup plus prononcé que celui de la planète. La planète semble plus figée car son diamètre apparent absorbe les fluctuations de la turbulence atmosphérique alors que l’étoile, qui n’est qu’un point de lumière, est fortement affectée par cette turbulence.
– Elle est dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 26 janvier au 17 mars.
– En héliocentrique, elle signe Scorpion du 4 février au 5 avril.
– Sa distance au Soleil diminue de 1,596 à 1,587 UA. Elle est passée à l’aphélie le 8 octobre 2017. Prochain périhélie le 17 septembre 2018.
– Sa distance à la Terre diminue de 1,608 à 1,529 UA ; dernier apogée le 5 août 2017 ; prochain périgée le 31 juillet 2018.
– En latitude Nord depuis le 27 février 2017 (noeud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale le 30 août en héliocentrique (+1°50’) et le 22 septembre en géocentrique (+1°10’). Elle descend et passera en latitude Sud (nœud descendant) le 16 mars 2018.
– En déclinaison Sud depuis le 27 octobre 2017, elle descend ; elle sortira des limites zodiacales (23°26’) une première fois du 16 mars au 8 avril 2018 avec un minimum le 27 mars à -23°33’ ; elle remontera jusqu’au 4 juin à -21°41’, puis repassera hors-limites zodiacales du 7 juillet au 24 septembre avec un minimum le 16 août à - 26°29’. Elle passera en déclinaison Nord le 2 janvier 2019.
– Saison sur Mars : c’est l’été Nord /hiver Sud ; le solstice a eu lieu le 20 novembre 2017 de notre calendrier grégorien terrestre.
- Elle se lève de plus en plus tôt dans le ciel matinal, aux alentours de 5h30. Elle sera en quadrature Ouest le 29 mars, à l’opposition le 27 juin.
Sa dernière conjonction au Soleil date du 21 décembre, sa précédente opposition du 15 juin 2017, sa quadrature Est du 14 septembre.
– conjointe à la Lune le 11 février.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +26,2° à + 25,8° au cours du mois de février. Elle devient observable.
– Élongation maximale de Titan à l’Est le 7 février à 4h18 ; à l’Ouest le 15 février à 5h54.
Devant la constellation du Sagittaire depuis le 24 février 2017, elle a fait un retour devant Ophiuchus (Oph) (où elle a repris son mouvement direct le 25 août) du 18 mai au 19 novembre. Elle reste désormais devant le Sagittaire jusqu’au 16 décembre 2020.
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; elle y reviendra ensuite de mars à décembre 2020 en raison de l’effet de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct du 25 août 2017 au 18 avril 2018 (du 22e degré du signe du Sagittaire au 10e Capricorne). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 1er décembre.
– Sa distance au Soleil (10,065 UA) augmente depuis juillet 2003. Elle va atteindre son aphélie le 17 avril prochain.
– Sa distance à la Terre diminue de 10,760 à 10,659 UA ; dernier apogée le 21 décembre 2017 ; prochain périgée le 27 juin 2018.
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 18 mai 2017 (+1°22’). Elle descend jusqu’au 22 février (à +0°52’).
– En déclinaison Sud du 9 septembre 2010 au 26 mars 2026, elle a atteint un minimum le 29 décembre (-22°32’). Prochain maximum le 19 avril (-22°14’) ; elle atteindra son minimum absolu en octobre 2018 (-22°46’).
– Elle passe de 8° à 3° d’élongation Ouest. Le 15 février, elle se lève après le Soleil et se couche avant lui . Elle est dans le champ du coronographe Lasco C3 du 6 au 26 février.
– Elle va être en conjonction supérieure le 17 février.
– sa prochaine conjonction inférieure aura lieu le 1er avril ; la dernière a eu lieu le 13 décembre et son élongation maximale le 1er janvier.
– conjointe à la Lune le 15 février, juste avant la Nouvelle Lune.
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 97% à 100%. Son diamètre apparent est minimum : 4,8 secondes d’arc.
- Son mouvement est direct du 23 décembre (14e SAG) au 23 mars (17e BEL). Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 10 janvier (30e SAG).
Ci-contre son parcours du 7 janvier au 10 juin 2018 ; les autres planètes sont positionnées au 7 janvier.
– Devant la constellation du Capricorne (Cap) du 31 janvier au 16 février.
– Dans le signe du Verseau (300° à 330°) du 31 janvier au 18 fevrier.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 29 janvier au 9 février, puis Verseau jusqu’au 17 février.
– En latitude Sud depuis le 15 janvier (noeud descendant), elle atteint sa latitude géocentrique minimale le 11 février à 23h54 : -2°5’33", à la longitude 318°55’ (19e VER). Elle atteint sa latitude héliocentrique minimale le 14 février, à 18h36 : -7°0’19", à la longitude 138°32’ (19e VER). A partir de là elle monte : elle passera en latitude Nord (noeud ascendant) le 5 mars.
– En déclinaison Sud du 2 octobre 2017 au 6 mars 2018 (hors-limites zodiacales du 9 novembre au 7 décembre), elle a atteint son minimum le 24 novembre (-25°46’) puis un maximum le 22 décembre (-19°25’), puis un nouveau minimum le 19 janvier (-23°28’) ; elle est rentrée dans les limites zodiacales le 21 janvier ; elle remonte et passera en déclinaison Nord le 6 mars.
– Distance au Soleil : elle diminue de 0,443 à 0,406 UA ; dernier aphélie le 25 janvier (0,466 UA) ; prochain périhélie le 10 mars (0,307 UA).
– Distance à la Terre : elle atteint son apogée le 9 février à 18h25 : au plus loin de la Terre à 1,402 798 UA soit 209,85 millions de kilomètres environ ; longitude 315°5’ -16e VER ; latitude -2°4’ -descend. Cela est lié à sa conjonction supérieure au Soleil qui aura lieu le 17 février. A partir de là sa distance à la Terre diminue, jusqu’à son prochain périgée qui aura lieu le 5 avril ; périgée précédent le 13 décembre (0,677 UA).
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Sa prochaine opposition aura lieu le 13 juillet.
- Elle n’est pas observable.
– Conjointe à la Lune le 12
– Son mouvement est direct du 28 septembre 2017 au 22 avril 2018, du 17e au 22e degré du signe du Capricorne ; elle a achèvé sa boucle de rétrogradation le 18 janvier.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,500 à 33,505 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 34,361 à 34,290 UA. Dernier apogée le 11 janvier (34,46 UA) ; prochain périgée le 10 juillet (32,58 UA).
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 28 octobre (-21°47’). Prochain maximum le 4 avril (-21°27’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (4) Vesta, m 7.6, qui se trouve devant Ophiuchus (Oph), le 9 février à 14h01 dans le plan écliptique, l’astéroïde 0°55’ au Nord ; longitude 12e SAG ; à 14h17 dans le plan équatorial, ∆ -0°56’. Il se produit une occultation de Vesta par la Lune pour l’Antarctique.
– (3) Junon, m 10.2, qui se trouve devant le Verseau (Aqr), le 15 février à 17h01 dans le plan équatorial, l’astéroïde 5°2’ au Nord ; à 20h27 dans le plan écliptique, ∆ -4°54’longitude 27e VER.
Comètes observables jusqu’à magnitude 12 :
– C/2016 R2 (PanSTARRS) : mesurée à magnitude 11.0 le 19 janvier, elle devrait rester observable jusqu’au printemps, actuellement devant le Taureau (Tau).
– 185P/Petriew : mesurée à magnitude 12.8 le 16 janvier, elle passe devant les Poissons (Psc) ; observable en début de nuit.
– Autres comètes observables, voir aerith.net
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– Le 8 février, 245P WISE, magnitude 21
– Le 10 février, 2011 KE, magnitude 17
– Le 11 février, P/2017 Y3 Leonard, magnitude 19
– et, P/2017 W3 Gibbs, magnitude 19
– actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
Missions en cours
– La sonde Juno autour de Jupiter. Juno doit achever sa mission en février en sombrant dans la planète.
Plongeon dans la grande tache rouge vidéo NASA
– Mars, Opportunity, Curiosity.
– New Horizons qui a survolé Pluton le 14 juilllet 2015 et se dirige vers d’autres objets transneptuniens. Prochaine cible : KBO-2014 MU69 le 1er janvier 2019. Vidéos des survols de Pluton.
– La sonde Dawn autour de Cérès. Vidéo de Cérès à l’opposition
– Les leçons de Rosetta
– Astronews du 2 janvier ; au sommaire : conférences SAF : les amas de galaxies, exoplanètes, recherche de la matière noire, Astronomie Gamma ; Expo météorites ; Synchrotron Soleil : CR de la visite Vega ; François Forget, académicien des Sciences ; Nicolas Biver, médaille Arago ; Cosmologie, un article de vulgarisation ; Exoplanète Gliese 436b ; Une étoile qui ne voulait pas mourir ! JUNO, détails sur la grande tache rouge ; CÉRÈS, une explication pour les nombreux bright spots ; Galileo : Ariane 5 lance 4 nouveaux satellites ; Ariane 6, des moteurs et des décisions ; Vu d’en haut : Toulouse ; Disparition : Alain Souchier ; à découvrir : NASA Image of the Day Gallery
– La lettre de l’IMCCE de février ; n° 142 : *Lever du Soleil dans l’axe de l’arche de l’Arc de Triomphe du 4 au 7 février *Calendrier chinois traditionel : nouvel an le 16 février 2018 *Le ciel de Février : le Cancer et l’Hydre
– La lettre du guide du ciel n°132. (1er février 2018) de Guillaume Cannat : L’astrophotographie, une passion risquée !
Rappels
– Cadran solaire, Théâtre de l’ombre de Michel STEINER, un livre original qui met en scène un échange argumentaire entre trois personnages et donne une clé universelle pour réaliser n’importe quel cadran plan, une approche connue mais qui n’a jamais eu, comme ici, un rôle central avec le souci d’apporter la justification des démarches entreprises et de faire le tour de toutes les voies possibles de construction en les confrontant entre-elles à travers la réalisation d’un seul et unique cadran. De la sorte, elles se confortent et se justifient mutuellement. Le livre est disponible en exclusivité sur « amazon ». Il suffit de taper le nom de l’auteur, Michel STEINER et le titre, cadran solaire théâtre de l’ombre.
– Astrofiles, les dossiers de l’Astronomie et son calendrier des évènements astronomiques mois par mois, un bon complément aux sources de cet ephebdo
– Astrosurf magazine numéro 90, la revue d’astronomie pratique qui ne manque pas de poésie et de profondeur de janvier-février 2018
- Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [5], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ? » ; poèmes}
[3] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[4] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE.
[5] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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